toi
17_samedi
8_jeudi
Sister, the world cannot hold us…
Brother, you can go your own way…
ce que je fais est facile
ce qui m’ennuie
c’est le temps que ça prend
salut
30_mercredi
10_jeudi
j’ai eu une pensée
un souvenir de dominique baudis
il était à un concert
aux bains douches
et un type a donné le maxi
d’artefact à jack lang
vous vous demandez ce
que moi
je faisais là
je ne sais même plus quel groupe
j’étais à gauche de la scene
si ça peut vous aider
alors je mets ça
8_mercredi
Je suis tombé là-dessus au détour d’une phrase d’un livre de Jean-Patrick Manchette, et donc grâce à lui je lis le rôle de la violence dans l’histoire, je sais très bien pourquoi je ne l’ai pas lu plus tôt c’est parce que je me disais pourquoi lire l’anti-duhring alors que je ne connais pas duhring, bon tant pis que ce serait il passé si je l’avais lu à disons, 14 ans ? je l’aurai oublié je pense
Mais aujourd’hui j’y retrouve des enseignements de mon père, peut être via Lénine
enfin
non c’est vraiment très intelligent
Il se trouve qu’il m’arrive de voyager dans la banlieue lointaine, je la trouve lointaine, m’y trouvant ce matin je vois qu’une maison dans laquelle a vécu karl marx se trouve là et un petit peu plus loin une autre plaque qui parle d’un séjour de claude monet, juste en face de ces deux maisons il y a une grosse gare en béton avec aussi un terre plein qui sert de gare de bus, bus qui partent dans toutes les directions de cette banlieue je pense qu’il y a bien une douzaine de lignes qui arrivent et partent de là avec pleins de gens qui attendent et débarquent. Je me demande bien ce qu’il y avait en face des maisons avant cette gare horrible, je me demande bien ce que les habitants de ces maisons voyaient à la place.
je note au passage que la lecture d’un livre est le seul antidote au téléphone je vous dis ça car je sais que ça peut être utile
En tous cas je n’ai vu aujourd’hui, par ailleurs, que bassesse et bétise
musique
de classe et de combat
5_dimanche
morceau bien
celui là
sur l’album de justus kohncke
J. trouve que ce disque est dans l’ensemble plutôt bon, moi je ne sais pas c’est un cd tout fin
et j’ai d’autres problèmes
J. me dit que c’est le pays où est né Hitler {en fait non il est né en Autriche, j’aurai du lui dire que tous ces trucs de pays ça n’a pas de sens} non, l’Allemagne c’est le pays dans lequel il est devenu un héros
aujourd’hui je prétends moi que plus personne ne sait qui est Hitler et comment il est arrivé au pouvoir, vous me direz on peut le lire dans wikipedia, bon très bien il y a UN endroit où on peut lire sur TOUT, je ne suis pas d’accord avec ça, je suis fermement contre, si il y avait un plugin qui empêche de voir wikipedia je le mettrais tout de suite comme on bloque les pubs
bon en fait je n’ai pas envie de parler de ça
je m’en fous
la situation n’a jamais été pire
celle que j’ai vécue
et vous avec moi
enfin ça, ça m’a plu
je ne sais même plus faire des photos avec autre chose qu’un téléphone
quelle misère de vie
pourrie
25_samedi
interlude
2_mardi
{écrit par Elise Vertige, pour nous… Merci}
Comme je ne dors plus que cinq heures par nuit depuis un mois, j’ai vachement plus de temps qu’avant pour penser à plein de choses et puis, parce que j’ai lu ici les belles apparitions de Guy Mercier et Goo Blum et qu’il y a longtemps que je voulais dire deux ou trois choses sur les Happy Mondays et que là, il est sept heures du mat’ et que j’ai rien d’autre à foutre, je me suis dit : « Pourquoi pas m’y mettre maintenant? » J’y connais pas grand-chose en musique, les chapelles m’ont toujours emmerdé, je flâne, parfois je cueille, j’ai toujours eu des passeurs pas trop loin (Dorine, tu m’entends ?), et puis les Happy Mondays, c’est un truc d’enfance, c’est le jour où Grégory, mon cousin, un passeur lui aussi, et pas des moindres, m’a emmené voir mon premier concert, c’était au Bataclan, c’était en mars 1990 je crois, et c’est Bez, celui qui ne fait que danser au milieu du bordel, qui m’a vendu mon premier exstasy. C’était à l’entrée, il essayait de refourguer des places comme n’importe quel vendeur à la sauvette et il avait des exstas plein les poches. Alors mon cousin lui en a acheté un qu’il a partagé en deux. Je l’ai avalé et après, je me souviens pas des détails sauf que c’était magnifique et que tout le monde dansait au ralenti sur la scène en fumant des gros zblifs, les yeux révulsés, le sourire béat, et au sommet de la montée, je me suis dit : « Putain, c’est trop bien le rock, c’est comme les montagnes russes, comme l’anarchie, un truc délire et bon esprit, une musique de poissonniers, une eucharistie, une attitude », et puis faut dire que sur scène, elles étaient drôles ces petites frappes de Manchester.
