comment pourrais t’on traduire ça ?
ça n’a pas d’importance
comment pourrais t’on traduire ça ?
ça n’a pas d’importance
c’est toi
mon oiseau
tu le sais bien
c’est toi
Sister, the world cannot hold us…
Brother, you can go your own way…
ce que je fais est facile
ce qui m’ennuie
c’est le temps que ça prend
parce que la vie
c’est technique
penser à la chanson des raspberries
go all the way
et ne plus y penser
ne pas oublier
bien conscient des soucis causés aux lecteurs par ces communications récentes, je fais place à un texte écrit par l’honorable Ozkar Krapo (je vous laisse ajouter l’accentuation), afin de vous annoncer la possibilité d’écouter le volume 2 de mon émission de radio Je ne suis pas là qui sera diffusée ce soir à 21H sur le MOMI, ici donc, et sera rediffusée Mercredi à 15h, Jeudi à 3h, Vendredi à 22h
vous pouvez donc savoir qu’en penser avant d’en prendre connaissance vous même
ce qui est forcément
un enchantement
Ozkär Krapö Un début en fanfare (très moyennement mon truc, hors d’une bande-son, je dois l’avouer). Un zapping que j’espère bref sur NRJ avec une merde fm certainement très bien mais qui sonne comme toutes les merdes fm… ça m’a fait penser à ce film que tout le monde a adoré et que j’ai trouvé nul à chier, avec la scène du piano… ah, même le titre m’échappe.
Puis, sans transition – de toute façon il ne semble n’y en avoir aucune – du Peter Brötzman solo… excellent comme toujours, mais très court… comme des flashs… du métal, un truc qui ressemble à du Carla Bley (très bien): Dagmar Krause en fait, un extrait encore… suivi d’un truc indéfinissable… une boite avec un voix de fille en allemand, j’aime la tournure que ça prend: c’est surprenant et varié.
Du coup, il me semble même que les trucs pénibles du début ont leur utilité… en arriver direct là, c’est peut être trop, je ne sais pas…
Aucun morceau n’est plus en entier… un interlude musical… Guy marmonne les noms d’artistes, on comprend à moitié… on croit saisir… est-ce important? je ne le pense pas.
Super morceau ensuite: une sorte de dub-diy comme un « In the Lauderette » chanté par les Slits… ça enchaine avec une certaine logique depuis un petit moment… un autre truc improbable à mi chemin entre du Lauri Anderson froid et du Dalida parlé, curieusement très bien derrière. Puis, un truc guimauve américain qui coule pas mal après, ça pourrait être très connu… j’sais pas… le solo de sax dégouline des enceintes.
le morceau suivant est dans la même veine: sirupeux mais avec une gratte rythmique vraiment étrange… Ca repart avec un truc étrange: c’est pas pour me déplaire… ça maintient mon intéret… et en fait ça coule plutot bien, les titres s’enchainent sans problème… je connais rien (ou presque), c’est cool.
Et juste quand je suis bien dedans, vlan: un sale truc putassier à claviers. Ca me semble interminable… et bien entendu, direct derrière du rap… pas le pire, c’est certain… je patiente…
C’est con le rap, la musique derrière est bonne, mais y’a toujours cette scantion de voix… comme un cliché, mais sans lequel ce ne serait plus du rap…
C’est court. Derrière ça enchaine avec de la merde fm-soul quasi r’n’b mais avec un traitement comme passée au flanger: C’est étonnant. Faudrait pas que ça dure trop non plus.
Putain! re-rap… en temps normal, j’aurai zappé. Mais je suis curieux de voir ou ça va aller.
… Nouvel interlude: toujours ce coté Dalida, mais cette fois avec un orgue de tikki bar… un bon morceau soul qui s’enchaine bien, rien à dire, c’est honnète, ça passe… de toutes façons j’y connais rien en soul.
Je pense que j’aimerai bien écouter cette émission en bagnole, tomber dessus au hasard de la bande fm, sur l’autoroute. Un autre morceau blues-soul bien propre sur lui… mmmouais, ok.
