(le mercredi 7 août aux environs de 19 heures, dans le quartier du Pont-Neuf, face à l'Hôtel des Voyageurs, une jeune femme vêtue d'un short "jean" et d'un sweat bleu marine a été agressée par trois individus qui l'ont contrainte à monter dans une voiture blanche et sont partis en direction de M. Toutes personnes susceptibles de donner des renseignements ou d'apporter un témoignage l'anonymat sera respecté sont priées de prendre contact avec la gendarmerie d'A.) n haut de l'escalier dans la maison presque elle s'énerve toujours la clé fébrile la couleur des jointures doigts de coupés doigts qui font un vacarme plus savoir quoi ce verrou-là cette clé-ci elle a guetté son pull on l'a suivi des yeux il partait assez loin on sait bien assez loin finalement ça fait longtemps quelques années sauf que de temps en temps quelques semaines tout au plus effacer rafraîchir occulter mais revenir ici objets et du fric si possible alors comme on savait déjà et répondant ce pas dans l'escalier lourd mauvais bouge plus face à la porte qui crisse qui font mal entre les doigts ne pas bouger fini cran à cran lame qui monte (il monte) ne sourit même pas elle se retourne pour expliquer on lui fait signe de se taire l'immeuble est vide maintenant pas de voisins peu rien elle est face à la porte il est tout contre passe et repasse sur le bras sur le dos entaille chaque fois un peu plus c'est lent ... maintenant tu ne diras plus rien plus un mot pas un mot crier peut-être gémir pleurer avait changé de genre le soutien-gorge tu mets ça maintenant ? brides tranchées la jupe entre les jambes main qui insiste les doigts les ongles une lame sur sa gorge sa poitrine tu sais... il se tait elle le sent contre sa hanche tu mériterais un peu de (sang?) elle entre il pousse ses habits du pied elle se retourne pour coup de poing dans le ventre un seul pliée en deux couchée le long du mur il s'accroupit lui caresse la nuque rien silence tu fais ce que je dis (viens ici) elle vient pas comme ça elle recommence elle recommence il s'approche la lame si tu dis un seul mot un mot un seul ici dehors n'importe je te gorge pleine de sang mâchoires qu'on écarte comment arrêter ça cautériser? à la campagne deux trois avec un sécateur je ne sais pas on pourrait peut-être en couper qu'un tout petit bout juste lui faire peur il faut qu'elle ait très mal qu'elle crache du sang du sang des confitures en guise de (dédommagement?) ils pourront tout lui faire mais vous la tuez pas vous l'esquintez pas trop quoi ils sont ivres ils la marquent au fer rouge comme une vache nue ramper dans le purin le lisier jusqu'à l'étable ça devient difficile un tabouret ventre des animaux essayer de lui mettre les morceaux qu'on tire on y arrive parfois cela gicle dedans debout derrière la bête avec les mains les paysans pressent ses seins se frottent entre les fesses elle enfonce son bras dans le ventre de l'animal retire l'enfonce de l'autre main se caresse elle va à genoux dans la cour sous la pluie on la ramène et lui dans la voiture demande plaisamment qu'elle raconte mais ne pourra que geindre gentille petite bête il s'est tourné vers elle la voiture dans un chemin caché des arbustes lui retrousse les lèvres lui fait la bouche ouverte elle bave elle n'a rien il se dégrafe elle le prend dans sa bouche il lui demande de sucer le levier de vitesse de le sucer le mordre en promenant dans les champs porte une très jolie robe avec dentelles un homme avec son chien il dit ma femme est folle elle aimerait bien (avec votre chien) embarrassé parler d'argent elle s'approche du chien elle porte un grand chapeau de paille avec des rubans peut-être des cerises en plastique touche caresse l'anus la verge qui très vite elle est à quatre pattes retire son chapeau ses cheveux dénoués et retroussée sa robe est nue fesses nues joyeuse l'homme approche le chien oblige un peu l'animal a compris il faut guider elle passe sa main entre ses cuisses cambre ça y est le chien remue les deux hommes se regardent elle halète gentiment le soleil est plus fort les grillons troublé