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Le
pénil gonflé de pus éclate
Et
tout mon encéphale s’en trouve inondé.
Isole
ce phallus urinant,
Lèche
jusqu’au plus petit chaînon de vie ;
Buvons
urines riches en épaufrures
Arrachées
à mes entrailles.
Contemplons,
Excitons
l’émotivité de ces gorges à jusée ;
Qu’elle
nous enseigne
La
perte de nos membres, la mort,
Dans
la rugosité de la chute dans l’abîme.
Saillons
les torrents d’urine.
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