30_vendredi

{12:33} vous pouvez ignorer cette annonce dans

salut

on m’a gentiment
demandé
alors j’ai participé
à ce truc

vous savez
 »
les numéros

29_jeudi

{10:45} trêve des confiseurs

28_mercredi

{21:12} All life we work but work is bore, If life’s for livin’ what’s livin’ for, She lives in a house that’s near decay, Built for the industrial revolution, But in her dreams she is far away, In Oklahoma U.S.A. With Shirley Jones and Gordon McRea, As she buys her paper at the corner shop, She’s walkin’ on the surrey with the fringe on top, Cos in her dreams she is far away, In Oklahoma U.S.A., She walks to work but she’s still in a daze, She’s Rita Hayworth or Doris Day, And Errol Flynn’s gonna take her away, To Oklahoma U.S.A., All life we work but work is a bore, If life’s for livin’ then what’s livin’ for.

je ne sais pas si
vous me suivez

20_mardi

{11:16} En passant, Shaking with Lydia


trouvé ici http://mediachrist.blogspot.com/2011/09/lydia-lunch-bloodsucker-comic.html

16_vendredi

{21:37} au troisième bof il sera exactement trop tard

je cite mes sources mais
désolé je ne savais pas qu’il y avait maintenant une mode
éditoriale qui s’appelle la shitlist et si je l’avais su je
n’aurais pas écrit le plus mauvais disque de l’année 2011
etc. en plus il y a des gens qui ne sont pas contents car leurs
disques sont dans la vraie liste et ils se retrouvent finalement
en même place éditoriale que le plus mauvais disque alors que eux
ils ont le meilleur disque
c’est cocasse
ils trouvent
et hop!

non une petite video m’est autorisée

salut

14_mercredi

{15:52} N La négociation c’est la ruse Ne vous laissez pas chatouiller par les démagogues Ne vous laissez pas exploiter Non (1) Non (2) Non ! (1) Non ! (2) Non à la bureaucratie Non à la course au profit en médecine Non à l’association capital-travail Non à l’Etat policier… Non à sa dictature Non aux accélérations des cadences. Citroën : 2 débrayages Non aux négriers du bumidom Non ils ne partiront pas Non les grands magasins ne rouvriront pas… Nous irons jusqu’au bout (1) Nous irons jusqu’au bout (2) Nous roulons parce que nous avons été trahis Nous sommes le pouvoir Nous sommes tous des juifs et des allemands Nous sommes tous indésirables O

à chacun son indignation
comme une assiette vide à table, la place du pauvre
on ne sait jamais et si
il venait
et si
il frappait à la porte
en attendant le sarkozy du pauvre a dit
partir à 60 ans. Ceux qui n’ont pas leur durée de cotisation, ne le pourront pas
et si il frappait à la porte,
aurait il ses papiers et prendrait on en compte la pénibilité de son travail ? mais comment l’évaluer, tous ces cas de conscience ah comme je plains ces gens qui ont des affaires à gérer et des indignations à organiser
ils laissent l’assiette vide à la table et ils laissent l’indignation vide à remplir de croutons plus tard
c’est symbolique surtout qu’on est à Noël

ici, un joli petit tas de fichiers
non c’est vrai il y a 2 morceaux vraiment bien
ce qui m’amuse c’est que parfois le chanteur a une nasalité proche de bob marley
ou plutôt une sinusité, enfin disons que quand je l’entends je visualise mes propres sinus
ONE LOVE, quoi

13_mardi

{13:46} eh oui, le voilà, à la demande générale c’est le

plus mauvais disque de l’année 2011
j’ai nommé
channel pressure de ford & lopatin

le fait que ça eut pu être enregistré dans le home studio de jan hammer ne m’impressionne, bien évidemment, qu’encore plus défavorablement. Donc, vous connaissez tous ce disque, c’est un exercice de transposition de l’esthétique sonore d’une époque qui peut-être fonctionne {mais qu’est ce qu’on en a à faire de cet exercice?} et nous donne un bon gros kick glucosé de junk food sauf que contrairement à un donut au sucre glace mangé puis jeté, ici la nausée est produite par la surabondance qui survient dès le deuxième morceau. Plus d’idées, plus rien, le truc tourne à vide au deuxième morceau et quand on entend les mêmes CLAPS qu’utilise Dam-Funk on pense immédiatement, injure suprême, white people!. Bref si je n’avais pas rapidement compris que je tenais là le plus mauvais disque de l’année 2011 je n’aurais pas écouté ce truc jusqu’au bout. Bah, c’est vrai je fréquente un peu trop d’américains virtuels en ce moment.
Quel ennui.

