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beaux étals la viande qui ma ma qui mascule mascule, qui dans les ornières s’estompe au gré des écarlates la nuit des crins sous un équarrissage à mazoute et soldats qui mâchoirent à grands pas au creux du lac de Meurent qu’aucun givre ni tendon ne deuil ne ne ni rien, mais seule, sans ses cellules : la triste des patrouilles qui n’ont pas froid aux bombes maintenant bouche Saint Schizo qu’il mousse d’humide sur la langue et surtout de dépèce et s’insecte les le les tympans à l’heure des gémisses, des pourtant se pupillent le couteau ni les étouffes de poils, d’ailleurs l’étrangle de gorge où paissent les rumines, les grinces par tous les tanks et vont par les tranchées s’écarquiller les trompes sentinelle glisse sous son seul et silence parmi les rhésus et malgré la folie des fractures la triste des patrouilles lui obscure les épines, lui lèvre les punisses en plein palpite au retour d’hurle se serrer les écumes, se baver les secs de fémur et brises d’après les hématomes alors tourbe l’intestin, glaise le regarder camouflage de la patauge en fronçant les lichens |
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