17_mercredi

{14:14} Scorpion Violente journal de bord III

Autre chose amusante liée à la rigueur typiquement suisse : quand ils te disent que le lendemain tu peux dormir tranquillement jusque à peu près 13h, j’ai tendance à comprendre que je peux dormir tranquillement jusque 13h, littéralement.

Or, l’implicite suisse est qu’à 13h, tu as déjà fait ton caca du jour, coupé tes ongles des pieds, rangé tes instruments, dis au revoir.

Être réveillé par une voix alarmée à 12h59, et devoir déféquer devant la magnifique demoiselle qui allait devoir nettoyer les toilettes juste après était un tantinet difficile psychologiquement pour moi.
J’aurais préféré partir sur un sourire sensuel en disant d’une voix de velours « j’ai vidé le bordel de la chambre et défait les lits pour te faciliter le travail ».

Dire à la place « j’ai brossé le fond de la cuvette » avec un clin d’oeil m’a semblé étrangement moins classe.
Mais un petit regard sur le lac après avoir rangé les instruments avec une efficacité à rendre jaloux un russe autiste fan de tetris a momentanément effacé cet épisode de ma mémoire déjà défaillante.

Et j’ai fait pénitence en mangeant un piment puissant à vous irriter l’anus au premier regard pour être certain de souffrir au moins autant qu’elle pour le restant de la tournée.

Beaucoup de choses intéressantes, bien que la plupart du temps plutôt triviale, se sont passées dans les toilettes italiennes, outre le fait que j’ai réappris à faire mon affaire dans des chiottes turques..

J’aurais aimé plus parler de musique et moins de caca. C’est déjà trop tard pour ça.
Le but premier était de faire un journal quotidien, mais bon, être le connard du coin de la pièce avec le laptop sur la table et l’air concerné de rigueur est une chose dont j’ai décidé de me passer.
Ca n’a pas changé grand chose à ma vie, mais au moins j’ai su fuir un des stigmates de la connardise absolue (du mondeum) (merde, y en a même qui osent faire ça carrément sur scène!)

Bref, tout a commencé dans l’air pur de la Suisse, dont le ton ambiant était annoncé par une inscription (sur une brosse à chiotte, désolé, c’est sa faute, pas la mienne) qui disait plus ou moins « utilisez moi : imaginez vous à la banque, vous n’aimeriez pas que la personne suivante sache ce que vous venez de faire ? Et bien ici, c’est la même, gardons nos petits secrets pour nous »… Doit-on voir une relation entre cette brosse à chiotte et une petite parenthèse de l’histoire qui, tel un pet trop chargé, laisse des traces de freins au fond des consciences, et visiblement de certains comptes en banques ? En lisant entre les lignes de caca, certains messages se révèlent.

Mais quelques montagnes plus loin et déjà l’odeur de sainteté et de Pento chassait de nos mémoires olphactives les relents asceptisés de belle Suisse.

Le summum de la rébellion vestimentaire en Itale semble être de ne pas repasser sa chemise deux fois par jours.
Je suppose qu’il doit y avoir des prisons pour les gens comme nous là-bas.

[Tony, un charmant jeune homme rencontré à Rome a essayé de me faire lire une inscription sur son pénis, mais j’ai l’impression que c’était une feinte. Ou c’était vraiment écrit très petit. Et il faisait sombre.
Et mes amygdales ont la vue qui baisse avec le temps.
Et je veux juste oublier.
Tony wants a blowjob, voici le message qu’il m’a demandé de diffuser après cette tentative infructueuse, ce qui en dit potentiellement long sur l’analogie entre nos vies sexuelles respectives.]

16_mardi

{19:21} déconvenue

hier j’ai écouté un disque de kim fowley que je n’ai pas
qui, bizarrement, reprend un bout de la pochette du sublime international heroes
bref, ce disque, automatic, est mauvais
c’est vrai qu’il y a aussi snake document masquerade qui est épouvantable
et il y a l’album vraiment sans intérêt de dyan diamond que je viens d’écouter
du coup je me demande maintenant ce que peut bien donner la chanson anita bryant de leon russell
sortie à la même époque que son album americana entièrement écrit avec kim fowley et dyan diamond
ce qui n’intéresse probablement que moi

pour ceux qui ne savent pas qui est anita bryant
il y a déjà ça
bon, et puis je suis tombé là dessus
ce qui a un rapport
avec différentes choses

ah oui, quand j’ai 5 minutes je mets l’épisode III
là il faut que j’aille mettre en vente le destroy all monsters complètement nul que je viens d’écouter

15_lundi

{15:06} Scorpion Violente journal de bord II

Il nous ont malgré tout accueilli comme des princes avec bières, vin, bouffe à pleurer, chambres clean, chiottes avec verrou et sans MST coincées sur les cuvettes (le staphilocoque doré m’a semblé potentiellement plus probable)
Un peu de fume, et le stress du voyage tombe. Pas la fatigue, mais on n’a pas encore trop de cheveux gris, on encaisse (comme des fiottes, mais on encaisse quand même).