12_lundi

{21:44} soit

je mets la video , ici
soit je la mets sur facebook
le résultat est complètement
différent

c’est vrai que j’adore ces sons de fairlight
on peut toujours se moquer de l’autotune mais
en fait quelle est la différence avec un faux
saxo en 24khz ?

en dehors de ça j’ai reçu
et écouté quelques disques
extraordinaires, oui
ce qui devra attendre
mais attendre quoi ?

sur facebook j’ai mis un truc de la funk mob
voilà

{13:40} ne croyez pas

que je vais vous faire une
liste de 2011 non, ces trucs ne servent à rien
si ?

4_dimanche

{23:05} transition II

j’essaye de m’en approcher
le plus possible et je n’y
suis pas encore, je crois
que je peux faire encore m
ieux je ne sais pas commen
t

je m’en tire peut-être un
peu trop bien

1_jeudi

{20:09} transition

oui, j’ai vu ce groupe
sur scène, on devait être dix dans la
grande salle de la locomotive

oui, c’est vrai je pense que je suis plus malin que la plupart
du monde, oui c’est vrai
je n’y peux rien, c’est comme ça

vous n’avez qu’à lire des livres

aussi

allez,
je reviens

28_lundi

{19:16} achetez, achetez

moi
oui, moi
hey
j’ai été interviewé dans un mag australien et comme les raisons d’écrire sont les raisons d’écrire sont dans l’état où elles se trouvent, je vous mets le début ici
oui il y a
carrément ma photo aussi, le type qui m’a interviewé dit que j’y ressemble à harry dean stanton ouais le mystère s’épaissit
le mag s’appelle negative guest list
c’est aussi un label
très
intéressant

et, oui, au fait
le reste de l’interview se trouve là
oui c’est un piège

en voici un autre
lisez ça
oui, j’ai des disques à vendre
misère

bon maintenant je vais voir si automelodi c’est mieux que marquis de sade
{je crois que oui}
il y a plus de synthés, c’est plus rigolo et ça ressemble plus à maintenant
et tout

26_samedi

{22:56} pauvre homme

manger du foie gras
marcher les mains dans les poches
je n’ai pas fait de photo
la vendeuse m’a montré ses chaussettes
elle aimait bien la couleur
m’a t’elle dit
je n’ai pas fait mes 1300, elle a dit à l’autre vendeur, j’ai fait que 1100 alors tu parles
tout ça est très romantisé, la vérité reste plate


en général

25_vendredi

{14:25} pauvre femme qui n’arrive pas à marcher avec ses talons

parfois c’est touchant parfois c’est une épreuve, à regarder
je voulais vous annoncer une bonne nouvelle mais ça n’a pas marché
pourtant j’ai cherché, regardé et écouté
je me rappelais le moment où on aimait bien laurie anderson
et je pensais que ça pouvait redevenir possible et ça ne l’est pas
peut-être que vous n’en aviez pas le doute, moi je l’ai eu ce matin
j’ai vu une image et j’ai alors eu ce doute

seul point positif, laurie anderson a la même coupe de cheveux qu’eva joly
la pestiférée du moment et ça c’est bien
être pestiférée des abrutis c’est bien

