hier, une anecdite inedote de la poste nous arriva,
dans notre boite ils avaient réussi à mettre un paquet si gros que V. {pour une fois qu’elle regardait le courrier} n’a pas réussi à le sortir par le trou et moi quand je suis arrivé j’ai ouvert, je n’étais pas prévenu, je me suis tout de suite dit mais comment ils ont fait pour mettre un aussi gros paquet dans cette boite que pourtant une autre fois on avait désignée comme trop petite et j’ai essayé de tirer impossible de sortir ce paquet de la boite il était tout en travers et bloqué en haut et en bas alors en ayant marre de tirer je me suis mis à contraindre et accompagner comme une césarienne de rachida dati, terrifiante idée je vous l’accorde, ou plutot les forceps de notre amie D.
l’opération ne prit pas 24h mais quelques minutes et je fini par extraire le truc
un carton qui se trouvait de plus glissé dans un sac en fausse toile blanche, vraiment un ensemble parfaitement odieux
puis j’ai écouté autre chose
compilation de plusieurs groupes de ce monsieur rob vasey, principalement dry rib, avec de très bonnes notes d’edward ball. nulle part il n’y mentionne television alors que ça sonne très fort comme télévision, je suis tenté de dire sans personalities mais non il y a pas mal de personnalité anglaise là dedans, television mâtiné de hatfield and the north; toujours est il qu’au milieu du disque je m’en senti fatigué.
puis ce disque ce qui est bizarre c’est que j’avais pensé jusqu’alors que julie doiron était une conne, ne me demandez pas pourquoi, mais j’ai bien aimé ce disque de mt. eerie et puis au bout de la première face ça m’a assoupi
mais, si, celui là était bien dans la boite
allons