(la vidéo au Ritz de New York donne un bon aperçu de l’ambiance dégénérée des concerts qu’ils firent cette année-là )
C’était comme s’ils s’acharnaient à faire passer leurs morceaux pour de l’improvisation. J’avais jamais eu l’occasion de voir un truc pareil dans ma banlieue de merde sauf quand on faisait de grands feux en lisière de forêt exprès pour se faire pourchasser par les flics. Un peu plus tard je partirais six mois à Londres et j’achèterais tous leurs premiers singles. Je les ai encore parmi tous les vinyles qui traînent dans la cave de ma mère.
Leurs deux premiers albums sont magnifiques, ainsi que les pochettes. Le premier, Squirrel and G-Men, c’est John Cale qui l’a produit. Le son est crasseux, ils savent pas encore très bien jouer, mais il se passe un truc : c’est lourd, c’est poussif, ça racle, ça suinte, ça traîne, la voix de Shaun Ryder emmène tout ce petit monde on ne sait pas trop où, ça pourrait être le pire truc jamais entendu et pourtant c’est beau comme l’incertitude des mouvements musculaires dans les plaies des parties molles de la région cervicale postérieure. Au fond, ce que j’aime bien chez eux, c’est que comme ils savaient pas trop bien jouer, ils ont donné au « poussif » ses lettres de noblesse (c’est des Anglais, hein, faut pas oublier), ajouté à ça un je-m’en-foutisme comme on a rarement vu dans l’histoire de la création. Pour leur troisième album, Pill’s and Thrills, un ratage complet, le début de la fin, ils se débrouillent pour enregistrer aux Barbades où ils restent des mois à dépenser tout le fric de la production et à prendre toutes sortes de drogues, parce que le saut dans le vide, y a que ça à faire. La notoriété, ils en rient parce que c’est du vent, c’est comme une montée d’exsta, pas plus. Ils savent au fond qu’ils reviendront toujours à Manchester, leur port d’attache, aucune illusion déplacée ou ego purulent : ils savent de quel quartier ils viennent. On ramasse, on prend, on se marre, on liquide tout, on disparaît. C’est beau comme une inhumation précipitée. Quand ils apparaissent à la télé, c’est complètement défoncés : ils pourraient être en train de siroter leurs pintes dans leur bar favori, ce serait pareil, toute cette agitation n’a aucune importance, allons au bout de la provoc’ en dansant, le reste on vous le laisse, c’est sale, on restera toujours au-dessous de tout ça : ce qu’on aime nous c’est la foirade. Leur second album, Bummed, démarre sur des croassements, ils annoncent la couleur tels des oiseaux de mauvais augure : en Angleterre on nait prolo et on reste prolo jusqu’à plus soif. Les paroles de leurs chansons, c’est du grand n’importe quoi, on n’y comprend rien, même les surréalistes ne sont jamais parvenus à un aussi grand degré d’abstraction. Les titres, c’est pareil : Tart Tart, Kuff Dam ou Brain Dead sont selon moi des chefs d’oeuvre, ils ressemblent à Bez et à Shaun Ryder, ce couple électrique aux carcasses défaites par l’abus d’hallucinogènes. « Madchester », les journalistes ont appelé ça mais seuls les Happy Mondays valaient le coup je crois à part une ou deux autres exceptions peut-être. Bref, les Happy Mondays ce fut avant tout un cirque, un truc pour gens pas sérieux, une des dernières tentatives pour faire danser toute l’Europe avant que les concerts deviennent réglementés comme tout le reste, une anarchie joyeuse et couronnée, un truc qui me va droit au cœur parce que c’est la fin de mon enfance qui s’est jouée là et que sans eux, peut-être, je rigolerais moins aujourd’hui. Danser le sourire aux lèvres au milieu de la catastrophe, y a que ça à faire mes bons amis, sinon on coule : les Joyeux Lundi ont fait les deux.
