A CHAUD – Stéphane Durand-Souffland, chroniqueur judiciaire au Figaro, s’étonne du fait que l’ancien membre d’Action directe soit «visiblement resté fidèle à ses idées».


non, rien n’y fait
j’ai cru que la lecture des commentaires des lecteurs du figaro allait me faire rire mais même ça n’a pas marché
ce matin je voyais une fille qui lisait la biographie de cezanne alors je me disais, ça doit etre comme ça la biographie de cezanne:
le petit cezanne aimait beaucoup sa maman et cet amour était mutuel. le matin elle lui servait des tartines de confiture, elles les préparait elle même avec les fruits du grand verger hérité de l’oncle georges un méchant homme mais qui les avait mis à l’abri du besoin. le petit cezanne raffolait de ses confitures dont les senteurs allaient l’habiter toute sa vie, il en recouvrirait ses peintures comme bobby sands les murs de sa cellule, de ses excréments.

pardon je me suis laissé allé il y a une erreur, il fallait lire

It is said we live in modern times,
In the civilised year of ‘seventy nine,
But when I look around, all I see,
Is modern torture, pain, and hypocrisy.

In modern times little children die,
They starve to death, but who dares ask why?
And little girls without attire,
Run screaming, napalmed, through the night afire.

And while fat dictators sit upon their thrones,
Young children bury their parents’ bones,
And secret police in the dead of night,
Electrocute the naked woman out of sight.

In the gutter lies the black man, dead,
And where the oil flows blackest, the street runs red,
And there was He who was born and came to be,
But lived and died without liberty.

As the bureaucrats, speculators and presidents alike,
Pin on their dirty, stinking, happy smiles tonight,
The lonely prisoner will cry out from within his tomb,
And tomorrow’s wretch will leave its mother’s womb!

en montant dans le bus avec cette fille je pensais que je ne serais jamais qu’un p*nk
fidèle à ses idées et à sa matière
pour l’instant la seule chose dont j’ai envie c’est ça: null