vous pouvez lire ces paroles, elles me font rire encore aujourd’hui


Au bar du bar-tabac, en formica
Tu planes avec ta gitane, tu racontes des histoires
Mais le correspondant que t’as téléphoné est occupé
Alors tu tires encore un coup sur ta cigarette

Tu fumes, comme un nicotine queen
Qui frime, comme un nicotine queen

Tu blases le sexe et le luxe, tu les mets dans ta poche
À t’en croire, ta bagnole, ça c’est autre chose
C’est ton char de tueur de prime
Tu envoies tout le monde sur les roses
Tu domines et tu fascines

Comme un nicotine queen qui fuzz
Comme un nicotine queen qui punk

Au bar du bar-tabac, en formica
Tu planes avec ta gitane, faut te voir
Quand tu lis le grand journal, journal de boulevard
Tu te dis: « ça me regarde pas » et tu ranges ton foulard

Comme un nicotine queen qui frime
Comme un nicotine queen qui fuzz

Maintenant que tu es propre et clean
Maintenant que t’es un mec réussi
Tu es pop et rock, en même temps
Que tu bois du gin-fizz
Tu écoute du Tamla-Motown à longueur de nuit
Tu te crois né à Tennessee

Mais il n’y a que tes poumon,
Il n’y a que tes lunettes qui sont noires
Tu n’es qu’un nicotine queen
Tu n’es qu’un nicotine queen
Qu’un nicotine
Qu’un nicotine
Qu’un nicotine queen… Blanc