God Bless.
Elise Vertige
25_mercredi
comme
dirait
Lacan
20_vendredi
Au milieu du babil ininterrompu de l’audiovisuel en continu, la semaine dernière ou la précédente, j’ai ouï que c’était le trentième anniversaire de la guerre des Malouines, je ne sais pas où j’étais ce soi-disant début de 2 avril là (le début c’est pas quand l’Empire a colonisé ce coin-là? – vous m’en direz tant)
mais, j’étais à Londres aux alentours de la sortie de et je l’ai acheté
et le poster vraiment m’a beaucoup plus
(je venais de voir là-bas mes premiers kebabs, je n’en ai pas mangé parce que vraiment j’étais désargenté et je gardais tous mes sous pour acheter des disques et 2 ans plus tard je suis devenu végétarien et donc je n’en ai jamais mangé).
(Incidemment, ce même été j’ai acheté ça qui a un grand rapport avec ma décision de la parenthèse précédente)
La même année Crass a sorti l’album The title of the record is ironic, taken from a news cutting reporting a conversation said to have taken place between Charles, Prince of Wales and a badly burned soldier (Simon Weston) who had returned from the Falklands (un sacré imbécile de l’Empire, vieille engeance prolétaire, il a sa page aussi, tiens)
J’aime mieux les disques de Crass aujourd’hui qu’à l’époque mais on dira ce qu’on voudra, Gee Vaucher savait vraiment ce qu’est une bonne pochette de disque de p*nque
et pendant un moment ils ont été les ennemis publics numero uno et la cible d’une certaine presse (KOMONDIT) mais comme le disque se vendait bien et qu’on ne voulait surtout pas davantage de pub, le gouvernement a finalement décidé de ne pas poursuivre
Si tu veux t’éduquer un peu, tu peux regarder ça et tu seras moins con après, si c’est possible
+ un gars que je connais un peu avait sorti ce livre http://rytrut.free.fr/index.php?action=crass-chansons-d-amour mais je te préviens c’est assez mal traduit et je trouve, comme toujours, que les paroles de chansons, c’est mieux avec la musique derrière, c’est pas de la poésie, ceux qui le croient ne lisent pas de poésie {{et j’emmerde les poetjuifchantants, tiens}}
Tout ça me rappelle que mon badge vert Support the South Wales Striking Minors de l’année d’après a disparu, quelque part sans doute avec le grand noir et rouge Crush the Contras.