Ca se termine excellement avec un truc inclassable et douteux.
Je reste interdit… ça me semble être bon signe.
J’écouterai le volume 3.
à tout à l’heure
Merci à Krapo!
je décore
avec moi
à ça
Hush little baby don’t you cry
Soon the sun is going to shine
We’re going to be free like the birds and the bees
Running wild in the big country
Got to be free to do what I want
Walk if I want, talk if I want
Got to be free to say what I want
Make what I want and play what I want
As free as the birds up in the sky
As free as the bugs and the spiders and flies
I don’t know how but I’m gonna try
I’ve just got to be free
And it won’t be long ‘cos we’re right
And they are wrong
We’ve got to get out of this world somehow
We’ve got to be free, we’ve got to be free now
Got to be free to laugh when I want
Think what I want and cry if I like
Got to be free to do what I want
Say what I want and swear if I like
As free as the sun and the moon in the sky
As free as a flea or a proud butterfly
I don’t know how but I’m gonna try
I’ve just got to be free
Yeah, we’ve got to get out of this world somehow
We’ve got to be free, we’ve got to be free now
Got to be free to do what I want
Walk if I want and talk if I want
Got to be free to say what I want
Make what I want and play what I want
I’ve got to be proud and stand up straight
And let people see I ain’t nobody’s slave
I’ve got to be free before it’s too late
I’ve just got to be free
Got to be free to do what I want
Walk if I want, talk if I want
il y aura toujours
quelqu’un pour te réveiller
je parle par ellipse
pour ne pas compromettre
le secret
de la révolution
qui est
en marche
camarade
tu sais bien
que ce n’est
pas celle-ci
réponds
tous les jours
je remercie l’humanité
pour les vêtements
pour les chaussettes
toujours les mêmes
pour les chaussures
deux trois paires
pas plus, pour les
jupes, et les robes
je remercie l’humanité
pour les barrettes
pour le pantalon
le pantalon noir
j’écoute stereolab
je remercie pour la culotte
je remercie pour tes yeux
tes boutons, le tshirt
je remercie tout ça
tous les jours
je remercie
l’humanité
et je regarde
je compte les jours
je regarde et je ne me vois pas
ah si dans le miroir
c’était moi
ah si dans le miroir
je te vois
les chaussettes
le pantalon
toujours deux ou trois paires
je remercie pour la nuit
j’écoute stereolab
les lunettes aussi
vous pouvez télécharger cet excellent disque p*nk fait par des filles anglaises gratuitement
je ne sais pas comment vous le dire plus clairement
bon d’accord il y a un mec dedans aussi
je vais tout écrire en anglais
ce sera plus simple
le 1er mai n’est pas la fête du travail
le travail c’est ce que les travailleurs
doivent détruire, donc c’est notre
fête
ce qui veut
dire beaucoup
de choses
des images
qui restent
pas forcément celle là
NB: le problème avec dubstar c’est que
je connais vraiment tout par coeur
et que les videos officielles sont
insupportables, en plus je cherchais
un truc de the aloof, enfin vous voyez
le genre
fucked up
je l’ai déjà mise ?
je m’en fous
par robert smith
croyez le ou non
bizarre
dans la ville
de paris, nous
des touristes
dans la ville
de paris
il y a des choses qui nous échappent forcément
ne me dis pas lesquelles, pas celles qui m’échappent
à moi, pas celles de mon corps, enfin
si, non fais comme tu veux
il y a l’écriture de commande
vous pouvez le lire
voir comment c’est fait
vous pouvez aussi écouter le disque
enfin, plus ou moins
je me demande si je ne dois
pas mettre une cravate
enfin
allez savoir
Rock & Roll
rien que ça
rien que ça
il faut avoir du cran pour écrire ça
Rock & Roll
je ne pourrais pas
est ce que tonite
rime avec toi ?
une émission de radio
que j’ai faite est passée
cette nuit à 4 heures
et encore à 10
et vous n’étiez pas là
ni toi,
moi à 10 heures oui
elle repasse à 15h
et sans doute demain ou après
je ne suis pas là, volume 1