**Et, hier j’ai reçu ça : ERIC HYSTERIC: « Fool Around“ 7“, 1983/Wasted Vinyl 009, Fool Around/I Want To Be A Kid Forever.
L’image vient de Punk-Discographie – 1977-1984, site qui est célébré dans nos liens, qui sont là, tiens d’ailleurs.
**Et ça m’a fait penser à une série de questions que je me pose fréquemment, sur le r*ck comme métier, pas à propos des vedettes comme on lit parfois mais de mes héros ordinaires, comme Eric (Erich Knodt, aussi avec Der Durstige Mann auteurs du fameux IM WINTER WHISKEY, IM SOMMER PERNOD, et Vomit Visions etc.) dont je ne sais ce qu’il est devenu :
– bien sûr, que sont-ils devenus ? que font-ils pour vivre ?
– mais aussi, combien ça rapporte une pauvre carrière tant qu’elle dure? est-ce qu’ils travaillent en même temps? à quoi? combien ils reçoivent et de qui?
Parce que si on imagine le r*ck comme un truc désintéressé, pour l’amour de l’art etc. (et c’est d’accord, hein), c’est aussi un métier, une activité économique.
note : se souvenir de Mylène Khaski du groupe « Punk Bourgeois Parisien » (à Envoyé Spécial?) qui vendait des avions pour Matra en Asie et écoutait les Beatles sur sa mini-chaîne, pitié…