10_mardi
textes
un soir, je n’arrivais pas à m’endormir et je me suis demandé comment des gens avaient bien pu écouter un groupe qui s’appelait clap your hands say yeah et tout de suite après je me suis promis d’essayer de me renseigner sur le programme politique réel de aung san suu kyi, pour tout ce que je sais elle a peut être écrit une lettre aux myanmarais
le lendemain, ça j’en suis sur c’était le lendemain, j’ai écrit ça dans un forum d’américains bien pensants et ça a fait l’effet d’une boule puante chez chanel, et, c’est ça le pire, je ne comrpends pas pourquoi
après il y avait un autiste à la télé, vous savez il y a une grosse campagne sur les autistes qui finalement deviennent plombier ou autre, donc celui là on le voyait de près et j’ai dit, cet autiste n’est pas plus autiste que moi et à ce moment là tout le monde m’a regardé autrement
je me suis dit une fois de plus que c’est l’étiquette qui fait le fromage
résultat je suis autiste, je ne suis pas traité et je ne passe pas à la télé
tout va bien pour moi
avec cette étiquette
mais j’en ai d’autres
il y a bien longtemps ma mère est allée en autriche et m’a ramené l’album de liaisons dangeureuses {merci} et ce disque que j’ai mis là en tout petit tellement la pochette est débile
le nom du groupe aussi est débile
et lorsque je l’ai écouté à l’époque je ne l’ai pas aimé
le premier morceau commence mal et
voilà
mais comme hier je rangeais les K
oui, en fait il n’est pas mal vraiment
12_lundi
je bouge vers 1 heure. Deux espagnols qui cherchaient la fête me suivent. On marche vers les basses jusqu’au Cabaret Sauvage. Devant l’entrée un mec sous md nous tombe dessus. Il tient pas debout et s’écrase contre la grille. Ses copains le ramassent. Il essaye de rigoler mais il tient pas cinq secondes, son rire se casse la gueule aussi. Deux grosses locks sortent de son bonnet. Il gémit et se prend la tête à deux mains comme si il voulait la dévisser. Ça a l’air douloureux. Je dis au revoir aux deux gars qui ont pas de tickets. L’escalier sent le vomi. A l’intérieur c’est la foire aux percings, je me calle derrière un type aux lobes dilatés, les trous font au moins cinq centimètres de diamètre, je peux voir le dj à travers, c’est 99DB. Je trace à travers une grouille de bras et de têtes en mode délirium. G. et C. sortent des backstages. G. est contente de son interview. On entre facile dans le rythme. Le son est bien dur, ça monte. Il fait hyper chaud. Au bout d’une heure dépenser 5 euros pour un demi ne nous semble plus si accablant. La barmaid met des plombes à nous servir, quand on décolle, je me rends compte que j’ai laissé ma bière sur le comptoir. Je me retourne et je vois le mec qui était derrière moi en train de boire mon verre. La veille j’ai laissé 40 euros sur un distributeur. Je lui explique que je suis pauvre, et que les downloads faciles ont altéré mes réflexes cognitifs, il me fixe avec son air de blaireau. J’essaie de pas l’insulter et je retourne danser la gorge sèche. Crystal Distortion est passé derrière les platines. G. est à donf, elle m’accueille avec des moulinets. C. hoche la tête. Les basses font leur travail. On prend du bon temps malgré les relouds qui nous soufflent dans le dos. Vers 3 heures l’ambiance atteint un seuil pénible, on est cernées par les déchirés. On se replie dans les backstages pour boire un dernier coup avec les Spi. Ils sont en train de discuter avec leurs hôtes, tranquilles, la France a toujours été une bonne terre d’accueil pour eux, ils ont encore un studio de production dans le 18e à Marcadet. E. est là aussi, elle me raconte ses aventures avec CD, « c’est lui qui avait la meilleure drogue, il est trop drôle ». C’est vrai qu’il a l’air de bonne humeur, la soirée est pleine, l’entrée est à 18 euros, il peut se marrer. Je repense au dread lock qui paye sa descente devant la grille pendant que les filles débriefent avec le cameraman. Elles veulent partir, mais E. insiste pour me présenter quelqu’un. J’imagine que c’est le CD en question mais elle revient avec un mec dans les quarante ans, les joues grasses, habillé comme un prof de compta. C’est M., elle me dit, « un homme politique important ». Le gars me colle deux bises et en profite pour me passer une main froide dans le dos. E. veut que je boive un dernier verre avec eux, elle met des morceaux de fruits dans un verre en plastic et me le donne. Il y a un bout de pain qui flotte au milieu. Je commence à fatiguer. Le mélange chemise rayée et sangria crado me pique les yeux, leur conversation est pas très claire non plus, je tiens encore dix minutes et je me casse poliment. Le lendemain E. me dit que main baladeuse est membre du parti anti-sioniste. Elle me montre un clip où il se fait tabasser par des anti-fa avec Dieudonné dans un marché du XXe. C’est la première fois qu’elle me parle de ses convictions politiques. Pas sure que ça arrange vos stats. A la place, je vous mets un morceau de Tolerance, deux Japonais sortis début 80 par Vanity Records (le label de Sympathy Nervous). On peut les télécharger.
