Pour lire pas lu

Pour Lire
Pas Lu

 

   

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Leurs crânes sont des tambours...

Le journal qui mord et fuit...  

Prix : 10 F

 

  

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Sommaire

 

 

  Nota : ne sont mis en ligne que certains articles du journal ; l'intégralité du contenu, notamment les dossiers, est réservée aux seuls abonnés.

 Le Parti de la Presse et de l'Argent : ouverture du dossier.

 La laisse d'or : Jean-Paul Enthoven.

 Pour relire pas relu.

 Quand les intellos médiatiques partent en guerre.

 PLPL rééduque la presse.

 Les Sardons parlent aux Sardons.

 Index sardonique des noms cités.

 Dossier :
L’Hospice de la pensée zéro : Le Nouvel Observateur.
l'Obs et les grèves de 1995.

 La vérité sur Laurent Mouchard.

 Brèves moustachues.

 Le « spécialiste » que les médias s’arrachent : Raymond Soubie.

  Enquête : Entrée en bourse du Monde.

 « Résistants » au Kosovo, « terroristes » en Palestine.

 Démontage de texte : Le Monde, voix de l’Amérique.

 Le capitalisme à visage humain : Carlos Ghosn.

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 Les Sardons parlent aux Sardons

 

 

   
À l’heure où la presse appâte (les annonceurs), informe (la police) et chloroforme (le peuple), PLPL vit et vibre ; PLPL triomphe. Pour la plupart des abonnés qui ont reçu ou commandé nos neuf numéros publiés à ce jour, c’est le temps du réabonnement.

   

SARDONS,C’EST LE MOMENT !
RÉABONNEZ-VOUS ! !

   

De trop nombreux Sardons jouissent égoïstement de leur journal. Ils doivent accepter de partager leur plaisir ; il leur faut instruire leurs amis, leurs amies et tous les camarades de la nécessité de détruire le PPA. À chaque occasion, les Sardons expliqueront : « Le téléachat moustachu doit périr. C’est la lutte finale. Décrétons le salut commun – et l’abonnement pour chacun. »

Créé à Millau en juin 2000, PLPL a multiplié par quatre le nombre de ses lecteurs depuis la parution de son premier numéro. La progression s’accélère, dopée par nos dossiers sur l’insécurité des médias (n° 6), la Peste France Inter (n° 7), la gauche qui capitule (n° 8). Tiré à 6 000 exemplaires, PLPL a épuisé presque chacune de ses éditions : le numéro zéro n’est plus disponible, le n°1 (consacré au QVM) et le n°4 (consacré à l’ESU) ne le seront plus très bientôt. Car de nombreux abonnés commandent dix numéros, anciens ou nouveaux, au prix de 10 euros pour éclairer d’une lumière sardone les ténèbres qui les enserrent. Si la Sardonie leur a rendu les yeux et la mémoire, la Sardonie leur doit aussi la vie.

PLPL est le seul journal de critique des médias en France. En revanche, les publications schneidermannoïdes de critique-alibi se multiplient. Médias, un bimestriel luxueux et laid édité par plusieurs scribouilleurs sans talent de Courrier international (groupe Le Monde) eux-mêmes conseillés par un sociologue rampant (Cyril Lemieux), interroge avec vassalité dès son premier numéro Edwy Plenel, directeur de la rédaction du QVM (avril-mai 2002). Le Quotidien vespéral des marchés y est présenté comme un « journal de l’information qui dérange » ; le Roi du téléachat n’est interpellé ni sur… le téléachat ni sur l’entrée de son journal en Bourse ; le « journalisme d’investigation » est glorifié. Pour PLPL, les choses sont claires : Médias ment (par omission) au service du Parti de la presse et de l’argent (PPA). Ce journal sent la mort.

Cette analyse a été confirmée sur le champ : Médias fut loué et léché par tous ceux que Médias louait et léchait. Le QVM, bien évidemment, mais aussi l’ESU, Le Point, le Journal du dimanche, Stratégies, etc. La comparaison avec le traitement réservé à PLPL nous honore : notre journal, lui, a obtenu de n’avoir à ce jour jamais été cité ou évoqué par Libération, Les Inrockuptibles, Télérama, Le Nouvel Observateur, etc. PLPL s’en félicite.

Vive la Sardonie libre ! Vive PLPL ! !
   

  

  

Index sardonique des noms cités

  

  

   
Sardonie
: territoire intellectuel libéré par PLPL.

Sardon : militant de l’Internationale sardonique (IS), abonné à PLPL et qui s’emploie à le diffuser.

PPA : Parti de la Presse et de l’Argent. PLPL le détruira.

QVM : Quotidien vespéral des marchés bientôt coté en Bourse, parfois appelé Le Monde. Y bat le cœur du PPA.

ESU : Écho des start-up, parfois appelé Libération. En perdition.

Hospice de la pensée zéro (HPZ) : Le Nouvel Observateur, hebdomadaire de la gauche qui capitule [lire p. 3 à 5].

Inspecteur Javert : Hervé Algalarrondo, responsable du service politique de l’HPZ et adorateur de la police [lire p. 3 à 5].

Laurent Mouchard (qui ment) : Laurent Joffrin, directeur (menteur) de la rédaction de l’HPZ [lire p. 6-7].

Le Plagiaire Servile : Alain Minc, président du conseil de surveillance du QVM et essayiste balladurien raté, condamné pour « plagiat servile » par un jugement historique du Tribunal de Grande Instance de Paris, le 28 novembre 2001.

Le RTA, Roi du téléachat : Edwy Plenel, animateur moustachu d’une émission publicitaire sur LCI, directeur de la rédaction du QVM, directeur adjoint de la SA Le Monde.

Raminagrobis (ou Ramina) : Jean-Marie Colombani, petit échotier poltron et sans envergure, directeur du QVM.

Triple Crème : Alexandre Adler, amateur de plats en sauce, gloseur intarissable, directeur éditorial de Courrier International (groupe QVM).