Le R*ck est m*rt |
{pour toujours} |
ec {18:53} Revue de presse en {chansons} Aujourd'hui, nos amis les NO HEROES de Portland, Oregon, États-Unis nous parlent de leur magazine musical préféré : I Wipe My Ass With Maximumrocknroll (mp3, sur leur site) dans le genre titre drôle, je pensais hier au I'm in luv with margaret thatcher des Not sensibles et comme si je n'avais rien d'autre à faire qu'à rêvasser, je me souvenais de tous ces groupes anglais qui jouaient alors I ain't gonna work on Maggie's farm no more. [Dont The Blues Band, un groupe de blues-rock basique qui m'avait fait hurler de rire avec ça et leurs mimiques sur scène] tout, plutôt que de finir le boulot que j'ai à faire... |
ec {17:32} L'actualité [catholique] en {chansons} Depuis que le pape des catholiques est sub-claquant (enfin, davantage qu'à son habitude), je songe à une joyeuse pochade oï "jean-paul 2, jean-paul de mes 2" Retrouvée, le titre était peu évocateur : "Bob pap labidoup" Ca nous dit en gros que leur sainteté ne se sert de sa bite que pour pisser , c'est par Les Collabos, sur le volume 1 des dramatiques compilations France profonde, en 1984. Pour le départ ministériel des administrateurs de la Trêve de dieu, je proposerai bien Burning Down the House des têtes parlantes. (ou Too many fucking humans des No Trend...) |
Sébastien M. {11:54} Les disquaires de mon enfance, déjà parlé ici & naguère Ce matin (mode blog) je chantais BURN IT DOWN en lavant la vaisselle... J'emmerde la nostalgie j'emmerde le passé et j'emmerde les blogs plus que jamais |
ec {22:01} les disquaires j'avais oublié un instant que ça avait existé [et les mercredis après-midi passés ds les cabines d'écoute de la fnac, sans jamais rien acheter, glisser des 45t ds la poche de côté de mon cartable] jamais rien volé aux disquaires, [en revanche] ET je haïssais tous leurs copains qui restaient là à bavasser, accoudés au comptoir, avec leurs histoires de groupes, de filles, de concerts quand j'ai été plus grand, on a bavardé les disquaires et moi oui, je peux encore dire où j'ai acheté un disque il y a 25 ans, souvent je me souviens des noms des magasins et des trajets de bus et aussi que dans chaque ville moyenne il y en avait toujours un ou 2, au moins avec jamais tout à fait le même genre de disques ds les bacs pour moi ----------------------------------------------------------------------------- + oui, c'est vrai, Jimmy on va l'appeler SAINT INNOCENT chanter la fraternité en salopette devant des centaines de teddy boys ----------------------------------------------------------------------------- + ma femme me dit : il est vraiment bien ce disque i.e. le dernier tom waits : real gone je l'ai pas acheté pas volé je l'ai gravé et j'ai récupéré la pochette en ligne |
Guy Mercier {13:36} HEY, HEY, WHAT SHOULD WE DO, ORGANIZE OUR WHOLE DAMN CREW! r*ck |
Guy Mercier {12:48} tant qu'à faire je prendrais un ariel qui r*cke ouais j'écoutais ce week-end le premier album de future sound of london et, tu as raison, je me disais c'est vraiment de la musique de babas les neo-hippies sont les plus avides chantres de la technophilie allez savoir pourquoi ce ne sont pas mes amis à la même époque que mon ami ec je n'étais pas non plus parisien mais picard, sauf que je venais 2 fois par semaine à paris et je n'avais pas d'amis parce que j'avais des gouts musicaux trop éclectiques mais j'avais des disquaires chez qui je pouvais parler, l'open market que je vénérais car il m'inquiétait et finalement m'a appris ce que c'est que la street cred et le bien plus aimable music action qui avait toujours un truc à me proposer à moi tout seul (un rich boy faut bien l'admettre) je le vois encore qui me sort de sa petite boite de 45s qu'il allait chercher lui-même à new-york le single de Wayne County "Max's Kansas City" et je le vois encore qui me dit qu'il n'aime pas les radiators et je me vois moi encore la fois où j'ai acheté 40 disques d'un coup (dont mon 1er Jackie Lomax, Fifth Dimension et un Seeds je ne sais plus lequel) car je partais me faire chier à la campagne avec les parents en fait hier m'est venu tout un tas de choses éparses en écoutant le dénigré