Le R*ck est m*rt |
{pour toujours} |
Guy Mercier {22:47} relevé cette nouvelle chez jane sweet qui m'attriste terriblement dire qu'il y a des gens pour mettre des étoiles sur ces annonces de catastrophes naturelles dire qu'à chaque début d'année scolaire on fera lire aux petits enfants réunis en classe ceci Ma petite maman chérie, mon tout petit frère adoré, mon petit papa aimé, Je vais mourir ! c'est ce que je me tuais à dire à mes parents à moi et ceci dès la deuxième année, en ayant éprouvé déjà une qui me suffit à me faire une idée dantesque de ma pauvre situation Je vais mourir ! ils ne m'ont jamais cru mais j'ai sauvé ma vie par le r*ck'n'r*ll assez tard mais je suis encore vivant ! et la lettre se termine par ceci Dernières pensées : vous tous qui restez, soyez dignes de nous, les 27 qui allons mourir ! soit la taille moyenne d'une classe dans un quartier favorisé, c'est du pur cynisme si, moi, je me disais qu'il faillait lire quelque chose en chaque début d'année je proposerais ceci Sur le plan simplement théorique, il ne me faudra ajouter à ce que j'avais formulé antérieurement qu'un détail, mais qui va loin. En 1967, je distinguais deux formes, successives et rivales, du pouvoir spectaculaire, la concentrée et la diffuse. L'une et l'autre planaient au-dessus de la société réelle, comme son but et son mensonge. La première, mettant en avant l'idéologie résumée autour d?une personnalité dictatoriale, avait accompagné la contre-révolution totalitaire, la nazie aussi bien que la stalinienne. L'autre, incitant les salariés à opérer librement leur choix entre une grande variété de marchandises nouvelles qui s'affrontaient, avait représenté cette américanisation du monde, qui effrayait par quelques aspects, mais aussi bien séduisait les pays où avaient pu se maintenir plus longtemps les conditions des démocraties bourgeoises de type traditionnel. Une troisième forme s'est constituée depuis, par la combinaison raisonnée des deux précédentes, et sur la base générale d'une victoire de celle qui s'était montrée la plus forte, la forme diffuse. Il s'agit du spectaculaire intégré, qui désormais tend à s'imposer mondialement.Votre Guy qui vous aime. Guy |
ec {20:41} ou presque sur Rachel Sweet comme on me le suggère pourtant, si j'ai su j'ai oublié. Juste le vague souvenir qu'elle était jeune, qu'on la programmait chez l'aut'con de France Inter, peut-être même un concert radiodiffusé. Je pense qu'on m'impute une science du sujet à cause de ceci : , du fait que l'un des ses 45 t est sur le devant d'une de mes boîtes de 45t (mon beau-père les a faites) . D'ailleurs, à titre de preuve supplémentaire, je publie ici la liste des 45t qui apparaissent sur le devant de mes boîtes de 45t (mon beau-père en a fait trois supplémentaires dont je dois aller prendre livraison aux beaux-jours) : - 08/15 : "1 000 gelbe tennisbälle", 1981, Konnekschen. - Cave (Nick) feat. the bad seeds : "In the ghetto", 1984, Mute. - Fall (the) : "The chiselers", 1996, Jet Records. - Knack (the) : "My sharona", 1979, Capitol. - Nightmare : "Great balls of fire", 1979, Accord. - RTC : s/t, 1985, Toekmonstmuziek/De Fabriek records. - Sweet (Rachel) : "Baby let's play house", 1979, Stiff. Le disque de Rachel : face A : une sorte de rockabilly avec guitares tranchantes et hoquets dans la voix : pas mal, je trouve. face b : une horreur de chanson lente, affectée, en concert, je saurais pas dire à quoi ça ressemble, Pat Benatar, peut-être? Sinon : je ne sais rien non plus sur Jona Lewie -et on ne me le suggère pas-, mais alors, lui : 1/ j'ai un paquet de ses disques. 2/ je l'ai toujours beaucoup aimé, même dans ses moins bons moments je l'aime, dire. |
ec {18:06} SM (membre du canal-historique de ce blogue, ici photographié DANS MON SALON à 17h30 ce jour) m'informe que, dans une interview imprécisable, David Cunningham -"Senior Research Fellow at London College of Communication, University of the Arts, London"- aurait indiqué qu'il aurait fourni bien plus de travail que ce pourquoi il est crédité pour l'album Copy Cats de Johnny Thunders et Patti Palladin. C'est vrai qu'on lui attribue seulement le "general swamp environment" sur Alligator wine, utile sans doute mais pas capital (et, ici, les fans se vengent, l'oubliant carrément) (Re-)dire que : , je trouve. |