elle peut sucer si vous voulez ils parlent l'homme à genoux devant elle se masturbe en lui pétrissant les épaules la nuque éclabousse les joues elle rit gouttes épaisses sur ses lèvres le chien toujours il lui griffe le dos la voiture dans la lumière s'éloignent en discutant cigarette que l'autre prend malgré tout le chien quand ils reviennent à l'ombre la fille ramasse des fleurs ils repartent il fait trop chaud dans la voiture fous-toi à poil complètement on roule il met ses doigts entre mes jambes me fait mal doigt dans le moiteur des sièges en cuir la nuit qui nuit qui ne tombe pas ne pas manger ne pas dormir attends on va jouer sur un chemin l'attache derrière la voiture longe qui serre les poignets pieds nus courir sur les cailloux plus vite elle tombe il ralentit traîne dans l'herbe pas longtemps la clôture électrique de plus en plus froid attrape ça elle prend le fil entre ses mains elle regarde en pleurant c'est peut-être... prendre le fil entre ses dents passer tout doucement ce qui reste de langue puis l'enjamber s'y poser sexe ouvert avec deux doigts elle s'est évanouie il la porte et repart mais pour l'instant dans la cuisine il a son pull son odeur les assiettes d'abord tu nettoies ça il insiste elle est au fond de la baignoire sur le dos jambes ouvertes avec les doigts elle peut à peine se redresser les robinets fuient doucement l'eau monte elle se soulève un peu retombe éclabousse recrache avant qu'il soit trop tard l'autre fille est venue avec un de ses maigre petite silencieuse elle a mit toute entière sa main pendant que les autres la caressent elle s'endort n'a pas cillé il a fallu nettoyer tandis qu'ils discutaient elle est dans la cuisine avec un tablier vaisselle et l'eau où flottent les déchets il pisse dans l'évier lui appuie sur la tête fouille après l'avoir savonnée il a joui tout à l'heure dans la bouche rivale cette façon ensuite de savourer de se passer la langue alors il peut rester longtemps il s'agrippe au rebord de l'évier s'enfonce plus encore et la soulève presque tu me fais mal! elle n'a rien dit elle regarde la petite flamme du chauffe-eau ses cheveux qui remuent l'eau la fermeture éclair qui frotte contre ses fesses quelqu'un ouvre la porte referme on a couché la brune sur la table avec une bouteille d'huile en elle sur son ventre les cuisses puis l'air presque étonnée se rentre entièrement la main et la remue à l'intérieur elle a un spasme une contrariété puis retire sa main la pose sur sa bouche elle semble épuisée lasse l'ennui elle doit lui enfoncer un doigt deux les remuer plus vite les écarter un peu elle a peur que ça saigne les autres la prennent debout contre le mur urinent sur son ventre après avoir joui elle reste debout jambes écartées l'autre sous elle couchée sous elle se caresse elle est sous elle bouche ouverte bouche emplie d'excréments s'embrasser se lécher s'en barbouiller on lui enfonce on ne sait plus le retirer on la conduit au café une jupe elle doit se tenir mal rire provoquer bafouiller ils sont un peu plus loin d'une autre table elle boit elle le suit dans un couloir il l'embrasse l'attrape passe la main entre ses jambes j'ai très envie tu sais (elle sourit) t'es belle caresse elle bouge elle pose sa main sur la braguette c'est très lent serre dans sa main presque trop s'agenouille près des poubelles s'y adosse il se répand dans sa bouche excuse-moi elle sourit toujours va se rasseoir à sa place recrache dans son verre la brune lui embrasse la paume personne n'a rien vu le garçon est au bout de la rue elle danse blanc chemisier déchiré elle danse transparente attachée à un arbre les autres sont autour indifférence installés sur des chaises de jardin la brune s'assoit sur leurs genoux leur parle les excite elle éclate de rire ongles qui crissent dans les poils je suis allée là-bas comme vous me l'avez dit les ouvriers m'ont attrapée m'ont jetée sur un tas de sable ils m'ont battue d'abord du vin et des mégots puis s'y sont essayés sur le gravier mes dents sur le gravier bêtises seins durs sous le maillot la pluie