Contemporains |
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Favoris (Les) |
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Avertissement !
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Les photos. |
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I.
lle est venue le voir pour causer mais déjà, lil humide, il lui montre la pochette. À lintérieur les derniers développements des photos quil a prises. - Vous voulez regarder les photos à côté de moi ? Elle est jeune et ingénue ou feint de lêtre et ne se fait pas prier. Elle reste toutefois debout pour contempler les premiers clichés en se penchant avec excès pour les mieux voir. Plus que voir elle exhibe son décolleté sous les yeux du vieux qui sourit avec gourmandise. Ses seins gonflés vont et viennent sous leffet de sa respiration lourde, leurs pointes percent sous le tissu. Il pourrait les toucher mais ne veut rien brusquer de peur de rompre le charme. Il linvite à sasseoir à ses côtés, les photos quil lui dévoile deviennent de plus en plus explicites. Parfois elle pousse des petits ho ! offusqués suivis dun rire. La sentir si proche, sentir sa chaleur sous le tissu commence de lexciter et son sexe se durcit dans la culotte. - Je suis sûr que tu seras plus jolie que celle là, dans la même posture. - Vous croyez ? répondit-elle naïvement. - Il faut essayer. La photo en question est celle dune femme renversée sur une table, fesses nues et qui tire la langue. Cest une photo des années folles, « la Belle Epoque ». Elle ne cesse de rire et le rire lencourage à persévérer et préciser ses avances. Déjà ses doigts sengagent sous lélastique noué à sa taille. Elle se contente darrondir les lèvres et pousser ses petits ho ! de surprise et dindignation mais rien dans ses mouvements ne se refuse aux mains du vieux. Au contraire son air lascif trahit son goût de figurer une jeune proie séduite. - En place ! ordonne le don juan. Déjà se levant ses seins palpitent et remuent comme sils voulaient quon les libère. Elle se tourne à moitié et attend quil dispose sa robe comme sur le cliché salace. Il la soulève et découvre ses fesses arrondies divisées par le tissu dun string blanc. Il fait mine de comparer la pose avec celle de limage mais ses yeux en vérité ne se détournent pas de lobjet désiré. - Il me semble que son derrière est plus ouvert, et quelle est penchée en avant. Docile la fille sexécute et se ploie. Il ouvre sa chemise doù jaillissent ses belles mamelles impatientes. Dans sa tête il se répète ces mots « plus ouvert » et son index écarte le fil du sillon. Son cul est une rose sombre tout à fait nue et imberbe mais il a envie de louvrir plus encore, de le creuser, de le faire bailler. Il applique ses mains sur chacune des fesses quil écarte au maximum. Sous la pression elle lâche un vent inaudible et lespace dun instant sa bouche dombre forme un petit O délicieux. Le vieux décide quelle mérite un gage pour expier son inconduite. - Un gage ! chante-il tandis quelle glousse toujours courbée, les pointes des seins écrasées sur la table. Alors il pousse un doigt dans son anus après lavoir enduit de salive. Il glisse toute sa phalange, elle se referme autour du majeur et semble le serrer dans son fourreau comme par jeu. Empourpré il sent son sexe se dilater, il a envie de le toucher, de jouir très vite. Il baisse sa braguette avec précipitation et sa queue sexhibe à la lumière. Dès quelle le voit elle pousse un cri. - Oh, grand-père ! Et se met à rire. Ses dents sont blanches, ses gencives roses resplendissent comme son petit sexe seulement couvert dun étroit duvet. Sa langue est longue et pointue et ses lèvres semblent soffrir tandis quelle clôt les paupières. Il sapproche, un sourire féroce, et lui présente lobjet. Toujours les yeux fermés elle le frôle de sa langue et en baise le bout. Il a un goût mêlé durine et de citron, elle le passe sur ses lèvres et sur ses joues pendant que le vieux sempare de ses nichons aux pointes tendues. Il les presse, les pince, il a envie de lui faire mal et pousse son ventre en avant jusquà ce quelle absorbe sa queue. Pendant quelle le suce en laissant courir sa langue sous la hampe et les couilles, il glisse son majeur entre ses fesses, entreprend quelques va et vient puis lui donne à sucer. Elle lèche aussitôt les deux membres ensemble et avec tant dapplication quils sortent de sa bouche immaculés, sans plus de lie ou dodeurs que celles de son palais. Son rire sest éteint mais elle hoquète et son ventre a de petits soubresauts. Elle mouille elle est baveuse, le vieux lui glisse trois doigts dans la fente, trois gros doigts aux bouts jaunis de nicotine quelle absorbe en feulant mais sans effort. Elle se frotte sur la table et demande quil lhonore enfin. Il hésite, sachant quà peine parvenu en elle lexcitation videra son désir aussitôt, alors il lui lèche le cul, lauréole et le sillon mais elle réclame son dû plus fort. Les doigts de ses deux mains la fouillent, elle même y ajoute les siens (petits, mignons, peints de rose) dans un désordre de spasmes et de liquides.
