C’est une archive du temps où on pouvait fumer dans les aéroports.


oui, passons
en ce moment je lis camp de concentration dont je n’ai pas réussi à scanner correctement la couverture or de l’édition ailleurs et demain
bien
j’ai écouté vomito negro, finalement pas très intéressant, il y a un bon morceau comme du kraftwerk plus sombre et je l’ai rangé
j’ai écouté frijid pink du gros blues fuzz, américain, je l’ai rangé
en lisant dans le metro je me suis rendu compte de l’accablement que m’attire ces connaissances
c’est dommage vraiment que vous ne voyiez pas la couverture or
elle représente bien ce dont je parle
puis j’ai mis oneida, une musique qui ne correspond pas à mon état d’esprit mais qui est capable de le transformer, c’est à dire idéale
attendre
voici ce que dit bresson sur le modèle, voici ce que je n’ai pas dis l’autre soir ce à quoi j’ai pensé sans le dire toutefois
pas d’ostentation. faculté de ramener à soi, de garder, de ne rien laisser passer dehors. une certaine configuration interne commune à tous. des yeux. peut etre pourquoi je n’en ai pas parle, je ne connais pas ces textes là par coeur, je sais juste que c’est de ça dont parlait la fille, elle aurait pu le dire elle, encore A tes modèles: « parlez comme si vous parliez à vous-mêmes » MONOLOGUE AU LIEU DE DIALOGUE. écrit il en majuscules
sans pour autant savoir si cela correspond à ce que nous avons vu et sans vouloir forcer ce langage sur les images, j’ai beaucoup aimé ce film le redire deviendrait ridicule maintenant je vais ranger le livre
j’écoute
fort heureusement oneida 3f80_1.JPG l’accablement s’estompe mais la connaissance
augmente aussi