Guy Mercier {12:49}WOW!de bonnes lectures pour une époque amusanteet voilà que je me pose des questions sur une position a priori une détestation du passé qui revient qui refuse de s'effacer mais au profit de quoi ce passé s'effacerait il ? et qui décide de l'effacement de NOTRE passé ? oui j'ai eu tort et il m'a suffit de quelques lignes lues entre quelques autres pour m'en persuader maintenant et pas à un autre moment ces lignes, les voici The classic line-up of The Saints - with Chris Bailey, Ed Kuepper, and Ivor Hay - will reunite for a one-off performance at an event, PIG CITY Brisbane?s Historical Soundtrack, under the giant Big Top in the grounds of the University of Queensland on Saturday, July 14. lues entre d'autres lignes qui disaient plein d'autres choses évidentes et secrètes oui je me souviens bien de tout ce qui se passait à ce moment là quand j'ai eu le premier disque des saints après leur album l'identification historique avec les autres comme moi unis dans le mouvement et si cette histoire existait elle existera toujours car c'est d'elle qu'aujourd'hui EST et maintenant je reconnais que moi aussi je me procure de vieux disques et je les chérit parce que cette histoire sinon serait dilapidée comme le musée de bagdad pillée cette histoire devrait etre effacée car elle a été un moment victorieuse alors nous reconstruisons le musée on montrera à nos enfants ce qui a fait que notre victoire était inévitable et comment l'histoire serait toujours ré-écrite par ceux qui veulent nous anéantir dans la leur c'est aussi que j'ai lu dans le journal la confirmation patente par celui qui n'a jamais honte de mentir car c'est lui qui dit la vérité du jour le journaliste on a cru qu'il disait que sarkozy était dangeureux et mauvais etc on a cru et là dans le journal le journaliste nous dit car c'est son rôle de destructeur d'histoire soyons calmes et tolérants: les objections viendront d'elles-mêmes quel salaud |
Guy Mercier {17:59} revenu j'étais dans la pièce du fond en désordre et s'il ne restait qu'un seul homme sur ce qu'on appelait autrefois la terre, ce qu'on appelait autrefois les états unis d'amérique, terre de violence et charnier maintenant, éteint, cet homme se cacherait dans un mall de béton aux escaliers rouillés sans plus d'électricité depuis des mois sans lumière et tiroirs caisses bouclés il se promenerait la nuit et parfois pour manger il briserait une vitre de magasin jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien oh moi j'ai la nausée il n'y aura plus de prétention du trash et l'histoire pourra revenir par cet homme seul il n'y aura plus rien et tout ce que fera le dernier homme, il s'appelera lui-même de ce nom, sera cette musique sans connaissance de la musique uniquement dans le souvenir de la musique qui aurait pu être oh moi je crois à la table rase table rase du dévoiement et on repose tout ce qui est à nous sur la table c'est tout vieux ça n'a plus la forme que du souvenir qu'on en avait c'est fait à la main ça ne tient pas c'est fragile et si on le pose sur la table effacée ça resplendit lui il appelle ça cleaning the mirror en toute solemnité avec des instruments trouvés dans le caniveau, banjo, trompette désaccordés ensemble raclent reçu |
Guy Mercier {17:49} j'annonce ma retraite j'ai besoin de réfléchir en autres nouvelles mes 3 singles des strangulated beatoffs sont arrivés ici partis de là le 14 février tout de mêmeen résumé on dira que les strangulated beatoffs ont un super nom, font de super pochettesquoi d'autre ils s'améliorent de disque en disque je n'en ai que 3 j'adore |
Guy Mercier {15:09} autant le dire j'ai acheté hier des disques plus par nécessité qu'autre chose et ces disques j'ai moyennement envie de les écouter alors comme je suis tombé par hasard sur une video {que vous chercherez vous même} qui a eu au moins le mérite de me dérider quelques minutes ce qui veut dire que ça m'a beaucoup plu j'ai sorti le disque de jona lewie ai posé la pochette sur le couvercle de la platine suis allé me coucher et j'ai dormi bien que la chanson de la video, il y est question d'etre dans la cuisine pendant les fêtes, ne soit pas sur ce disque j'ai dormi rêvé de mon voisin etc et depuis ce matin sans discontinuer j'écoute on the other hand there's a fist ça fait partie de ces nombreux disques a propos desquels je me suis trompé celui-là c'est parce que j'avais l'impression qu'il faisait double emploi avec les wreckless eric que je préférais pas forcément injustifiable mais c'est comme ça aussi bien sûr il me faut ces chaussures maintenant je laisse le chef ec épiloguer sur rachel sweet aussi des contrats |