En bon vieux con, ma décision a priori de détester la première partie parce qu’ils étaient jeune et que « c’était quand même mieux avant » s’est retrouvée mise à mal par la grand classe du duo en question, qui avaient déjà compris malgré leur jeunesse que faire durer un morceau, parfois, c’est juste classe, et leur espère d’indus psyché mâtiné de rock m’a juste cloué sur place.
Ils s’appellent WELINGTON IRISH BLACK WARRIOR, sont normalement trois, mais leur batteur a décidé au dernier moment d’aller à la soirée disco qui faisait rage à l’étage du dessous (enfin, quelque part en dessous, le lieu étant trop complexe pour un topographie précise, toujours est-il qu’il a préféré le disco inferno au tropicold et viol d’enfant) (à moins qu’il ai juste chopé la gastro, mais n’ayant pas vu d’ordonnance du médecin, les spéculations restent ouvertes et vont bon train).

Pas assez bourrés pour assurer comme les bêtes de scène que nous sommes, ça s’est néanmoins plutôt bien passé.
Quelques galères de mixette et un son propret, mais une bonne ambiance.
Les nouveaux morceaux de The Dreams prolongent le rêve dans des contrées digne de leurs ambitions démesurées (devenir les rois du mondes par le raggae, l’amour, et le sexe avec des cadavres d’enfants).
Comme de bien entendu, une bande de névrosés ne peut que s’autoflageller après les concerts, fort heureusement, une petite feelgood convention nous a permis de nous rendre compte que c’était quand même la classe, et bon, ça reste rare, les gens qui viennent te voir en fin de gig pour te dire qu’ils ont détesté et qu’ils veulent te buter. Donc comme chez les bisounours, que des retours positifs, blocage mental sur le fait qu’il y avait pas grand monde, et qu’un gars a conseillé a Armelle d’arrêter de fumer et de couper les cordes vocales de Nafie.

A la grande question : Vaut-il mieux s’échouer comme un cachalot bourré sur une banquise ou vomir à s’en retourner l’estomac comme un gant, Nafie a donné sa réponse, et du coup le ton général dès le premier soir en empruntant les techniques secrètes des ânes qui mangent trop de pommes avariées.
Certainement sous l’inspiration des films de zombies dont il se gave, les translations d’un lieu à un autre sont vite devenus pénibles, mais sa capacité à se passer de point d’appui pour comater avait quelque chose d’héroique, d’émouvant même. Cuver debout et dormir en même temps, c’est clairement de l’ordre de la performance.
Et ce soir là, il s’est donné à fond.
Comment ne pas être impressionné par un tel spectacle ?

14_dimanche

{17:07} Scorpion Violente journal de bord I

Un roadtrip qui commence sans voiture pendant une grève des trains ne peut que dérailler au moins un temps.
Surtout lorsque l’agent t’annonce gentiment mais fermement que le train que tu as consciencieusement cherché sur la page d’infos de crise de la SNCF n’existe pas. Du tout.
Même pas lorsque la circulation est sur un mode conventionnel.
Le fait d’avoir une fois et demi ton poids en matos archaique et mal réparti dans des sacs inadaptés n’aide pas non plus.
Mais bon, entre 3 et 8 heures de route en solo via des gares foireuses, finalement, pas de grosses différences, à part les courbatures et les litrons de fluides corporels dont j’ai dû me délester, principalement de la sueur.
Et évidemment, un road trip, ça implique nécessairement une voiture.
Donc inclure les galères féroviaires, ce serait malhonnête.

Après un savant agencement d’instuments, médicaments, fringues (remarquez la hiérarchie entre les éléments emportés), nous voilà sur la route de la Suisse, celle d’Hitler et de Satan. Et certainement de Mr Propre.

Une tentative d’abandon d’un des musiciens majeurs de la scène strasbourgeomessine sur un parking s’étant soldée par un échec (la vieille technique de « compte les voitures sans te retourner et quand tu arrives à mille, tu peux revenir dans la voiture, on ne bouge pas, t’inquiète » a moyennement fonctionné), on s’est rabattu sur le plan originel, assurer deux concert plein de malveillance, de fantômes de rastas violés par des clochards skinheads, de lézards avec des gros seins et des flingues, et de choses inavouables en comparaison. La mort autoproclamée du rock a du bon parfois (souvent).