ça ne va pas {me} durer
j’écoute les bush tetras à la place, oui la fille est morte
et tout, et puis j’ai écouté ce 45 tours

conseillé par charlene darling de
la ligne claire

24_jeudi

{23:10} voici ce que j’ai dit

j’ai dit
je devrais prendre celui qui est devant moi,
je prends ce chocolat ci parce que c’est le seul qui reste en double comme ça il vous reste le choix de prendre ce que vous voulez, vous
elle a dit alors
vous êtes mignon

histoire de noël

bon, moi j’écoute beaucoup ce morceau
{merci à arturo}
il y a trois morceaux potables sur ce disque
potables pour les mélancoliques décadents
c’est à dire moi
le reste est insupportable, soit sans esprit soit juste trop travaillé, des fausses surprises laborieuses, le pire étant le premier morceau avec la mémé qui débite un texte chevrotant, la pauvre, et on l’entend tourner la page
elle lit ce qu’on lui a écrit
non, ce qui est amusant c’est que le type n’a rien à raconter d’autre que ses histoires de business, histoires d’argent, histoires de son extraordinaire talent

j’avais lu un article chouette qui parlait de cette auto-référence
dans le r*ck
je suis en tournée
je mange dans des diners
je suis sur scène
mon bassiste se drogue
je suis une star et lorsque je ne suis plus sur scène je suis comme vous
mélancolique et décadent

bien sur, je ne vous l’apprends pas, le plus bel exemple de ça est le disque war babies de daryl hall & john oates
produit par todd rundgren, moi aussi j’aimais bien être une micro-étoile

Is it a star, or is it me
You say you believe in
And the nights
When my stage smiles not so wild, and aint coming easy
Cant you see its me
All broken down inside
Cant you see its me
All broken down inside
Cant you see its me
Honey, youve been dreaming
Then theyll meet you on the streets, and say theyve had
A crush on you, for a year or two, maybe three
And they say hi, how you doing, but is it really me, or you,
You say you believe in
Baby, youve been dreaming
Cant you see its me
All broken down inside
*cant you see its me
All broken down inside
Cant you see its me
All broken down inside
Cant you see its me
*all broken down inside
Baby, youve been dreaming
You see its me
Is it a star, or is it me
You say you believe in
And all of the nights
When my stage smile lasts awhile, coming easy


*repeat

je crois que je devrais écrire ce livre sur la répétition
car je ne sais pas où lire va me mener
la répétition fait pleurer

23_mercredi

{12:07} Superblogue

Je suis bien content d’avoir regardé cette vidéo ici à propos de ce disque

22_mardi

{23:01} ah, je suis désolé je me

suis encore moqué du gout des gens, et après je leur ai mis une video en travers de leur écran et je sais qu’ils ne vont pas s’en remettre, une vidéo et une phrase, non ça n’est pas facile de vire dans une situation contre-révolutionnaire comme la notre tout va ailleurs que là où ça devrait aller c’est à dire que ça va vers la séparation
ensuite j’ai regardé une vidéo pour des raisons de pure nostalgie, oui cette vidéo a été tournée, la fille avec qui j’habitais m’a dit ça quand on marchait dans cette rue de londrse elle m’a dit qu’elle avait été tournée là, je ne dirais pas chez nous non ça n’a jamais été chez nous j’habitais chez elle et ni elle ni moi n’écoutions cette musique, la musique pourrait etre belle mais le mec est insupportable vraiment et ces épaulettes là dans sa veste en cuir noir, ah non ridicule, et sa tête d’imbécile faussement décoiffé, il marche dans notre rue enfin c’était il y a pas mal de temps et là je sais bien, et vous savez bien que je vais mettre une vidéo
à un moment ou un autre
la ville, la mauvaise ville

avant ça j’ai écouté africa hitech et c’était mauvais, sauf un morceau qui revient d’ailleurs 4 fois tellement ils n’ont pas d’autre morceau, aussi mauvais que zomby ? oui aussi mauvais
antiseptique, oh ça suffit
voilà un vieux truc qui tiens encore un peu le coup

merci de votre
attention

21_lundi

{22:39} Re: la danse contemporaine ça peut ne pas être chiant

Question de gouts.

Ça se discute pas.

Mais c’est quand même nul.

