Le R*ck est m*rt

Je connais au moins cinq types qui se sont fait larguer en toute connaissance de cause ces six derniers mois. Je veux dire par là qu’ils l’ont cherché bien profondément. Maintenant il en reste encore pour se demander à quoi est due cette vague de libération féminine, une conjonction des astres peut aider, et une chambre à soi d’où on peut jeter son mec tout en restant au pieu. Après, est-ce que Virginia Woolf aurait rappelé Benny B., j’en doute, mais on va lui laisser sa chance : un bon son de looser, de la détresse sentimentale, et une spéciale dédicace à tous les BB qui ont perdu la love

je propose de l’écouter avec ça en simultané

je vous laisse ajuster les volumes
allez, salut

et toi ?

NON PLUS

j’ai bien une sorte de nausée tenace ce matin, alors que j’écris un article pour ce blog depuis mon bureau, au travail – hier soir, j’ai bu trois bières fraîches, dont deux en réécoutant Swans are Dead pour la première fois depuis des années – je me suis dit que c’était bien, mais moins que Soudracks for the Blind – ensuite, vers une heure du matin, l’ami qui m’héberge pour la semaine a fait des pâtes et j’ai mis Coil, les Blue Orchids et Blues Control, simplement parce que le classement alphabétique de ma bibliothèque Itunes fait que je n’ai pas eu à chercher longtemps –

ce matin, donc, j’ai le ventre noué – j’ai mis Secret Abuse en fond sonore pendant que je liste des livres et que je corrige des mises en page – avant que je réagisse, l’album était terminé et Itunes a continué avec Seigneur Voland –

voilà, je ne sais plus vraiment où je voulais en venir, peut être simplement à ça : la bière et les pâtes travaillent dans mon estomac et je travaille dans mon bureau, il y a du soleil, je suis en t-shirt et j’écoute Aigle Conquérant (Titus Victorieux) –

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