24_dimanche

{17:45} quand j’écoute le dernier burial je me fais l’effet d’être un peu con, quand j’écoute

le dernier hype williams, pas
pourquoi ?
de toutes manières là j’écoute le dernier destroyer

le dernier ceci, le dernier cela
je crois que je voulais écouter willie loco alexander
{comme tout le monde}

hier soir je suis allé au baron samedi écouter max dembo, l’organisateur et son invité junior makhno qui passaient du hip hop
ce qui était bien cool, et puis là je peux écouter son émission de radio compton classic tous les dimanches
et ensuite encore
et max on peut écouter sa sélection ici
ah, oui, dans forced exposure il y avait aussi des articles d’eddie flowers
dites donc

{14:03} révélation

bon, je n’étais pas là et je n’avais pas internet
j’étais ailleurs à côté d’un énorme tas de cartons
à moi, des rebuts de différents déménagements, histoires à la con et j’ai retrouvé toute la collection de magazines r*ck {on va appeler ça comme ça} et j’ai relu 2 numéros de forced exposure
il y avait des trucs de richard meltzer dedans, tout un tas de critiques de disques écrites par 2 types seulement byron coley et jimmy johnson, dans le courrier des lecteurs un truc de 2 pages de charles gocher le mec des sun city girls qui est mort et racontait quelques pérégrinations musicales en extreme orient et que son oncle, je crois, sortait avec yma sumac {tout le monde prononçait son nom ami, apparemment} et l’histoire complète des child molesters, une interview avec drunk with guns, qu’est ce que vous voulez de plus ? ça c’est juste ce que je me rappelle maintenant, ah oui une autre interview de glenn branca et je me suis dit ah bof je ne vais pas lire ça mais il parle de la scéne de boston comment willie loco s’occupait de tous les groupes de leur trouver des concerts et aussi de leur apprendre à jouer ses chansons à lui, et comme glenn branca il supportait pas jonathan richman au tout début mais que quand le premier disque des modern lovers est sorti c’était LE disque il dit glenn branca etc. vous voyez alors après on se demande un peu où est ce qu’un tel magazine existe là maintenant et aussi je me demande moi qui ait lu ces milliers de pages de bomp, oz, crawdaddy, strange things, underground, oh etc.
je me demande comment faire ressortir
bon, j’étais là je crois que je vais m’y prendre
autrement