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En semaine, mon réveil sonne à 6h30 (lorsque je dois prendre deux médicaments homéopathiques à ¼ h d’intervalle) ou 6h45 (si un seul médicament – préparés la veille et posés à côté du réveil).
Lever pénible vers 7h-7h10 –pantoufles- peignoir de bain- je me dirige vers les toilettes bonjour au passage à une chienne qui s’est levée de sa corbeille et qui tire le bas de mon peignoir.
Salle de bains pour un coup de peigne et me laver les mains.
J’émerge vers 7h15 dans la cuisine où le café chaud préparé par l’homme de ma vie m’attend.
Je prends du beurre dans le frigo, du miel dans le placard, du pain et m’installe pour tartiner 2 tranches de baguette en buvant mon café et en échangeant quelques mots avec papa qui est prêt et qui selon les jours a déjà ou doit sortir promener le chien.
Je jette un coup d’œil au journal du jour (titres de la première page).
Je termine mon déjeuner par un ou deux fruits (kiwi, pommes ou bananes) que je mange avec papa que je force bien souvent à manger un kiwi avant de partir.
Rangement des bols tasses ingrédients etc. puis me dirige vers la salle de bains à 7h35/40 environ.
Tout d’abord lavage du visage en écoutant les informations – Europe 1 – avec une crème démaquillante, visage à l’eau, séchage, lavage des mains, pose de mes lentilles, puis crème sur le visage.
Cette opération déclenche certains réflexes et je me dirige rapidement vers les wc en prenant au passage le journal (lecture de la dernière page : météo et coup d’œil aux programmes télé). Il est alors pas loin de 7h50/55. Douche rapide (sauf le visage à cause des lentilles).
À noter que les jours de shampoing ( une fois dans la semaine en général mais pas à jour fixe)
Les opérations sont inversées : d’abord douche, puis pose des lentilles puis crème sur le visage, puis wc et après petite toilette juste des fesses.
Arrivée à ce stade je suis en retard mais je peux accélérer le processus car je suis allée aux wc et je me sens bien, en bonne forme, presque dynamique.
Je me lave les dents , remets de la crème sur le visage, très rapidement du lait sur le corps, éteint le poste de radio car le présentateur commence à m’énerver et me dirige vers ma chambre car il est environ 8h10.
Si j’ai préparé mes vêtements la veille (c’est pour ça que j’écoute la météo) je m’habille rapidement, sinon je sors à la hâte des vêtements de mon placard en essayant de trouver les bas assortis qui se trouvent dans la pièce à côté et les chaussures dans le cellier près de l’entrée. Maquillage léger très rapide. Je m’énerve, je rechange et me dirige en courant dans la cuisine où je lave (souvent mais pas toujours quand je suis très en retard) mon bol du déjeuner (je ne l’ai pas fait tout à l’heure car je n’avais pas mes lentilles), j’ouvre les volets du séjour, de la cuisine, baisse les radiateurs en hiver, prend un vêtement de la penderie de l’entrée, quitte mes pantoufles pour enfiler au cellier les chaussures choisies, prends mon sac (au cellier) mes clefs dans le tiroir du meuble d’entrée, dis au revoir à ma chienne en lui recommandant de bien garder la maison, ferme la porte (retourne bien souvent avant de fermer vérifier si j’ai bien éteint toutes les lumières et fermé la porte du couloir des chambres – pour le chien et la chaleur) et me dirige en courant vers le garage pour sortir ma voiture. Je referme le garage remonte dans ma voiture et regarde l’heure à ma pendule : 8h30 c’est correct, j’arriverai vers 9h, 8h35/40 je suis en retard et je m’énerve sur la route car en plus ça roule mal et c’est le jour où je dois passer à l’infirmerie faire ma piqûre (2 fois par semaine) avant de commencer ma journée ! ! EC.
Un matin
Lorsque j’ai un gros retard de travail (correction de copies, préparation de cours ou de corrigés), le tonitruant réveil mécanique sonne entre trois et cinq heures ; j’arrive rarement à bosser les soirs et fins de semaine.
Sinon, je me lève entre 5 heures et 6h30 (7h45 – si je ne travaille pas le matin) selon que j’ai de petites choses à régler ou pas. J’emporte ma montre et le réveil avec moi, j’enfile un bas de jogging, un tee-shirt et un haut de survet’. Je bois un verre d’eau – de jus d’orange, plus rarement –, je vais pisser. J’allume l’ordinateur et lance connexion et navigateur, prépare le café pendant que ça mouline. Je grille un clope, je ne vais pas cesser de fumer – de tousser aussi parfois… sauf dans la salle de bains.
