rétrospectivement je préfère les derniers albums de Tim Buckley aux premiers, ce passage qui a lieu avec greetings from l.a., entrée dans une courte période de blue-eyed soul déglinguée et puis la mort
il n’y a rien de plus à dire
rétrospectivement je préfère les derniers albums de Tim Buckley aux premiers, ce passage qui a lieu avec greetings from l.a., entrée dans une courte période de blue-eyed soul déglinguée et puis la mort
il n’y a rien de plus à dire