21_mardi

{23:56} je rentre, même pas chez moi, et je pense

je connais ces paroles par coeur
et, en plus, j’étais à ce concert là
enfin je crois, il y avait jacno
et je lui ai dit bonsoir, et puis
après il est mort, le plus mémorable
du concert c’était quand même la
coupe de cheveux
si

18_samedi

{2:55}

un disque
que j’achèterais
pour la pochette
si je tombais dessus
par
hasard

16_jeudi

{22:36} 2 choses
    1. je n’aime pas lindstrom
      enfin je crois
      disons que je m’en fous de
      lindstrom
      mais ça, ça me plait
    1. j’ai regardé un super feuilleton
      une série ? ah oui on dit une série
      qui a le bon gout de s’arréter à la saison
      2, qui est anglaise et pas américaine
      il y a beaucoup d’atomic rooster dans
      la bande son, ouais
      et je n’ai aucun disque
      d’atomic rooster, la série est englaise et
      il y a des super filles et des super briques

    {10:14}

    ce matin, la chatte est déposée chez le vétérinaire pour se faire stériliser – ça me met mal à l’aise – j’imagine une trentenaire dans un téléfilm moderne qui s’inquiète pour son chat et qui poste des messages sur un forum, c’est une image irritante –

    aujourd’hui, j’attends de recevoir enfin mes livres (ceux que j’ai faits) – ils ne me les ont toujours pas livrés, c’est usant – en attendant, je joue à Minecraft et ensuite je dessine ce que j’ai vu dans le jeu (ou ce que je voudrais y voir, c’est mon truc d’artiste

    (je pensais écrire un truc sur les emails de promo qu’on reçoit, quand on écrit sur ce blog – des pubs débiles pour des groupes horribles – mais en fait non) –

    dans Minecraft, on peut fabriquer une sorte de jukebox (avec des planches et un diamant, forcement) – si on n’a pas de disques, il joue uniquement une seule note (mais je crois que si on en fabrique plusieurs, les notes sont différentes) – bref – pour avoir des disques, il faut faire en sorte qu’un certain type de monstres se fasse tuer par un certain autre type de monstres (il faut que le second tue le premier à l’aide d’une flèche tirée avec un arc) – bref (re) – il y a plusieurs disques qu’on peut placer dans le jukebox qu’on a fabriqué au préalable – chaque fois que j’en mets un, ça me rappelle burial – c’est amusant, parce que je n’ai presque jamais écouté burial et que je ne me souviens pas du tout de sa musique – je crois que c’est truc électronique un peu menaçant et rythmique – j’ai déjà mis des morceaux sur youtube, j’en suis sur – ça ne m’a absolument pas marquée –

    donc, ces jours-ci, je dessine beaucoup : je reconstruis des paysages et des personnages de Minecraft mais pas seulement – il y a aussi des dessins abstraits qui sont des hommages à Bram Van Velde, mais personne ne s’en rendra compte – Stéphane a déjà imprimé un livre avec les 24 premiers dessins, il est enthousiaste, ça me fait plaisir (il a aussi déjà reçu les 24 suivants pour la suite) –

    quand je dessine, j’écoute toutes les mixtapes de gucci mane que j’ai téléchargées – je me souviens de Sebastian, en voiture, qui me disait « all rappers say they killed someone, but they didn’t – it’s only marketing – well, actually, gucci did » –
    peut-être qu’il y aurait des commentaires raisonnables à faire à propos de cette citation, qu’il faudrait la tempérer en disant « bien sûr, ça ne veut pas dire que …, etc. » – enfin je n’en sais rien –
    je me souviens aussi que Sebastian parlait de sa fascination pour Jerry Heller, qu’il l’avait rencontré (Jerry Heller manageait Eazy-E, Sebastian manage Lil B, un parallèle de cet ordre) – il disait quelque chose comme « Jerry Heller is a white jewish man who did manage black artists – and so he’s hated by some » – bon, peut-être qu’il n’a pas dit exactement ça, mais je m’en souviens –

