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I
'indignation
peut conduire à l'inertie. Même si l'apathie, cette agréable
complaisance des citoyens à jouir de l'accouplement fétide
du travail, de la famille et de la patrie —quand ce n'est pas
de la religion—, nous semble au total merdifoireuse. Toutes ces petites
indignations partielles conduisent au renoncement global. Misère
écologiste, celle du petit bourge anxieux de son "environnement"
et du confort de son pavillon de banlieue, qui se préoccupe
tellement de cultiver son jardin qu'il en oublie le reste et cultive
sa résignation. Misère totale des féministes
bourges et des deps chebrans, tellement attachés au droit à
leur différence qu'ils sombrent dans l'indifférence
face à ce qui est extérieur à leurs misérables
préoccupations de bohèmes bon chic bon genre, sales
merdes dont l'insanité mentale est proche du néant.
J'achète Le Monde et L'Obs mais, bien sûr,
les S.D.F. puent et il n'est plus question de victimiser la caillera.
Tellement t'es con, tu finiras par voter Corinne Lepage. Tu crois
encore que voter ça donne du sens à ton existence de
larve ? Auchan-TF1 et tes chiards qui seront aussi cons que toi-même.
Il y a des fois où on a envie d'être malthusien —avortez
ces fœtus, comme ça ils ne nous feront plus chier.
II
Nous n'aimons pas les pro-animaliers, à l'instar de ces splendides
crétins, genre Nicolas Hulot qui remplit ses comptes bancaires
à coup d'émotion tarifée, option écolo-chic.
L'indignation pro-animalière se porte bien, qu'Hulot et ses
congénères écologistes "indépendants"
aillent se faire sodomiser par des cynocéphales ! L'idiotie
animalière, on s'en carre. Et on n'a rien à changer
à ce qu'écrivait Laurent Tailhade en 1898, contre « l'amour
excessif que des catins manifestent à leurs bichons, ces animaux
deux fois immondes, éduqués à lécher les
excréments du privé et les ordures de l'amour; la
manie imbécile des gâteuses sexagénaires qui transforment
leur logis en asile pour les matous galeux et les barbets errants,
tandis que sous les ponts misérables, tant de hères
passent les nuits de janvier. »
Assez de clémence pour les bêtes domestiques, suivant
la formule de Tailhade, alors que les hommes et les femmes sont tués
en masse, sans que cela interpelle le confort mental stupide des pro-animaliers.
Mais, après tout, nous rétorquerons ces connards, Hitler
n'avait pas que des aspects négatifs, puisqu'il appréciait
plus son chien que les hommes ! et la S.P.A. suisse n'a jamais
rien trouvé à redire au refoulement de 112 000
réfugiés feujs envoyés direct dans les camps : les
bourges sentimentaux ne s'intéressent qu'aux quadrupèdes
et à eux-mêmes !
III
Les petites crevures et les petits crevés qui prospèrent
sur leur petite notoriété de radical-chic —option
zéro zéro francs, pas vrai Beigbeder— auraient
intérêt à relire, entre deux lignes, Alphonse
Rabbe, qui aura forcément raison post-mortem :
« La race mortelle, condamnée au malheur, est toujours
en proie au brigandage d'un petit nombre de fourbes […] prêtres,
légistes et soldats, voilà les trois espèces
dévorantes au profit desquelles la société est
uniquement organisée.
La guerre est partout et la paix nulle part […], l'ambition sanglante
et égarée n'a pas cessé de se traîner sur
les roues du char de la fortune. »
Gageons que, tôt ou tard, les serviteurs de "l'aveugle déesse"
recevront le prix de leur perversité, celle de la fin brutale
dévolue aux adorateurs du pouvoir ! Dégage, connard,
t'es déjà mort !
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