la crasse les habits déchirés dans la voiture ta chaleur bouche où je salive elle salive fait une mimique le slip tiré slip enfoncé entre les fesses cheveux qui frôlent l'homme est trop fatigué il ne bande même pas c'est de ta faute dans ta gorge serrée lèvres serrées je ne sais pas c'est sûrement ta faute tu marchais toute seule on regardait tes jambes on te suivait tu allais n'importe où là au bord du canal seule tu restais là on était tous autour de toi couteaux braguettes et tu n'avais pas peur tu ne t'étonnais pas les accepter tout avaler s'en nourrir ils ne comprenaient pas pourquoi cela glissait le long des jambes épais la poussière collée doigts qui cherchent toujours langue syllabes le ventre creux un par un derrière les caillots (si peu) tu dors on a tendu quelque chose tu ne pourras t'en aller cette barre de métal entre tes dents gencives ces manières douceâtres seins douloureux cicatrices poisseuses il te retient te brûlent avec des allumettes ce sont des gosses jus verdelet sur ton ventre dessinent avec leurs doigts on te donne un objet enduit de graisse noire et tu peux t'endormir avant qu'on te conduise près du fleuve on se doutait et pourtant on craignait personne ne viendra il n'est venu personne tu as pissé debout ça coulait de tes jambes et nous sommes rentrés il est dans une pissotière tu es derrière lui le branles ça file sur l'ardoise tu t'approches te penches amoureuse langue folle amoureuse lécher ces filaments et les crachats la mousse vert foncé au cinéma glisser ta main caresser l'homme les hommes te lever lentement te lever déranger tout le monde te suivent sont deux quatre cinq chacun est attentif et te donner debout vacillante dos contre la faïence qui faïence qui ruisselle sa robe retroussée gencives rouges langue qui n'arrête jamais ils sont entre tes jambes ils obéissent ils sont en quelque sorte (inaccessibles) ils sont en toi ils remuent ton ventre cette glaise tremblent un peu ont un frisson cela s'écoule un autre le remplace hoquette ça déborde c'est idiot bruit d'escargot qui dégorge d' heure en heures en plein soleil sur le sel et la bave et mucus plage dans l'aquarium on se tord fait trop chaud cela fait mal des hommes avec des vêtements couverts d'aiguilles la serrer dans un coin doigts avec des chevalières elle saigne elle regrette elle l'a bien mérité il fallait réfléchir avant ne pas grimper cet escalier avec cette jupe moulante cet homme qui te suit et tu n'essayais pas un bar un verre un couloir un couloir une présence froide tu montes l'escalier il t'attendait en haut il était près de toi tout près dans le métro vous aviez l'habitude contre toi dur et tu bougeais un peu ta main derrière tu le tenais il a joui tu étais belle et inquiétante en haut de l'escalier il a ce short trop large des espadrilles une médaille en or sur son torse bronzé (Viens) tu t'assois près de lui prend ta main la glisse dans son short Tu vois... serrer et caresser il se penche en arrière yeux fermés savourer Suce... et tu baisses le short tu te penches et tu prends il appuie sur ta nuque et tu tousses Ta langue... il te tient par les cheveux la pointe de ta langue l'agace frôle un peu ça peut durer longtemps silence à peine bruit léger ta langue il n'a pas joui il regarde sa montre bâille se rajuste et s'en va Qu'est-ce que tu veux encore? tu as ce geste à peine un geste imperceptible tendre enfantin il plaque sa main entre tes jambes Ça te démange hein? ricane retourne-toi penche-toi en avant il relève ta robe te caresse les fesses descend ton slip jusqu'à mi-cuisses effleure le pubis l'intérieur de tes jambes et tu retiens ton souffle il est en bas il se moque de toi tout le monde t'a vu elle s'avance dans la chambre sur le lit sale elle regarde elle embrasse les draps lèche les taches jaunes suce le drap gémissant elles se regardent dans la salle de bain elles ont les doigts en sang morceaux de verre lui enfonce une brosse à cheveux dans la bouche la fait aller à quatre pattes aboyer et pisser on lui enduit les fesses elle se rhabille en grimaçant quand elle