L’électronique de puissance a été à l’origine inventée par William Bennett en tant qu’élément des sleevenotes à l’album Psychopathia Sexualis de Whitehouse, et est liée à la scène industrielle tôt de disques mais plus tard est devenue davantage identifiée avec la scène de musique de bruit. Elle se compose en grande partie pousser des cris perçants des vagues de rétroaction, les synthétiseurs analogues faisant la secondaire-basse palpite ou les bruits de couinement à haute fréquence, et crié, tordus, lyrique souvent détestable et blessant. Profondément atonal, il n’y a aucune mélodie ou rythme conventionnelle dans l’électronique de puissance.


JOHN RAMBO est un film complètement Power Electronics (c’est d’ailleurs une coïncidence mais un des mercenaires dans le film ressemble énormément au chanteur de bloodyminded)

merci à MONOPOLKA qui a sauvé notre week-end au Benelux, le festival KRAAK s’avérant une déception assez édifiante, et tous les harshnoiseux et leurs samplers et leurs pédales d’effets flambants neufs FATIGUENT