Debout il crache entre les fesses dIrène et répand patiemment sa salive autour du muscle serré. Elle se soulève en cadence sous laction du désir ignoble qui lui torture les entrailles. Il force lentrée des deux index quil tire de chaque côté pour faire bailler son petit orifice. Elle a un cri aigu et relâche son étreinte comme soffrant sans calcul, prête à recevoir linfamie. Alors, après avoir humecté son gland de la mouille dIrène il le fait pénétrer à lintérieur du conduit, dur et fier, quand il est au fond son ventre opulent le dérobe aux regards. Il veut pourtant (il exige, et nentend pas être démenti) tout voir, chaque détail, et minutieusement le noter au fond de liris, le retenir, lanalyser, ne plus oublier mais il manque de mains pour maintenir la croupe mince grande ouverte et soulever le poids de son propre ventre. Elle ne prête attention à aucun de ses scrupules vaniteux, absente tout à fait tandis quil réclame pour lui-même davantage de présence et de matière. On entend des cris et des souffles rauques, des hurlements et des chuintements, des gémissements lents, des chants aussi jusquà ce quil jouisse dans son rectum sans rien voir. Elle seule ressent lultime dilatation, les brûlantes lampées du sperme et puis la douceur du membre soudain plus glissant et plus tendre. Sa chair vive se désaltère à une source fraîche. Comme il séteint et quelle en veut davantage il sempare du litre vide qui traîne sur la table et lenvoie remplacer sa verge détumescente (affligée). Elle le laisse lenvahir jusquà lendroit où la courbure du récipient sévase, il sessaie à regarder au travers. Elle pousse dautres cris puis sépuise. Il retire alors la bouteille et, sans raison, lui glisse entre les mains. Elle tient la bouteille en lair un long moment comme si le temps sétait arrêté ou quelle se trouvait suspendue à un ordre qui ne viendrait pas. - Bois donc au goulot ! décrète le vieux. Elle se saisit alors goulûment de la bouteille doublement souillée et se délecte du jus qui en coule. Les yeux fermés on distingue le tracé du Kohl sur ses paupières comme des signes impudiques sur un visage dange. Elle glisse sa langue dans lanneau de verre et se met à rire si bien que le vieux, ivre et fou de désir, sempare de cette bouche heureuse pour la laper furieusement, longuement, sunir enfin à sa belle jeunesse. Leurs langues se mêlent en des bruits de ruisseaux, son haleine sent la fraise et lui le vin, également sucrés (cest du moins ce quil prétendra plus tard. Mais quen savait-il au milieu de tous ces parfums répandus ?) Elle va quitter les lieux. Sa jupe poisse de partout et son slip, dans un coin, semble un chiffon gorgé deau. Le vieux sen empare et refuse de le rendre. Avant de séclipser il convient avec elle dune prochaine entrevue. Défaillante, saoule, un peu groggy, elle se laisse convaincre (par sa joie.)
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