Le R*ck est m*rt |
{pour toujours} |
Guy Mercier {00:01} .23 on se marre quand même merci |
Guy Mercier {23:03} ... can the world be as sad as it seems ? |
Guy Mercier {22:16} un moment j'ai cru que c'était mauricette dont c'était l'anniversaire bon, enfin, voilà que je trouve {ce n'est pas un hasard} un portrait de dashiell hedayat que je prends déplace tout simplement il n'y a pas d'S à ZUBROWKA |
Guy Mercier {22:24} je n'suis pas un b-boy car je n'perds pas mon froc je crois que la rime est à proscrire |
Guy Mercier {23:43} ce qui m'intéresse dans les machines c'est la transmission c'est tout salut! |
Guy Mercier {23:34} From the Artist Dear Listener, Tracks 3 and 4 take place in the 40's; tracks 5 and 6 in the 20's and 30's; track 7 in the later 50's; track 8 starts in the very early 40's; track 9 goes back and forth; track 10 takes place in the early 60's; the final track takes place in the early 90's. Track 2 takes place a few years ago; track 1 took place when it was recorded. The action depicted in "The Wayward Granddaughter" and "Slavin' Away" does not include the character Olga Sarantos plays on the rest of the record. "Slavin' Away" imagines that character--the main character-- fantasizing, a bit remotely, about the hard lot of other women. Now, I wouldn't guess that the Main Character actually thought the woman concerned was riding around in a Norton side-car and operating her own cottage industry trinket assembly/sweatshop: but it might have pleased her to picture it so. "The Wayward Granddaughter" is about a different Greek-American grandmother and her popular granddaughter ("Connie"). They're from Chicago's south suburbs and don't figure in the rest of the record; I wanted to have another (slightly younger) grandmother and family in there for perspective or comparison's sake, so to speak. Thank you for your time, Matthew Friedberger pitchfork sucks Votre, Guy. |
Guy Mercier {22:42}faster hammersalors que souvent j'y pensais il n'y avait plus de classiques qui sortaient, des disques dont on pourrait se dire voilà forever changes, voilà, a wizard a true star, eight dimension, j'en sais rien oui je sais que cela ne veut rien dire je LE dis quand même vous comprenez alors voilà qu'en 2006, alvarius B et rehearsing my choir et je me dis, je vais mourir et il va sortir encore des disques comme Blood operatives of the barium sunset des groupes comme les fiery furnaces vont exister et moi je vais mourir avant ça m'ennuie un peu mais ce sera bien ce sera mieux que les conseils se réunissent dans les usines, les unviversités, dans les bureaux les conseils prendront les décisions partout ils se réunissent et moi je suis mort elle a une grosse main, des petits seins, etc comme david bowie dans le livre de mick rock sur une page et comme dans le disque une vieille femme et une jeune femme, des histoires il est tout vieux et fatigué et bouffi et puis dans la même pose il est beau et resplendit la pose c'est le r*ck et bien sûr le rapport entre les fiery furnaces et les sun city girls c'est l'histoire parler |
francoise massacre {20:49} mine d'orgisement |
Guy Mercier {16:53} I didn't believe it then I don't believe it now and there it is |
Sébastien M. {07:19} Yo (si peu r*ck) je voulais faire ce post ailleurs : Ce samedi, monsieur KMS & moi-même, accompagnés de sa fille & de ma filleule - formant ainsi une très belle famille homoparentale recomposée (j'y vois après-coup un hommage au manifeste des 174 salopes contre l'adoption par les couples homosexuels)- et de notre bonne fée butch, PBE, donc, sommes allés visiter la merveilleuse exposition dédiée aux Yokaï à la Maison de la culture du Japon, sise à Paris et puis non, ne pas se laisser piéger, ça tourne au blogoscope ton truc, gars suis la pulsion, ton pouls, le roulis de ton jouir et puis je culpabilise un rien SI PEU R*CK le goudron et les plumes Bruno Richard : je suis allé au Regard Moderne et pour la première fois depuis longtemps, j'ai eu envie d'acheter Elles sont de sortie, voir ce que ça devenait, l'occasion d'en parler avec Jacques Noël, à bâtons rompus (chez Gibert, Guy, je venais d'acheter le Patate n°2 à moitié prix), et je me disais Bruno Richard, putain, quel génie, que je suis heureux d'avoir fait Un dessin par jour pendant un an avec lui, et je pense à ces piles de photocopies dans le grenier de mes parents, qu'il faudra un jour façonner tout ça en livres et le faire, ce volume intégral, et je montre à Muriel les livres de Pascal Doury sur Dora-Diamant et Nathalie, merci je vous aimerai toujours |