je m’apprêtais à écrire ce truc romantisme comparé et je me suis assis pour fumer un cohiba en écoutant un wayne county, celui là tiens je ne me souvenais plus qu’henri padovani jouait dedans, les idées sur les hommes plus romantiques que les femmes, un homme plus romantique que cette femme, et donc la décuplation du romantisme, induit ou provoqué par ce vide là, ces idées là disparaissent probablement n’intéressent t’elles qu’une seule personne {au lieu de dix} et finalement le summum de ce romantisme est incarné {entre autres, etc.} forcément par le travestissement qui est je dirais à l’origine du punk à un moment où les cheveux longs de la génération pourrie d’avant deviennent ceux d’une femme et puis disparaissent et le garçon apparait, vous voyez ce que je veux dire.
ce qui me manque, je le sais bien, c’est le camp
et non le queer ne m’a jamais intéressé, je n’y trouve pas grande chose pour moi et certainement pas de romantisme
le camp c’est le plus beau et c’est le plus triste le romantisme est une éxagération, une moquerie théatrale du sentiment abject de l’amour et de sa pire incarnation, la femme, je parle de son image telle qu’imposée par la culture de la classe dominante
ouais, CHIT CHAT, BABY
bien,je crois qu’il en est assez de cette histoire pour le moment, juste une chose
j’ai lu quelque part que le disque en question serait la maquette de ce qui deviendrait l’electro-clash
d’abord je défie qui que ce soit d’entendre le synthé de david cunningham, un personnage bien sur-estimé, autre part que dans le sublime waiting for the marines et le morceau suivant
le camp c’est l’exception qui confirme la rêgle dans un monde où l’on souhaite qu’il n’y en ait plus jamais, ou quelque chose comme ça… vous savez qu’on est dans un pays {?} dont le président {?} de la république {?} vient seulement de voir 2001 l’odyssée de l’espace {!}
enfin, ici des paroles intelligentes de personnes intelligentes, je trouve
pour changer