Le R*ck est m*rt

{pour toujours}

  jeudi, septembre 14, 2006

Guy Mercier   {14:47} Regarding your message: [whitehouse] crowd fun I will be out of the office starting 13-Sep-2006 and will not return until 15-Sep-2006. I will respond to your message when I return. For records or imaging queries, please e-mail the UK Imaging Mailbox. Thanks. The information contained in this e-mail and any accompanying documents may contain information that is confidential or otherwise protected from disclosure. If you are not the intended recipient of this message, or if this message has been addressed to you in error, please immediately alert the sender by reply e-mail and then delete this message, including any attachments. Any dissemination, distribution or other use of the contents of this message by anyone other than the intended recipient is strictly prohibited.

  mardi, septembre 12, 2006

Guy Mercier   {23:46} Hier V. me demande quel est mon disque préféré de Can je réponds Landed bien sûr Aujourd'hui V. a mis Flow Motion me dit que c'est pas mal quand je rentre je lui dis oui ce n'est pas mon préféré Landed me dis, V. je ne l'ai pas écouté alors moi je mets soon over babaluma sur lequel il n'y a que 2 bons morceaux dizzy dizzy et come sta, la luna et puis V. s'endort à demain

Guy Mercier   {11:04} tout est vraiment très sérieux ceci dit en passant

  lundi, septembre 11, 2006

Guy Mercier   {23:12} plus sérieusement salut

Guy Mercier   {15:24} il y a Music Thing qui s'extasie sur les gros plans de racks et moi And Paul Morley is sipping a glass of wine.

  dimanche, septembre 10, 2006

Guy Mercier   {17:24} vous allez vous en souvenir comme moi

Guy Mercier   {14:49} Après quelques morceaux du disque 9 je pensais que vraiment cette box était très chouette et que je me verrais bien l'acheter, même si le disque 8 est faiblard peut etre en le ré-écoutant et tant que je n'ai pas le nouveau mayo thompson... Tout un disque de Tom Recchion avec des petites fabrications de boucles, de rythmes exotiques , de gens qui parlent, une sorte d'ambiance à la insect musicians quelque chose de mat et bien sûr le premier morceau s'appelle lepidoptera mais ça continue comme ça des ryhtmes mats et des mélodies grattées sur de la rouille. Après le formidable Schlagerzeit/Schlagerziet c'est le premier disque que j'ai envie de remettre et je me lance dans les notes de pochettes alors que la musique se transforme et s'habille d'une sériosité et d'une emphase que je reconnais bien, que je lis dans les notes. Tom Recchion débarque en 1976 à Londres et tout ce qu'il trouve à faire c'est de passer Noël avec David Toop qu'il a appelé par hasard un peu. Oh si David Toop n'avait pas répondu, David Toop n'était pas disponible ce soir là, David Toop l'avait envoyé bouler, oh Tom Recchion quelle voie as tu prise là, oh, Tom Recchion il y avait tellement d'autres choses à faire en Décembre 1976 à Londres! Oh non ce disque est vraiment très beau jusqu'au morceau, oh jusqu'à l'avant dernier morceau je suis méchant parce que j'ai vu le nom de David Toop et celui de Brian Eno, mon sang n'a fait qu'un tour, je me reprends il rend merveilleux ce que je ne comprends pas Timpani strikes a single note at the left, which is repeated infinitely as it moves to the right. "Boo-bam" answers him on the right, and moves to the left to deep echo. Bongos enter at center to prepare tempo for a trumpet solo of ethereal beauty. The trumpet is embellished by voices and bass accordion and by the piano of Esquivel. Three muted French horns move left to right, followed by a magnificent ensemble. The melancholy of rolling "boo-bams" is a backdrop for crossing voices and flutes. The trumpet returns, to end on a high, clear tone that gives way to a fireworks display of percussion and electronics-crossed reverberation of timpani, deep rolls in and out of echo, timbales, maracas, and the final thunder of a great gong. oui c'est ça il y a la technique et chaque instrument et chaque mouvement comme des acteurs qui sont joués par le musicien, savant et enchanté de ces acteurs trouvés dont il arrange les qualités essentielles les unes aux autres, ces acteurs très précisément capables de répéter une et une seule phrase mais si belle et si bien il les ordonne et de toutes façons Graeme Revell n'a pas très bien tourné même si on ne parle pas de lui dans The Wire

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