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— Le communiqué de presse victorieux.
L'action racontée par
— Des photographies de cette folle soirée, par Julien Brygo (Collectif Item).
— Les CRS se démènent sans compter pour protéger les élites parisiennes, par Olivier Vilain, Le Courrier, 27/11/2010.
— Les oligarques du Siècle chahutés par le peuple, par Hervé Kempf, site Reporterre, 24/11/2010. [Avec des sons]
— Le dîner du Siècle était bien gardé, par Michel Soudais, Un hérisson dans l'aquarium, blog@Politis, 25/10/2010. [Avec ses photos et de nombreuuyx commentaires]
— Dans les coulisses du "Dîner du Siècle", par Richard Place, France Info, 25/11/2010. [Avec reportage audio]
— Interpellations lors d'une manifestation contre un dîner du "Siècle" à Paris, AFP. [Avec 3 photos]
Mea culpa du Siècle, par Anne Fulda, Le Figaro, 30/11/10
Une centaine de mails. Des réactions attristées ou étonnées. De certains membres du conseil d’administration du Siècle. De sa mère. D’un ami, lors du match auquel il a assisté, samedi : « Alors, mon vieux, tu y vas fort ! ». Denis Kessler, président du Siècle, dit avoir connu « trois jours assez éprouvants » et avoir été contraint, sous la pression, de rassurer les membres de son conseil d’administration, et sa mère qui ne le connaissait pas sous ce jour-là. Tout cela à cause d’un article D’un article que j’ai écrit et qui a été publié la semaine dernière en une du Figaro, sous le titre « Brise révolutionnaire à l’entrée du Siècle ». Un « papier » dans lequel je racontais comment le dîner mensuel du Siècle avait été troublé par quelques manifestants et comment certains des membres de ce club très select — qui réunit l’élite du monde le la politique, des affaires et des médias — avaient réagi. Avec plus ou moins de sang froid. J’indiquais ainsi que Denis Kessler aurait accueilli les manifestants en termes assez virils. Or c’est faux. Je me suis trompé. Ou du moins un des interlocuteurs qui m’a raconté la scène s’est trompé. Ce qui revient au même. Mea culpa. La phrase exactement — « Si tu poses la main sur moi, tu vas te prendre un coup de boule, connard » — a bien été prononcée. Non par par Denis Kessler, qui a gardé un calme olympien. Mais par un éminent patron de presse préférant gardé l’anonymat. Pour ne pas donner le mauvais exemple à ses enfants.
— Et : « Le Siècle face à ses injustes critiques. », Denis Kessler, Le Monde, 15/12/2010.
— Brèves : Interpellations au dîner du Siècle, Backchich, 25/11; Dîner du Siècle : interpellations après manifestation, Arrêt sur Images, 25/11; "Dîner du siècle": plusieurs interpellations lors d'une manif', Le Post, 25/11.
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