Merci

enfin je veux dire quand on utilise tous ses forces pour ennuyer quelqu’un, c’est à dire une personne qui est assise et qui n’a pas le droit de bouger parce qu’elle doit vous regarder mettre toute votre énergie au service de l’ennui maximum, on a fait la chose la moins naturelle possible

et là on peut dire bravo Meg Stuart

j’espère que mes yeux étaient injectés de sang

non pas que je préfère la nature


20_dimanche

{10:54} Sweetest girl in all the world These words have died before me Read more:

My diplomacy, my security, my hope and my ice-cream
My tomorrow and my temperature, my lips and my selfishness
My cigarette, my uncertainty, my penetration
My notebook and my limit, my importance and my glycerine
My customer, my function, my lawlessness, my charm
My hunger, my refusal, my tissue and my vodka
My ommission, my ability, my telephone and my holler
My relaxing, my distress, my bedroom, my cassette
My dictation and my pulse, my fortune and my death
My flake and my restlessness, my headache and my dirt
My paper and my charity, my rose and my pallor
My guess and my closet, my light ‘n’ my time
My worry, my perversity, my transgression
My temptation and my polythene, my gunshot [click]
My jealousy and my water
My demands ‘n’ my angels ‘n’ my waiting ‘n’ my distance
My death, my curtness, my insulin, my memory
My partner ‘n’ my sadness, my story, my wantoness
My wish, my despair, my erasure, my plantation
My white chocolate, my thoughtlessness, my gracelessness
My courage and my crying, my pockets ‘n’ my mistakes
My body and my sex, my gaze and my helplessness
My letter, my sugar, my homework, my walk
My records, my smile and my struggle
My reflection, my eyelid, my fragility, my discretion
My hair, my austerity, my tattoo, my demise
My fooling and my terror, my problem and my judgement
Oh my disguise, my tongue
My ownership, my formula, my property, my thought, my razor
My blessing and my silence, my lust and my practice
My sincerity, my penecillin, my window and my androgyny
My mother, my recorder, my pity and my posing
My light, my carelessness, my drummer
My drummer, my drummer, my drummer
My tenderness ‘n’ my car, my undoing and my history
My bottle and my drugs, my drugs, my drugs
Tomorrow, my temperature, my lips and my selfishness
My cigarette, my uncertainty, my penetration, my notebook

My limit, my importance, my glycerine
My customer, my function, my lawlessness, my charm and my hunger
My refusal, my tissue, my vodka, my admission

My ability and my telephone, my holler, my relaxing
My distress and my bedroom, my restlessness, my headache
My dirt, my paper, charity, my rose
My pallor, my guess and my closet,
my light ‘n’ my time, my worry, my perversity
My transgression honey, my temptation honey
My polythene, my jealousy
My water, my demands, my angels
My waiting, my distance, my death, my curtness, my insulin
My memory, my partner, my refrigerator
My sadness, my story, my wantoness, my skipping
My wish and my despair, my erasure, my plantation, my chocolate
My thoughtlessness, my gracelessness, my courage and my crying
My pockets, my homework
Like lions after slumber in unvanquishable number
Oh yeah.

19_samedi

{13:43} sometimes I shy but wave you up

bonjour tout le monde {?} je devrais en ce moment même être entrain de lire
et j’écris,
parfois j’écris et je n’ai rien à lire, parfois j’écris alors que j’ai quelque chose à lire
là j’ai quelque chose à lire mais je préfèrerais lire autre chose, alors j’attends que ça vienne
j’écris, et
heureusement j’ai toujours quelque chose à écouter
{what exactly is the point you‘re making?}
il y a un certain temps je pensais à mes disques absolument préférés et je me disais que je pouvais écrire là dessus, et puis c’était facile j’ai tout de suite écouté et choisi secret treaties de blue oyster cult et berlin de lou reed
je peux facilement écrire des tonnes là dessus, eh bien sur je ne le fais pas, je pense que ça n’a aucun intérêt, pour personne ou alors marginalement écrire sur le blue oyster cult et le couple krugman-pearlman, le rapport avec les dictators donc et toute cette imagerie nazie manipulée par des juifs, tout ça est très beau et essentiel, on ne peut pas penser à berlin sans penser au nazisme non plus, bon très bien tout ça mais moi je n’ai pas envie d’être historien du r*ck
renseignez-vous

j’ajoute, moi, le disque monkey banana kitchen
de family fodder
tout le monde dans ce bl*g aime ce disque
aime ce groupe et il y aurait tellement de choses à dire, écoutez
je mets une image et puis voilà

je n’écoute plus que ça depuis deux jours

tiens il y a aussi ça à lire
tu sais