double (avec un single en plus) de Stevie Wonder (songs in the key of life) que j'ai acheté en 76 alors que j'étais punk m'est venu Serge July! Serge July! Serge July! des trucs sur ce que nous disait ec à propos des kids united et de l'autre INNOCENT de Pursey et puis mon esprit à divergé vers un article lu dans le journal dans lequel ils disent que Malcolm X n'est pas un héros des noirs américains et ils expliquent Serge July! Serge July! Serge July! que c'était bien une racaille, un islamiste, un noir antisémite, responsable de l'avénement de Louis Farrakhan qui l'aurait fait tuer d'ailleurs c'est clair racaille je dis aux gens CUT THE MIDDLE MAN de lire la biographie de Malcolm X et de foutre le journal au feu NO FLIM-FLAM! NO SELL-OUT! NO COMPROMISE! le seul disque que je n'ai pas acheté à l'open market (et que je regrette) ce sont les discours de Malcolm X dont je n'ai qu'une version édulcorée dans le remix de Keith Leblanc ouais une éducation le reste de l'argent allait en BD et cinéma et c'est tout et la BD c'est fini ou presque je dis BROTHERS in blood le stevie wonder c'est un disque que je n'écoute que tous les quinze ans, indigeste mais tellement brillant, aussi très innocent comme l'autre, musique pour chanter ensemble devant une usine en flammes Who was the leader of the first microbiotic center in america? euh, ouais, ok je ne crois pas que c'était un hasard si il y avait ce disque de Malcolm X à l'open market je dis BROTHERS or: 1,2,3,4 WE WON'T TAKE IT ANYMORE 5,6,7,8 SIT DOWN AND NEGOTIATE. or: NO ONE SHOULD BE WORKING POOR. (etc..) 22. WE'RE GONNA BEAT (pause), BEAT (pause), BACK THE BOSS WE'E GONNA BEAT BEAT BACK THE BOSS! (yeah!) FUCK OUI! |
Guy Mercier {01:15} ouais ben moi je passe juste pour chanter ce qui me passe par la tête j'encule les cons, j'encule les laids et j'encule les armées bonne nuit |
ec {22:28} Et puis tiens, là, pendant que j'y suis, à me répandre une conclusion à laquelle je suis arrivé (en fait je le savais, mais m'en rendais pas compte) ni sur ce qu'on aime, ni sur ce qu'on aime pas d'ailleurs ça empêche pas que je l'ai fait des centaines de fois que j'ai lu des milliers de chroniques [On n'est pas toujours conséquent] Pour faire des découvertes, il faut écouter les COPAINS Ceux qui n'ont pas de COPAINS lisent les CRITIQUES Bon oï |
ec {22:09} {Une chansonC'est trois fois rien une chansonC'est du champagne un frissonUne chansonUne chansonC'est peu de chose une chansonMais dis-moi c'que nous ferionsS'il n'y avait plus de chansons} Je voulais vous parler d'une chanson de Sham 69 Sham 69, j'ai pas écouté quand c'est sorti, mais j'ai un ami qui chante ça depuis des années "If the kiiiiiiiiiids / are uniteeeeed" Sa version est la meilleure, on dirait une chanson à boire, un hymne de stade de football, ce que c'est d'ailleurs Sham 69 joue ça trop lent (faut voir comment ils sont moux "produits" par le mercenaire John Cale à leurs débuts) j'ai des versions de rancid, atari teenage riot, oï polloï etc. Pour faire incongru, je vous en mets une par Bérurier Noir Elle est très bien. Sur ce oï ps : les paroles de la chanson, là, elles sont à chier, 1ère fois que je les lis, jimmy pursey fait du préchi-précha, c'était bien son style |
Sébastien M. {21:25} Et puis, comment ignorer un tel come-back ? (personne n'aurait vu Malcolm, d'ailleurs, récemment ? L'écrirait-y pas pour la Blogothèque sous pseudo ?) |
francoise massacre {19:18} Les (et pas LE) lecteurs du R*ck est M*rt ignorent à quel point les textes de Guy Mercier sont sujets à débat. Je tenais à vous le faire savoir. |
francoise massacre {12:34} SCHIZO |
Sébastien M. {12:13} Et puis, j'ai le sentiment que ces filles vont nous sortir un disque essentiel ; cette année c'est bien, les filles qui font du r*ck, c'est mieux que les mecs qui font, eux, du r*ck m*rt |