Le rapport au temps d’un endroit à l’autre varie de façon drastique.
Lorsque tu annonces 22h par exemple, en suisse, va savoir pourquoi, ça veut dire 21h30, à Metz 23h, à Strasbourg « quand tu veux j’en ai rien à foutre viens picoler avec nous, fais pas ta sucrée », et en Italie ça s’étire carrément jusque minuit 23, pour ne citer que les exemples qui nous concernent ici.
Arbitraire du signe, mécompréhensions liées à la barrière de la langue, implicites génético-culturels, réalités parallèles, décalage horaire, variations sur le sens de l’aproximation, faites votre choix, trouvez-vous une explication qui vous corresponde, moi, je me contente de rapporter les faits, le reste, c’est plus mon problème.

Mais compte tenu des données mentionnées plus haut, on peut dire que, dans la mesure où l’heure annoncée était 20h30 à Neuchatel, arriver à 22h était passible de viol collectif et/ou peine de prison. J’ai échappé à la prison…

13_samedi

{20:06} I’m special, you’re special He’s special, she’s special We’re all someone special And i am the king

je retire mes lunettes et je place une branche entre mes lèvres, la voisine d’en face doit se dire c’est un audiophile, je suis penché sur la pochette grande ouverte d’indiscreet et je me demande pourquoi faire autre chose qu’écouter un tel disque encore et encore, là ça doit faire la dixième fois de suite, je retourne, je machonne la branche, la pochette est parfaitement belle et drôle, les paroles sont pratiquement incompréhensibles et quand j’ai entenu happy hunting ground tout à l’heure j’ai cru que j’allais pleurer et puis après j’aurais pu sauter en l’air et puis après j’aurais pu me foutre de tout, je vais avoir du mal à passer à autre chose je n’ai même pas envie de parler de la conne de la caisse d’épargne qui m’a expliqué que j’étais facturé d’avoir retiré de l’argent dans une autre banque parce que c’est pour m’apprendre la consommation responsable je lui ai donc expliqué que c’était complètement autre chose, que c’était un scandale et du vol alors elle m’a dit que puisque la carotte n’avait pas marché il y avait maintenant le baton je reconnais que la carotte n’a jamais marché avec moi, la carotte capitaliste pourrie, et je vais apprendre à cette dame que le baton n’a jamais marché non plus, oh non jamais

ah oui, tiens, j’avais demandé à l’ineffable Toma de Scorpion Violente si il voulait bien faire un journal de tournée juste avant qu’il ne parte et il ne m’avait pas répondu, moi non plus je ne réponds jamais, puis quand je les ai vus en concert la semaine dernière {la meilleure fois, je dois dire, où je les ai vus} il m’a dit que si il avait écrit un truc mais pas encore fini et, voilà, donc je vais poster cette histoire ici dès que j’aurais fini de manger
en première partie de ce concert il y avait secrétariat qui sont deux jeunes filles bien mises, habillées je crois en secrétaires et qui font des chansons sur ce thème… en fait c’est assez intéressant et réussi, il y a même parfois une fulgurance de dextérité à la batterie qui est ravissante, meilleur morceau pour moi l’intérim même si il était mal parti

salut

{0:18} c’est tout

le problème qu’il y a
c’est les petits bourgeois
qui se donnent des airs à canoniser
des cultures qui sont en lutte contre eux

10_mercredi

{20:50} finissons en

brian eno est finalement un renégat
c’est pour cela que tous les adorateurs de cet imbécile le chérissent tout spécialement comme sarkozy chérit éric besson, il porte l’aura déshonorante de celui qui était dans un vrai groupe de musique populaire dérangeante et neuve et qui a même produit quelques réussites empreintes de cet esprit pour ensuite rejeter tout ça et se mettre à faire une musique pompeuse, prétentieuse et soi-disant intelligente
là s’arrête la comparaison avec éric besson qui n’a jamais rien fait de bien
je vous l’accorde

8_lundi

{22:24} juste parce que j’ai la catégorie

pantalon

et

{21:42} V. m’envoie ça

en fait, c’est ec qui l’a mis dans twitter
ça,

It certainly didn’t help when he kept saying ‘Rock music is dead’… even if it was true!
on communique tous un max
avec internet

6_samedi

{16:44} Alors ça se passe comme ça (members etc.)