Retour à l’ordi : je charge mes méls, regarde le compteur de mon site. Je lis le courrier, y réponds, fais des aller-retour vers la cafetière . Je butine souvent : liens dans le courrier, sites de journaux, sites coquins plus rarement. Parfois, je travaille sur le site, fais la mise à jour, particulièrement si le ftp était bloqué la veille.
Lorsque je sens le caca venir, j’interromps la connexion et file aux toilettes.
Si j’ai du boulot, je le fais, j’imprime, en retournant alternativement à la salle de bains, pour le lavage ou les pipis complémentaires. Là, la radio est bloquée sur France Info. Je me lave au lavabo (visage, dessous de bras, bite et cul, pieds parfois – je ne prends des douches qu’en journée). Je ne me rase qu’une ou deux fois par semaine, des fois pas de quinze jours.
Je feuillette les journaux, magazines, livres entassés au salon, toujours clopant-buvant mes cafés. Je ne mange jamais, bois le café sans sucre.
Mes habits sont sur une chaise au salon, de la veille. Je boucle mon cartable, éteins l’ordi, retourne pisser, règle le réveil et vais dans la chambre le poser sur la table de nuit. Ma femme se réveille un instant, bisous. Je ferme la porte et dégringole les escaliers, peine à démarrer la voiture, j’ai 40 minutes de route ; il est entre 6h45 et 7h15.
Les jours de réveil précoce, je pars souvent vers 6h-6h30, terminer mon travail dans un bistrot près du boulot devant un grand café (sucré là) ou au boulot si les portes sont ouvertes ; il m’arrive d’acheter de la presse ou des clopes à côté. Ma femme préfère ces jours-là car elle peut re-dormir avant que son réveil ne sonne.
MG :
J’ai deux réveils : celui de mon amour vers 6h30 (souvent avant), il se lève, ferme la porte de la chambre mais je reste toujours dans un demi-sommeil, ordinateur, café, radio ; j’espère son bisou du départ – 7h / 7h15 – je me rendors (pour si peu) il a pris soin de régler le réveil pour 7h30 / 7h45… Vieux bruit de casserole. Il faut compter 1 quart d’heure à une demi-heure avant que je sorte du lit (presque toujours de bonne humeur) lunette, pyjama – je dors toute nue sauf si je me couche la première et qu’il fait très froid, alors je porte le haut de mon pyjama pour me tenir chaud – papouffes et direction pipi du matin. Je me lave le visage et je me rince la bouche, j’en profite pour boire 1 à 2 gorgées d’eau froide à même le robinet. Le salon, je branche la radio (pas toujours) programmée France Infos pour tout savoir vite fait bien fait des nouvelles du monde. La cuisine : lait demi-écrémé, spécial K de Kellogg’s, bol, petite cuillère. Sur la table du salon, dans le bol je verse d’abord le lait froid puis les céréales : il faut que je m’occupe les yeux (sinon je me sens toute bête) alors je feuillette le programme TV (câble) ou à défaut l’étiquette de mon paquet de Kellogg’s que je connaît presque par cœur. Je me ressers de céréales pour finir mon lait, puis je remballe tout dans la cuisine et fais tremper mon bol dans l’évier (trop dur à laver quand c’est tout sec). La salle de bain – 8h15 – je prends ma douche brûlante, je me savonne un peu mais pas trop (petit marseillais au lait) et j’enfile mon peignoir bleu. Si je me lave les cheveux, je fais un turban façon Neneh Chery. Lorsque je suis en forme je décide de mettre mes lentilles (je me trouve plus jolie avec) d’abord la gauche puis la droite que je rate presque à tout les coups ; parfois je vois flou toute la journée : je croyais être en forme mais je ne l’étais pas. La chambre – 8h25 – culotte propre blanche ou noire / noire ou blanche, soit je remets les vêtements de la veille et je vais très vite soit je suis pas inspirée, je me trouve moche et c’est sûr, je suis en retard. La salle de bain, tête en bas et séchage intensif du cheveu en tirant bien avec les doigts pour faire tomber ceux qui de toute façon vont venir parsemer l’appartement. Badigeonnage crème du visage Future e de l’Oréal, maquillage mais de moins en moins avec l’âge juste un peu de crayon autour des yeux, parfois du rouge aux joues et si je porte mes lentilles un peu de ricil, re-pipi (rarement caca, problème d’éducation dixit my love). Le hall d’entrée – 8h40 – je mets mes chaussures, dans la cuisine je prépare à toute vitesse ma gamelle, je vide la poubelle, j’enfile mon manteau, je sors en claquant la porte (jamais à clé) – 8h45 – systématiquement en retard de 10 minutes/1 quart d’heure : rien à y faire… Éric H.