Guy Mercier {19:51} Ils sont le dernier groupe signé sur le label anglais Mute. Ils viennent de Sheffield, ont encore la fraicheur des groupes qui en veulent (ils posent devant des murs de pierre) et enregistrent actuellement, donc, leur premier ?vrai? album. Au vu des quelques conptes-rendus de leurs précédents ouvrages, Cabaret Voltaire mérite amplement cette belle promotion. Au début étaient deux garçons, qui écrivaient des chansons à la fois furieuses et ultra calculées, à la croisée des chemins pris par TG, Chrome et le versant "matheux" du punk. Un premier huit titres avant d?embaucher deux nouveaux membres et d?avoir l?accident qui les fera devenir ce qu?ils sont aujourd?hui : le batteur s?est bousillé la main alors qu?ils enregistraient leur second disque. Plutôt que de reporter les sessions, ils ont fait avec, mis des boucles, bidouillé des boîtes à rythme, décidant d?intégrer leurs maladresses à leurs chansons. Désormais, ils peuvent revendiquer l?influence de Brian Eno. Le résultat, à l?écoute de quelques mp3 glanés ici est là, c?est une musique que l?on écoute comme l?on regarderait une étrange plante pousser. Spontanée, lente, franche et têtue, elle se déploie et se fiche de parfois trébucher. La voix est quelquefois le seul fil conducteur de chansons qui grouillent de sons, un Microcosmos sous acide (voir les quarante premières secondes de Yashar). Les membres de Cabaret Voltaire ont des idées, leur musique une personnalité, on imagine l?album à venir intelligent et profond. Il devrait, en outre, leur permettre de s?offrir un photographe qui sait éviter les murs de pierre. - Ecouter War of Nerves - Ecouter Jazz Computer (part 1) |
Sébastien M. {16:51} J'avais d'abord lu "une apparition des B 52's dans mon assiette de coquillettes" ; si c'était le cas, elles manquaient peut-être de beurre. Et puis j'ignorais qu'il chantait avec Sonic Youth, maintenant, Jim O'Rourke. |
francoise massacre {16:15} Ce midi, j'ai vu une apparition des B52's dans une scène des Pierrafeux, alors que je zappais en mangeant mes coquillettes. Je me suis demandée s'ils avaient vraiment besoin de fric. |
ec {01:40} et je range un peu les fichiers musicaux sur mon disque si, si j'en profite pour télécharger des concerts, yo la tengo, avec toutes leurs reprises et leurs invités, toujours délicieux, shellac, qui jouent toujours les mêmes morceaux et ray davies, qui depuis cinq ans ne trouve pas de maison de disque pour son nouvel album : c'est sans doute parce que le téléchargement illégal a mis les maisons de disque sur la paille, parce que, hein, sinon, bien sûr :( là, ce sont des fichiers torrent et le logiciel idoine s'appelle AZUREUS, je ne sais pas qui a trouvé ce nom de bab, on dirait le titre d'un album des aphrodite child |
ec {01:37} J'ai mis nos nouvelles plaies, tiens. [avec retard, c'est plutôt ce qui s'écoutait la semaine dernière] |
Sébastien M. {19:51} et puis je regrette d'avoir hésité à acheter ça surtout à cause de Cause I was born to be bad I'm not sad But I'm glad I did it Born to be bad I'm not sad why don't you all get with it |
Sébastien M. {18:02} Et puis, c'est évident, j'ai écouté Essential Logic aussi hier soir ; et puis j'ai écouté en dansant devant ma mie ; c'est le moment d'acheter les disques de The Fall publiés entre 1992 et 1994 la modernité mémé |
Guy Mercier {17:00} fait un petit tour à LO, après un bref essai je me suis dit pourvu que Logic ne se reforme pas, oh pourvu, pourvu, et puis assez surpris de me souvenir si bien de l'album des Local Heroes (Drip Dry Zone), pas d'image un lien allez si une petite image pour un groupe absolument essentiel un peu un basement 5 fin TROP TARD |
ec {16:01} Une belle collec' |
Sébastien M. {14:19} Et puis j'ai écouté Pauline Murray aussi, l'autre jour, et hésité à poster ; et puis j'ai hésité à acheter ça et puis je tombe là-dessus et puis j'écoute ça et puis c'est dimanche |
Guy Mercier {14:09} bien sûr, ça n'a aucune espèce d'importance mais je disais tout ça en écoutant l'album de Pauline Murray, puis je suis passé au Madchester et un bref arrêt sur the Farm remixé par Terry Harley (sinon ce serait insupportable), finalement un de mes albums préférés entre tous MOTTla vie est belle working class, ce qu'il m'en reste |
Sébastien M. {11:51} Oui, mais Enjoy it (I know you can) Enjoy it Destroy it (destroy it) Enjoy it (enjoy it) Destroy it (destroy it) Enjoy it (enjoy it) "Palmolive had a girl vision," says Up. "She wanted that female energy." |