    quoi qu’il en soit les mixtapes de gucci mane me font toujours beaucoup d’effet – un gaz hilarant, j’imagine – mais un mauvais gaz hilarant – une lointaine descente de cocaine derrière une ivresse euphorique (la cocaine, c’est un souvenir lointain) –

    mais je finis par changer la musique – souvent, je remets ces disques de Graham Lambkin que je ne comprends toujours pas, c’est impressionnant – c’était un jeune dessinateur qui m’en avait parlé dans un email ou deux –
    j’ai lu sur internet : Shadow Ring, etc. – le nom de ce groupe me disait quelque chose, mais c’est comme Matt Valentine ou un autre truc du genre, ça ne m’intéressait pas quand les gens en parlaient autour de moi –
    hier soir j’avais mis Salmon Run, je me disais que c’était assez frimeur parfois, ces collages musique classique + bruits de respiration – fatiguant, même – mais à certains moments, je trouvais ça formidable, sans vraiment réussir à savoir pourquoi (en tous cas, je ne suis pas particulièrement attachée à la « vérité » ou à « l’authenticité » – parce que j’imagine qu’on pourrait dire que c’est ça, le truc – donc je ne sais pas) –
    le disque de Elklink est très bien aussi –

    15_mercredi

    {13:17} a bon entendeur

    14_mardi

    {22:07} allez savoir

    Come see the puppets, come see the show
    pretty girls all in a row
    come see the puppets, come see the show
    strong men with the tales of woe

    me and you
    you and me
    one plus one can be such fun
    me and you
    you and me
    two and two
    what could we do
    me and you
    you and me

    bring all your friends, they all want to know
    how to dance and to say « no »

    don’t miss this chance to peak at our show
    we fly high and we fly low

    me and you
    you and me
    three and three
    what would we beme and you
    you and me
    four and four
    you can’t take much more
    me and you
    you and me

    OK, let go
    let’s go through the various situations
    the various combinations
    of romance, love and marriage:
    male plus female
    female plus male
    but, my, how sex intrudes
    girls in pink, boys in blue
    sex intrudes, too many rules
    too many fools following too many rules
    so let us go further
    let us now try:
    female plus female
    male loving male
    female plus female plus female plus female
    male plus male plus male plus male
    female plus male
    male plus female
    female plus female plus female plus female

    me and you
    oh, you and me
    sex that’s free
    me and you
    oh, you and me
    don’t you know that there’ll always be
    me and you
    oh, you and me

    then there’s always more.
    Catégorie :

    Musique
    Tags :

    ludus
    linder sterling
    manchester
    post punk
    art
    arte
    morrissey
    harno3
    harno

    Licence :

    13_lundi

    {19:29} actuellement je me sens étranger et je dirais même

    en guerre avec ma collection de disques
    tout m’exaspère, je regarde tous ces trucs
    et je suis pris d’un énervement incontrolable
    une détestation de cette histoire que je connais
    beaucoup trop bien et qui, malheureusement, se répète

    enfin, finalement, en désespoir de cause je mets
    la compil messthetics greatest hits
    {en fait je voulais mettre greatest hiss que je n’ai pas trouvée}
    et là, je me relève toutes les 10 minutes ou moins pour aller voir
    le nom du groupe
    regardez comme c’est trop bien

    HEY!

    et WOW!