En principe, je me réveille vers 11 heures / midi mais je me lève pas tout de suite. Je fume une clope ou deux avant de sortir du lit et des fois je profite d’une petite érection pour une petite masturbation mais c’est de moins en moins souvent parce que je suis de plus en plus impuissant… Du lit je vais jusqu’à la cuisine et je me fais chauffer du thé en rajoutant de l’eau dans la casserole et je me roule le 1° joint de la journée en attendant que ça boue. Je mange rarement en me réveillant et je me lave pas non plus, quand ça me prend, c’est plutôt en fin d’après-midi début de soirée et comme je ne travaille pas régulièrement et jamais à des horaires fixés j’attends la nuit pour mes occupations habituelles du genre répondre au courrier, écrire ou peindre et voir des gens tout ça. Le matin pour moi c’est plutôt l’après-midi et je bouquine ou je traîne à ne rien faire de spécial, je fume des clopes et des joints en attendant que ça passe…
À noter : des matins standards, j’en ai de moins en moins parce que je suis toujours souvent de + en + en déplacements alors je me règle sur les horaires us et coutumes ou obligations des gens avec qui ou chez qui je vis un jour ou deux avant d’aller voir ailleurs. C’est quand même ce que je préfère, ne pas savoir et me laisser aller à ce que d’autres décident pour moi. Enfin voilà. Je crois. Frédéric Jalabert.
Il y a en fait deux types de matin standard (la semaine quand je travaille) : les matins des semaines où mon frère est là, et les matins des semaines où il n’est pas là. La seule différence : il se réveille à 7h et à partir de là je somnole jusqu’à mon réveil, 7h45. Dès qu’il sonne , de façon très désagréable, je me lève, je vais jusqu’à la salle à manger et je mets France Info, suffisamment fort pour que je l’entende de mon lit. Sitôt fait, je me recouche. À 8h07 il y a France Info Sport, que j’écoute. Si j’ai un rendez-vous dans la journée, je me lève tout de suite après pour me raser et repasser ma chemise. Sinon je traîne jusqu’à 8h15 voire jusqu’au flash de 8h23. Dès que je me lève, direction les toilettes. Pipi, très important, et ensuite la figure sous l’eau. Je réveille ensuite Florence, si le chien ne m’a pas précédé en lui léchant le visage. Je reste dans la chambre pour m’habiller, car j’ai préparé la veille sur un siège ce que je vais mettre.
Ensuite direction cuisine pour le petit déjeuner, Florence étant toujours dans la salle de bains. Le petit déjeuner est très simple, jus d’orange quand il y en a plus du chocolat ou des chocos. Tous les matins en prenant mon déjeuner, je lis les programmes télé du soir, ce qui est idiot car bien souvent je ne m’en souviens plus le soir. Il se fait alors 8h45-50, Florence me rejoint, elle avale son verre et emmène ses chocos car il faut partir. On met la laisse au chien (« on » car ça change selon l’humeur), nous prenons nos sacs, Florence descend devant nous faire pisser le chien, je ferme la porte et nous nous dirigeons vers la voiture. Florence Larramendy.
Théoriquement le réveil sonne à 7h45 (je crois ! car en fait je ne l’entend pas). Le début de la journée commence en fait pour moi vers 8h15 8h30 (selon les jours). Je me lève, bien souvent poussée hors du lit par Fred [NDLR : Jalabert – voir son « lever »]. Il faut savoir que le matin je suis de mauvaise humeur (certains me diront que cela ne change pas). Ensuite après avoir dit bonjour à Fred je me hâte aux toilettes (comme tout le monde, il me semble !).
Seconde étape je me « lave » (en fait je m’asperge le visage d’eau froide pour me réveiller puisque la veille je prends toujours une douche, très important cela fait gagner ¼ d’heure le matin) puis je me maquille et me lave les dents.
Troisième étape l’habillage, pour éviter de passer des heures devant l’armoire et des dizaines d’essayage en général j’ai choisi la veille ce que j’allais mettre donc je n’ai plus qu’à prendre ce qu’il y a sur mon fauteuil et m’habiller.
Quatrième et dernière étape tout ceci s’effectuant très vite je vais une dernière fois à la salle de bains pour me coiffer ainsi que me parfumer (quand j’y pense !) puis je cours à la cuisine où là (hop !) je trouve soit un jus d’orange (début de mois) ou un sirop de citron. Ensuite je demande à Fred de récupérer les jouets du chien et pendant ce temps je mets dans un tuperware la bouffe de ce dernier et là ultime étape, attraper le chien pour lui mettre la laisse (vraiment pas évident !) et je le porte pour descendre les escaliers afin que ce dernier ne pisse pas à l’étage et cette fois qu’il nous retarde réellement.
