10_jeudi

{22:41} Pledge $1,500 or more 4lp box set, test presses of the box set, mp3s, « Live Recordings, TV-Clips, & Roadmovie » cd/dvd, t-shirt, folded poster, thank you note from members of Kleenex/LiLiPUT and a copy of every album released on Kill Rock Stars in 2010 shipped anywhere in the world Backer 0 BACKERs

bah
c’est con, non ?

9_mercredi

{21:40} deuxièmement

j’étais entrain d’écouter le premier album de lewis furey et trente cinq ans après l’avoir detesté je le trouve subitement très bien
je l’ai écouté parce que je suis tombé sur cette vidéo d’un type que je ne connais pas {non je n’ai jamais vu le rocky horror picture show et je n’ai pas l’intention de le voir}, ce qui m’a refait penser à lewis furey dont je me disais que je devais ré-écouter l’album après avoir revu sa femme, l’autre soir dans sweet movie. en regardant ce film j’ai expliqué à V. qui était otto muehl et ce que je savais de la commune AA, willem les dessinait régulièrement dans charlie et ça m’a toujours intrigué, c’est vrai que dans le film on comprend bien ce que c’était, c’est d’ailleurs la seule faiblesse de ce film merveilleux, cette scène, le réalisateur dusan makavejev, on le voit bien, s’est laissé fasciner par les évènements et le propos en est momentanément dilué ça devient un documentaire. puis je dis à V. que je viens d’acheter un disque de la AA Kommune et elle me dit je ne veux pas l’entendre, trop tard lui dis je je l’ai déjà mis!

{21:08} premièrement

8_mardi

{11:19}

il y a quelques jours, j’ai passé la version longue de smalltown boy dans l’appartement où je vis pour le moment – on jouait aux échecs, c’était bien –
j’essaie souvent d’expliquer aux gens pourquoi bronski beat, pourquoi les pet shop boys, etc … – oui, « expliquer aux gens » : l’idée en elle-même est problématique, je sais – mais bref, je parle des synthétiseurs, de l’intro sur la version live de decades, de la scène de l’assassinat dans gomorra, celle où l’autoradio diffuse de l’eurodance à fond – je parle de mes souvenirs nocturnes, en voiture, avec de l’italo et de la drogue, mais généralement, là, j’ai déjà perdu l’attention (ou la possible approbation) de mes interlocuteurs –
pourtant, j’aurais aussi aimé leur dire qu’on devrait remplacer la bande son d’histoire(s) du cinéma par du OMD (on peut garder les passages avec de la musique classique, ceci dit) –


7_lundi

{21:58} trois {3} choses à dire

{6:01} le prix de la gratuité

Je serais bien allée écraser quelques tongs à la villette hier aprem, et marchander un disque à Guy Mercier. A 14h en tous cas, le projet paraissait réalisable et même souhaitable. Et puis je ne sais pas ce qui s’est passé, si c’est la crainte du djumbé, ou celle de croiser des fans de Secret Chief III, quand j’ai relevé la tête il était 19 heures et j’étais encore sur internet.

Je crois que j’ai passé l’après-midi à downloader des insanités géologiques en écoutant les Swans. Nabila m’a filé les « Soundtracks for the blinds » en échange de mon hospitalité, on verra si ça m’aide à trouver l’Agarttha.

Il faudrait aussi avouer qu’on n’a pas réussi à faire cracker les barmen de la Féline malgré notre selecta inspirée du Hellfest, et un crescendo d’enchainements dramatiques suivis de Plasto Béton et Grim Reaper, alors que c’était quand même le but. Et je voulais dire aux lecteurs du blog qui sont venus nous demander le hit de Lova Moor que je le passerai la prochaine fois, promis, sur la tête de Jonas Delaborde.