Alors, sur Eb*y, ce vendeur présente un truc qui est dans mes recherches; donc, je regarde le reste de ces « objets en vente » et peut-être qu’il y a d’autres choses, sur lesquelles je vais enchérir, mais toujours est-il que, à la fin, le seul que j’emporte, c’est celui là et pas celui qui était dans mes recherches, pour 2,98 USD et donc 6 de port en sus, puisque le gars est américain.
[Noter à ce moment que cette chanson je l’ai déjà sur au moins deux disques, un maxi-45 tours et un 33 tours, même s’il s’avérera à la fin que ce n’est pas sans doute la même production, Steve Lillywhite sur les 45 et Martin Rushent sur l’album]

Mais alors, qu’est-ce qui m’a intéressé dans ce 45 tours pas cher ?
la pochette.
J’ai beaucoup aimé la pochette, je vous la mets.

Donc je reçois le disque assez vite, et les postiers ne l’ont même pas cassé. Et la pochette m’enchante, effectivement, et je te retourne tout ça dans tous les sens et je le passe à ma bébée quand elle me dit MZIK, voir ici.

Il y a écrit que le photographe est Barry Kay et ça me dit quelque chose et effectivement; et en furetant, je me dis que « ah, ça c’est amusant », parce que la photo de la TRAVAILLEUSE et bien elle vient d’un travail sur les transsexuels, il y a écrit « Robby, Lisa », est-ce que la TRAVAILLEUSE elle-même, je ne sais pas, mais « ah, ça c’est amusant ».

[Noter ici que c’est vraiment une très bonne chose que les MEMBERS aient pensé à faire une chanson pour dire qu’ils étaient amoureux de LA TRAVAILLEUSE, on ne saurait trop les en féliciter, surtout si leur môme ne joue pas les starlettes et ne porte pas des lunettes
de soleil]

Il y a écrit aussi sur la pochette Assorted iMaGes et je me dis « Ça doit être Malcom Garrett« , mais je ne saurais pas en fait si c’est le cas ici; mais si!, Garrett, le gars qui a commencé par faire ça , même si l’image est de Linder Sterling, là encore pas de lui.
Et saviez-vous que Malcolm Garrett et Peter Saville avaient non seulement fait la même école d’art mais étaient dans la même classe de lycée, dans une A level art class au St Ambrose College « an independent Catholic grammar in Hale Barnes, Cheshire« , ouais, j’ai vu ça sur l’internet aussi ?

Des disques des Members j’en ai un bon nombre, notamment des 45 tours, avec des pochettes. je me souviens même parfaitement que j’ai acheté le premier album aux Galeries Lafayette pour 38 francs cinquante centimes et que j’ai obtenu cet argent en re-vendant au gars Cacaillou un double album de Genesis (the lamb bidule – savoir pourquoi j’avais un disque de Genesis, c’est une autre histoire, pas racontée ici), pile pour cette somme-là, 38 francs cinquante centimes.
Je ne me souviens pas du tout pourquoi je voulais acheter cet album des Members, en revanche, à cause de la pochette ? elle est de Garret, d’ailleurs, tiens.

Et j’ai vu sur l’internet aussi, que les Members ont joué à Paris dans une boîte de nuit qui s’appelle les Combustibles le 2 octobre dernier, et sur l’internet aussi je me suis promené sur leur site et les sites des membres, et j’en ai profité aussi pour balayer la pochette de ce 45t et la mettre sur discogs et d’autres trucs que j’ai oubliés aussi parce que c’était hier, et sur l’internet aussi , j’ai trouvé la vidéo de la chanson, et c’est vraiment effrayant les dégaines de ces types et de certaines des filles sur ce truc , je vous laisse juges.

Et c’est ainsi que ça se passe, que l’Homme Moderne occupe son temps et que l’Homme Moderne farcit son cerveau d’informations qu’il oubliera mais pas toutes et pas tout de suite.

{15:33} Mémoire neuve

C’est curieux effectivement, la mémoire,
je suis sûr d’avoir entendu autrefois à la radio, le soir tard dans mon lit, cette chanson là, que j’ai ré-entendue un jour sur ce « Killed by death 200 – Rare punque français ’77 – ’83 », téléchargé il y a quelques années, je lis que c’était peut-être chez Manneval, donc sur Europe 1, imaginez…

Comme ils ont l’air jeunes là, ces jeunes , la voix est jeune aussi, si jeune, d’une époque où même-moi je n’étais pas si jeune.

« Pressage officiel en vinyl de morceaux inédits
de groupes rock français des années 60/70/80 »
Quelle idée d’appeler ça Mémoire neuve, elle est toujours vieille la mémoire, même quand elle resurgit et que ÇA a l’air d’être , comme si c’était maintenant.