Voilà la préparation des réveils pour la semaine. Le week-end c’est tout à fait autre chose… Françoise L.
La semaine.
7 heures 35 : déclenchement du radio réveil (infos économiques généralement).
Je laisse C. se lever le premier. Quand j’entends la chasse d’eau, je me lève à mon tour, mets mes lunettes, enfile des socquettes (une manie, j’ai froid aux pieds), mes pantoufles (des kroumirs), et me rends aux toilettes (pipi).
C .va prendre sa douche.
Je range le traversin, les oreillers dans le placard à glissière à côté du canapé lit, (séjour).
Coin cuisine : je sors du lait (demi-écrémé), du beurre, et une bouteille d’eau du frigo, puis de la confiture d’oranges ou du miel du buffet, si ce n’est déjà fait. La table a été dressée la veille.
Je verse le lait dans la tasse de C., le transvase dans une casserole, j’en garde un peu que je délaie avec du cacao pur, non sucré, Van Houten, 3 cuillerées à café. Il est 7 heures 42 ou 7 heures 43.
Je mets le lait à chauffer (feu doux).
Je me rends dans la salle de bain, (C. en sort), je me lave les mains, m’asperge le visage d’eau tiède (il ne faut pas trop se brusquer) puis froide (il faut se réveiller), je me brosse les cheveux, me fais une queue de cheval, nettoie mes verres de lunettes, je les passe sous l’eau chaude, les essuie avec un mouchoir en coton, puis je me pèse.
Je rejoins C. devant la cuisinière : petit câlin en attendant que le lait monte. (Il déborde de temps en temps).
Je prépare mon café. Eau : 2 tasses et demi, café : 5 doses.
Retour à table. Prise de médicaments : 2 comprimés, 1 gélule, 1 ampoule dans un verre d’eau glacée, beurk!
Je prends un kleenex.
Je me relève, j’ai presque toujours oublié quelque chose, le sucre, une cuillère, un couteau, un cendrier.
C. me demande quand je vais rester assise.
Je mange une tartine de pain beurré ou un ou deux Krispolls (blé complet).
C. s’habille (vêtements préparés la veille) : tee-shirt, chemise, paire de chaussettes.
Je mets en marche la cafetière, C. va bientôt partir au turbin, il prépare son cartable, je vais lui dire au revoir : petit câlin, bisous devant la porte d’entrée, puis coucou dans la montée d’escaliers.
Je range son peignoir de bain, remets de l’ordre sur la table basse qui se trouve devant le canapé, débarrasse son couvert (déjeuner, couteau, cuillères, verre).
J’arrête le magnéto (C. met une K7 dès son lever), je passe sur la radio, France Inter, il est 8 heures 15 ou 8 heures 20.
Je prends un bloc de papier et un crayon bille que je pose sur la table à ma droite (idées, notes...voire : liste de commissions, choses à faire dans la journée).
Je verse mon café (2 sucres), je me roule une cigarette : Samson doux et papier JOB Sup Air,
j’en fume 4 d’affilée tout en sirotant mon café et en écoutant plus ou moins attentivement la radio. A 9 heures 10, après les infos et la météo, je passe sur France Culture.
Il est 9 heures 30, j’arrête la radio (sauf si l’émission m’intéresse particulièrement, je monte alors le son), je me rends aux W-C, puis à la salle de bain, je me lave les mains, puis les dents : (utilisation préalable d’une brosse interdentaire), rinçage abondant (pas de verre à dents, je n’aime pas ça).
Je me relève les cheveux en une espèce chignon avant de passer sous la douche, pour ne pas les mouiller, même s’il y a shampooing, deux ou trois fois par semaine, ça se passe séparément, après la douche, une fois séchée.
Au sortir de la douche : Cotons-Tiges, déodorant Klorane ou Kéops, à bille, sans alcool ; émulsion corporelle Uriage ou Roche Posay, prescrite par mon dermato, crème hydratante Lutsine ou Onagrine, pour le visage, incolore, ongles, se les couper régulièrement, tous les 2 ou 3 jours, défaire le chignon, se brosser les cheveux, de nouveau, refaire un chignon, nettoyer à nouveau mes verres de lunettes... Ouf! Jamais de maquillage, par contre un peu d’eau de toilette : eau Arpège, de Lanvin, offerte par C..
S’habiller, enfiler un jean, une hésitation, quel chemisier?
Voilà, je suis fin prête pour la journée. | |