6_lundi
prolétaires de tous les pays
vereignit euch
16_lundi
oh, j’ai déjà raconté ce concert de kevin ayers
à la salle wagram, je crois que c’est le seul concert que j’ai vu dans cette
salle de catch ou de boxe
son album sweet deceiver venait juste de sortir et
tout le monde disait qu’elton john serait au concert ce soir là, à paris
et il n’y était pas
et sur l’autre morceau de l’album où elton john joue il fait juste du elton john, ça n’a pas d’intéret
c’est dommage sinon cet album pourrait être excellent alors que c’est le déclin de kevin ayers qui s’annonce
il y a juste un morceau pas terrible et c’est à cause d’elton john
sur le reste il y a la fantastique guitare de ollie halsall aka haircut
et pas dans le morceau que j’ai mis
oh, bon
je me souviens aussi de la veste en velours pourpre de daniel vermeille
et ça me rend triste de lire ça
26 Janvier 2011
Son corps a été découvert dimanche soir, dans un recoin du parking du Canal.
Mort vraisemblablement d’une hémorragie interne. Et de nombreux excès…
La triste fin d’un SDF, d’un clodo, paumé, largué,
perdu dans l’alcool, la drogue et les méandres d’une vie hors norme.Le SDF du parking souterrain, décédé à l’âge de 58 ans
sans un regard, sans un sourire, c’était Daniel Vermeille,
une légende underground du journalisme rock, un copain de Keith Richards et d’Iggy Pop,
une icône de la beat génération, un disciple de Phil Spector,
un grand frère sulfureux pour une poignée de gamins de Sète,
un assassin, un repris de justice.
triste et un peu fier pour lui!
oui il avait ce nez comme sur la photo et il écoutait, je crois, surtout du pr*g r*ck, bon, berk en somme
mais je me souviens très bien de lui
au concert de kevin ayers salle wagram
et ce souvenir me fait plaisir
22_lundi
je ne sais pas pourquoi je viens de penser à cette chanson, qui me force à oublier tous ces voyages en avion
avec les écouteurs sur les oreilles, les canaux de musique, pendant des heures tous ces canaux et toutes ces musiques de voyages, formidables, d’enfant
ah oui c’est mon anniversaire demain
ça doit etre ça
17_mercredi
cliquez le logo
15_lundi
ce disque
dont l’existence même me rend un peu fou
un peu excité, je dois dire
parce que j’aime bien ce mec craig leon
principalement
The Ramones、Blondie、Richard HellやSucideなど、USパンク/ニューウェーヴ系の数多くのアーティストのレコーディングに参加しているアメリカのコンポーザー/アレンジャー、Craig Leonによる1981年リリースの1stアルバム。電化処理されたパーカッション・ビートとシンセサイザーのドローンによる強烈なサウンドが全編に渡り収録された、ミニマリスティックかつメディテーティヴなコズミック・エレクトロニック・ミュージック。
ça me fait plaisir
j’ai aussi commandé 2 autres disques avec
histoire de remplir le paquet
13_samedi
hier on a vu le I et le II
22_vendredi
25_lundi
ni vieux, ni neuf (en fait c’est faux : j’ai acheté qq 78t dont les pochettes ont été dessinées par Alex Steinweiss, $1 pièce), je suis juste allé à Other Music sur mon chemin, pas très inspiré ; j’ai marché dans les rues, rien de plus.
Mais je suis passé devant moult fois.