il y a quelques jours, j’ai passé la version longue de smalltown boy dans l’appartement où je vis pour le moment – on jouait aux échecs, c’était bien –
j’essaie souvent d’expliquer aux gens pourquoi bronski beat, pourquoi les pet shop boys, etc … – oui, « expliquer aux gens » : l’idée en elle-même est problématique, je sais – mais bref, je parle des synthétiseurs, de l’intro sur la version live de decades, de la scène de l’assassinat dans gomorra, celle où l’autoradio diffuse de l’eurodance à fond – je parle de mes souvenirs nocturnes, en voiture, avec de l’italo et de la drogue, mais généralement, là, j’ai déjà perdu l’attention (ou la possible approbation) de mes interlocuteurs –
pourtant, j’aurais aussi aimé leur dire qu’on devrait remplacer la bande son d’histoire(s) du cinéma par du OMD (on peut garder les passages avec de la musique classique, ceci dit) –