Et Caen, sur la photo Je trouve que la fille est superbe, attendrissante, ça ressemble vachement à la banlieue de Lyon à l’orée des années 80, oui.

1_lundi

{21:37} et la meilleureplus belle chanson III

allez,
oui

je suis bien content de l’avoir trouvée
avant de décider de ne plus acheter de vieux disques

{21:19} et IX

29_vendredi

{20:14} chanson dans la tête VIII

28_jeudi

{18:35} passé pas mal de temps sur ce

site et finalement j’en conclu
que
c’est con

{18:09} la meilleure chanson II

sur un album fantastique

il faut bien le dire

{17:51}

pour ceux qui ne savent pas qui est roberta bayley
allez,
je vous aide

ceux qui ne savent pas ce qu’est max’s kansas city
passeront leur chemin

{13:16} à la mi-journée

J’ai jeté un coup d’oeil à cette liste
et c’était
pas trop con

ensuite j’ai lu cet article
et c’était
pas trop con

je me suis dit aussi que tout le monde savait bien que c’était un mouvement anti-sarkozy
personne ne s’y est trompé puisque les confiscateurs de parole ont décrété que ça ne devait
pas en être un
les ordures

27_mercredi

{21:01} un disque que je vous recommande

26_mardi

{22:17} A pretty poor version of Max’s beautiful history, September 11, 2010 By Roberta – See all my reviews This review is from: Max’s Kansas City: Art, Glamour, Rock and Roll (Hardcover) I am Roberta Bayley, and I am not featured in this book nor am I mentioned, which is absolutely 100% fine with me. Leee Black Childers IS mentioned, as one of the four great Max’s photographers, along with Anton Perich, Danny Fields and Brigid Berlin, and a photo OF Leee appears. However, NONE of Leee’s photographs are included in either the book or the show about it at Steven Kasher Gallery. Leee is alive and well, and still an active photographer with many recent and upcoming shows. So why is he missing here? Absurd. Every one of the Cockettes ( a very famous drag troupe from San Francisco with many documentaries and books about them extant) are identified only as « a Cockette » except for Pristine Condition. As if they didn’t all have names! It’s like showing a photo of Mick Jagger and John Lennon and captioning it « Mick Jagger and a Beatle ». Dee Dee’s Ramone’s wife, Vera, who recently published her own memoirs, is « unidentified »!!! Couldn’t anyone make phone call? (Actually I learned that someone from Abrams, the publisher, DID make a phone call, to Lenny Kaye, who told them the « blonde in the photo » was Vera, Dee Dee’s wife.) Many quite famous people are « unidentified » in this book. Where oh where were the research people on this? Talking to « editor » Steven Kasher? The « unidentified » chimp at Max’s was the World’s Most Famous trained chimp, J. Fred Muggs! (Do you think Mickey would let just ANY chimp into Max’s?) I also have to say I was appalled when the New York Times article about this book and show gave Steven Kasher credit for having « helped discover previously unknown pictures of Max’s from insiders like music producer and writer Danny Fields. » (BTW Danny Fields is not a music producer.) As co-curator with Bobby Grossman of a show entitled « The Cool & The Crazy » in 1996 (which travelled to the Candice Perich Gallery in Conneticut, Govinda Galley in Washington D.C. and the Earl McGrath Gallery in Manhattan), Danny was included as a photographer, with his photos of Max’s from 1973, including his contact sheets. An aborted mish mosh of different photographers who are NOT Danny adorn the cover of this poorly conceived book. In other words, it looks like a contact sheet, but isn’t really because many different photographers are pasted in. That’s the exact opposite of a contact sheet. Danny Fields was also included in a book and show I curated in 2004 called « Bande a part: New York Underground 60s, 70s, 80s » (the book is still in print in the U.S. from Gingko Press). This book includes many of Danny’s photos, including his Max’s contact sheets. Some years ago, I proposed the « Bande a part » show to Steven Kasher for his gallery but he passed. He saw the book a long time ago (before it was published in the U.S.) and was well aware of Danny’s so-called « unknown » photos. Also included in « Bande a part » were photographers Anton Perich, Billy Name, Marcia Resnick, Godlis, and Stephanie Chernikowski, including many of the exact same images reproduced in this book. So much for the originality and accuracy of this book. It is a joke. We all look forward to books by Danny Fields, Leee Black Childers, Brigid Berlin and many more photos (and books!) by the great Anton Perich. Save your money, this book will be remaindered soon. Try to find Yvonne Sewall (Ruskin)’s Max’s book instead. Or buy « Bande a part »! Roberta Bayley

leur site aussi
est con