Pour lire pas lu

Pour Lire
Pas Lu

 

 trait.gif (119 octets)

   

 

crane

Le journal qui mord et fuit...  

Prix : 10 F 

 

trait gris

   
   
 

 Sommaire

 
 

  Nota : ne sont mis en ligne que certains articles du journal ; l'intégralité du contenu, notamment les dossiers, est réservée aux seuls abonnés.

 La pire des censures : Ouverture du dossier

 La laisse d'or : Claude Sérillon

 Pour relire pas relu : Le tourisme de Touraine

 Bijou sociologique : une gauche de droite

 PLPL rééduque la presse :
« Le fait divers fait diversion »

 Les sardons parlent aux sardons

 Dossier : La pire des censures
— Vive le capital !
— Les vautours de Reporters sans frontières.
— Le parti de la presse et de l’argent.
— Les imposteurs de Télérama.
— La haine de la critique.

  Arnaud Viviant engage ses viscères

 Le BHL de la contestation : Ch. Aguiton

 Document : Le Monde colonise Toulouse

 PLPL vous offre :
« La semaine de Pierre Carles commandée et censurée par Les Inrockuptibles »

    

Les Sardons parlent aux Sardons

PLPL triomphe ! Lancé il y a un an, notre journal est en passe d’atteindre tous ses objectifs : purger le monde des médias qui mentent, des patrons qui plastronnent et de la gauche qui capitule. À l’heure où les coyotes socialistes assimilent aux nazis ceux qui ne voteront pas pour Jospin l’année prochaine (Mélenchon dans Politis, 18.05.01), où L’Humanité se vend à Lagardère et où les Verts caressent la croupe de Bayrou, l’équipe de PLPL se renforce et piétine les sociaux-libéraux – qu’ils soient imberbes ou moustachus. Le nombre des abonnés augmente de 20 % par numéro ; leur lucidité sardonique progresse plus vite encore. Le Roi du téléachat (RTA) et ses séides paniquent, interdisant à quiconque d’utiliser l’une après l’autre les lettres « P » et « L », ou de citer les mots « pour », « lire », « pas », « lu ». Un journaliste du QVM s’est placé sur un siège éjectable en menant une enquête sur le « téléachat » 1.

Les précédents numéros

Hélas, alors même que les médias qui mentent censurent nos travaux scientifiques, les abonnés à PLPL contribuent insuffisamment à l’expansion de la Sardonie. PLPL ne tire qu’à 4 000 exemplaires ; certains Sardons se contentent de le lire chez eux, empantouflés, au lieu de le diffuser, en poussant des cris séditieux, sur leurs lieux d’exploitation, sur la voie publique, dans les bistros, les librairies, lors des manifestations et réunions anticapitalistes. Cette forme d’indolence, indispensable dans le travail salarié, affaiblit la Sardonie : PLPL réclame de l’audace, pas des limaces. Sardons, commandez des numéros en nombre (pour les abonnés, 10 numéros = 50 F) et diffusez-les ! Des libraires se sont associés à notre cause. Il faut que leur nombre décuple et que leur approvisionnement soit toujours assuré. Repérer des librairies qui acceptent de prendre le journal en dépôt (moyennant leur commission habituelle à la vente) et nous transmettre leurs coordonnées est un devoir de l’Internationale sardonique. Le numéro 4 de PLPL a, par exemple, suscité la ruée des journalistes de Libération sur la librairie libertaire Publico (145, rue Amelot, Paris 11e) qui, à quelques pas du quotidien de Crassus-July, vendait PLPL. Sans la présence d’esprit de quelques Sardons venus réapprovisionner l’échoppe, elle eût été piétinée ! Afin que chacun retrempe sa combativité, PLPL ne paraîtra pas au mois d’août. Les prochains numéros seront consacrés aux falsifications de la réalité sociale par le discours économique, à la prévarication intellectuelle par la critique littéraire, aux mensonges de la presse sur les mouvements sociaux, à la propagande capitaliste de Radio-France, aux reniements de la « gauche », au Nouvel Observateur de Mouchard (qui ment), etc.

Les Sardons vont commander et diffuser par milliers ces dossiers qui font déjà trembler.

1. PLPL le soutiendra. Plus couard, Daniel Schneidermann, journaliste au Monde, s’est liquéfié lorsque, dans son émission Arrêt sur images du 20 mai 2001, un invité italien, peu au fait du contexte explosif français créé par PLPL, a associé la victoire de Berlusconi en Italie et la prolifération infectieuse des émissions de téléachat.

    

pointr.gif (823 octets) Abonnements