n'obéit pas ils l'attachent la frappent avec une ceinture lui tordent les poignets des jours sans boire sans manger fièvre poignets et chevilles attachés au sommier on laisse ouvert un long bâtiment gris des chambres ce va-et-vient ne porte qu'une blouse en coton gris étroite trop courte en coton gris sale usée on lui bande les yeux de vieux messieurs jouent parfois avec elle on l'emmène dans un square et on lui fait manger morceaux de viande crue les vieux la pincent elle se masturbe sans arrêt et on lui tape sur les doigts avec une règle en fer si cela continue, nous devrons vous punir elle doit s'agenouiller avouer inventer elle se tortille ses doigts sentent mauvais et ils l'embrassent sur la bouche elle doit rester à genoux sur le gravier langue tendue hélas nous n'y sommes pour rien les enfants vous lapident on l'enterre chaque soir à la hâte dans la terre feuilles mortes on la jette on la recouvre on lui a mis la tête dans un sac en plastique on a serré on lui ouvre le ventre on puise à pleines mains le chien a emporté sa langue les fourmis l'ont mangé le vieillard dans la chambre secoue son sexe mort gémissant met ses doigts gratte griffe ça le désole la fille est morte attachée on continue de venir son sourire est plus beau ses lèvres violacées des bêtes aux commissures on vient on lui crève le ventre ce jus dans la fosse on verse le ciment monte jusqu'au menton on a placé un entonnoir entre ses lèvres chacun se branle crache une femme vomit ça sort par les narines on lui entre entière dans le ventre la tête de l'enfant mort à travers les barreaux du soupirail accepter tous ceux qui se présentent on lui donne parfois un morceau de pain son haleine sa langue elle a le regard flou la pièce est plus petite chaque jour plus petite elle se cogne à la brique s'agrippe l'entrejambes les gardiens en ont fait obéir pour si peu ils entrent poussent dans un coin l'assiette avec les fruits ou les légumes puis ils attendent bras croisés elle doit proposer je le suce et je te je me branle non ils font non de la tête il m'encule et je suce ils font non Je danse? ils rient ils ont sorti leur elle danse à genoux bruit choc genoux sur les dalles sang noir s'approche suce lèche s'éloigne s'affale pour finir ils renversent l'assiette piétinent les aliments elle embrasse leurs chaussures lèche les fragments ils disent qu'elle va sortir bientôt déjà deux ou trois hommes attendent derrière les barreaux elle est pendue à cet arbre tout noir elle se tortille on l'arrose de vin sa langue noire pointue l'huile ruisselle sur ses fesses les hommes se branlent dans le noir ils jouissent dans leurs mains portent leurs doigts à sa bouche triturent elle ne bouge pas simplement elle tourne sur elle même une bouche est sur elle sur sa bouche elle retire son slip s'approche saisit sa main et lui suce les doigts c'est lumineux ses dents sont toutes petites c'est l'innocence Salope, pute il a joui elle lui lèche le ventre ficelle qui passe entre les fesses ficelle entre les lèvres de son sexe cheveux englués Salope, pute il la frappe chaque fois chacun se touche en regardant on fait passer une coupe où très scrupuleusement (elle est assise au milieu d'eux jambes ouvertes sa robe mouillée elle prend la coupe la soupèse la porte délicatement à ses lèvres elle est pleine à ras bord elle avale à petite gorgées C'est presque froid avouera-t-elle) oui nous nous ennuyons nous allons vous tuer vous enfoncer les yeux des fers chauffés au rouge nous vous aimerons bien nous la trouvions trop vive trop souriante toujours contente alors sur les tessons l'empale gentiment cadavres redressés pantins aux sourires béats chaque soir on l'empale chaque soir un peu plus largement comment gagner l'argent? on la laisse toute seule toute la nuit ses pieds touchent à peine le sol la forme de l'objet qui avance on la garrotte avec du fil de fer on l'oublie on ne l'oblige pas La pute, la salope tous les garçons lui sont passés dessus elle est gênée on la pousse dans une haie on l'attache à un piquet et puis elle meurt sans y penser |