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 oigt
d'honneur de septembre 2002 décerné à Jean-Pierre
Chevènement, ex-premier flic de France, moraliste
laïcard tendance Ferry (Jules) et connard de première
classe, version radicale-socialiste.
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Élu de Belfort, ville mortifère entre toutes.
Quand Chevènement — outre bouffie de vanité —
parle de sa France, sortez les masques à gaz,
histoire de vous protéger des miasmes !
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L'individu en question manque totalement d'humour et — circonstance
aggravante — demande réparation d'un acte de « terrorisme
pâtissier » commis par notre camarade Gloupier — ce
bon vivant, bon bougre et pourfendeur des vanités obscènes,
dont Chevènement, comme ces cons de Henry Lévy
ou Poivre dit « d'Arvor » sont les incarnations.
Mort aux cons et salut à Gloupier et ses compagnons de
flibuste ! Entarter les cons est une œuvre salutaire. Vive
la flibuste !
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P.S. : Police partout et justice nulle part ! Ce dont témoigne
le réquisitoire du vice-procureur, lors du procès où
Chevènement exhibait sa vanité blessée et son
déficit d'image, l'image d'un con plombé par sa propre
connerie. Pour le ministère public — une procureure, insoucieuse
de son avancement, sans doute — le délit de « violence
volontaire avec préméditation » est bien constitué
(Le Monde, 22/09/2002). Tout ça pour une tarte sur la
gueule sinistre du prétendu Ché ! les chats-fourrés
ignorent-ils que le ridicule peut tuer ? Ou seraient-ils déjà
morts ?
En conclusion, nous retiendrons ceci : qu'importe si l'entarté
jubile et plastronne, rendez-vous pour le jugement en date du 11 octobre,
on verra si la justice est égale à son image, on met
plus de poids dans un des deux plateaux de la balance qu'actionne
Themis, déesse aux yeux bandés.
Remarque ultime : Il y a trop de gens sans Umour, comme le disait
le génial Alfred Jarry. Et trop de tartes qui se perdent !
Salut à Gloupier !
Post-scriptum :
Patricia TOURANCHEAU écrit dans Libération du
samedi 12 octobre 2002 : "Condamné
pour « attentat pâtissier » :
Au bout de trente-trois
ans de carrière internationale, l'entarteur belge Noël Godin, 57 ans,
qui revendique une centaine d'«attentats pâtissiers» contre des personnalités,
a été condamné pour la première fois vendredi par un tribunal. La
présidente de la 14e chambre correctionnelle de Paris, Jacqueline
Rebeyrotte, l'a en effet reconnu coupable de «violences volontaires
avec préméditation» sur Jean-Pierre Chevènement et lui a infligé 800
euros d'amende."
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