le prix de la gratuité


Je serais bien allée écraser quelques tongs à la villette hier aprem, et marchander un disque à Guy Mercier. A 14h en tous cas, le projet paraissait réalisable et même souhaitable. Et puis je ne sais pas ce qui s’est passé, si c’est la crainte du djumbé, ou celle de croiser des fans de Secret Chief III, quand j’ai relevé la tête il était 19 heures et j’étais encore sur internet.

Je crois que j’ai passé l’après-midi à downloader des insanités géologiques en écoutant les Swans. Nabila m’a filé les « Soundtracks for the blinds » en échange de mon hospitalité, on verra si ça m’aide à trouver l’Agarttha.

Il faudrait aussi avouer qu’on n’a pas réussi à faire cracker les barmen de la Féline malgré notre selecta inspirée du Hellfest, et un crescendo d’enchainements dramatiques suivis de Plasto Béton et Grim Reaper, alors que c’était quand même le but. Et je voulais dire aux lecteurs du blog qui sont venus nous demander le hit de Lova Moor que je le passerai la prochaine fois, promis, sur la tête de Jonas Delaborde.