« Par où entrer dans l’œuvre visionnaire de F. J. Ossang ? En le lisant, en écoutant sa voix. Depuis 1975, son insurrection lyrique agit sur plusieurs fronts : littérature, chant, rock n’ roll. Il s’attaque au cinéma en 1982 « quand la musique ne suffit plus ». Animé de la même pulsion de vie qui fit jaillir l’incandescence punk de l’Occident moribond, il radiographie le siècle à rebrousse-poil, porté par sa passion pour l’argentique, le noir & blanc, l’usage de cartons, les dialogues trempés de mystère. Dans son cinéma se réinvente une mythologie des temps modernes, constellée de références, propos décalés, sans clivage entre les genres, du récit épique aux films d’espionnage. » Rencontre avec Michèle Collery, autrice de « F.J. Ossang. Cinéaste à la lettre » (Éditions Rouge Profond)
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