| Le chien et l'ivrogne pratiquent avec une même obstination désintéressée le surréalisme de l'écriture automatique sur les trottoirs puants de la ville. J'ai presque toujours un pincement au coeur quand, passant sur le trottoir, j'entends tinter dans une maison vide les sonneries continues du téléphone. Je me demande ce que les papillons de nuit font une fois qu'on a éteint les lampes, la lumière autour de laquelle ils tournoyaient ? (idéologie ruinée) |
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