    12_dimanche

    {15:39} L’abolition de la famille ! Même les plus radicaux s’indignent de cet infâme dessein des communistes. Sur quelle base repose la famille bourgeoise d’à présent ? Sur le capital, le profit individuel. La famille, dans sa plénitude, n’existe que pour la bourgeoisie; mais elle a pour corollaire la suppression forcée de toute famille pour le prolétaire et la prostitution publique. La famille bourgeoise s’évanouit naturellement avec l’évanouissement de son corollaire, et l’une et l’autre disparaissent avec la disparition du capital. Nous reprochez-vous de vouloir abolir l’exploitation des enfants par leurs parents ? Ce crime-là, nous l’avouons. Mais nous brisons, dites-vous, les liens les plus intimes, en substituant à l’éducation par la famille l’éducation par la société. Et votre éducation à vous, n’est-elle pas, elle aussi, déterminée par la société ? Déterminée par les conditions sociales dans lesquelles vous élevez vos enfants, par l’immixtion directe ou non de la société, par l’école, etc. ? Les communistes n’inventent pas l’action de la société sur l’éducation; ils en changent seulement le caractère et arrachent l’éducation à l’influence de la classe dominante. Les déclamations bourgeoises sur la famille et l’éducation, sur les doux liens qui unissent l’enfant à ses parents deviennent de plus en plus écoeurantes, à mesure que la grande industrie détruit tout lien de famille pour le prolétaire et transforme les enfants en simples articles de commerce, en simples instruments de travail.

    explication de
    l’expert

    illustration dialectique

    11_samedi

    {15:10} en partant

    je vous laisse avec une chanson
    de hippie

    qui est bien

    10_vendredi

    {9:29} vrac

    oui, le truc s’est planté
    vous avez vu ?
    après c’est revenu
    tout seul

    pendant ce temps là
    on m’a proposé des débris
    d’une vieille maison de jim morrisson
    mais je n’ai pas tout lu

    je me suis excité pour un groupe
    que je ne connaissais pas avant
    un vieux
    groupe
    qui s’appelle church police

    sinon, ça , ça et ça

    et puis j’ai lu
    cette interview
    de richard meltzer

    voilà

    6_lundi

    {22:58}

    prolétaires de tous les pays
    vereignit euch

    {15:50} En quoi consistait, jusqu’ici, le caractère essentiel de l’État ? La société avait créé, par simple division du travail à l’origine, ses organes propres pour veiller à ses intérêts communs. Mais, avec le temps, ces organismes, dont le sommet était le pouvoir de l’État, s’étaient transformés, en servant leurs propres intérêts particuliers, de serviteurs de la société, en maîtres de celle-ci. On peut en voir des exemples, non seulement dans la monarchie héréditaire, mais également dans la république démocratique. Nulle part les « politiciens » ne forment dans la nation un clan plus isolé et plus puissant qu’en Amérique du Nord, précisément. Là, chacun des deux grands partis [6] qui se relaient au pouvoir, est lui-même dirigé par des gens qui font de la politique une affaire, spéculent sur les sièges aux assemblées législatives de l’Union comme à celles des États, ou qui vivent de l’agitation pour leur parti et sont récompensés de sa victoire par des places. On sait assez combien les Américains cherchent depuis trente ans à secouer ce joug devenu insupportable, et comment, malgré tout, ils s’embourbent toujours plus profondément dans ce marécage de la corruption. C’est précisément en Amérique que nous pouvons le mieux voir comment le pouvoir d’État devient indépendant vis-à-vis de la société, dont, à l’origine, il ne devait être que le simple instrument. Là, n’existent ni dynastie, ni noblesse, ni armée permanente (à part la poignée de soldats commis à la surveillance des Indiens), ni bureaucratie avec postes fixes et droit à la retraite. Et pourtant nous avons là deux grandes bandes de politiciens spéculateurs, qui se relaient pour prendre possession du pouvoir de l’État et l’exploitent avec les moyens les plus corrompus et pour les fins les plus éhontées; et la nation est impuissante en face de ces deux grands cartels de politiciens qui sont soi-disant à son service, mais, en réalité, la dominent et la pillent. Pour éviter cette transformation, inévitable dans tous les régimes antérieurs, de l’État et des organes de l’État, à l’origine serviteurs de la société, en maîtres de celle-ci, la Commune employa deux moyens infaillibles. Premièrement, elle soumit toutes les places de l’administration, de la justice et de l’enseignement au choix des intéressés par élection au suffrage universel, et, bien entendu, à la révocation à tout moment par ces mêmes intéressés. Et, deuxièmement, elle ne rétribua tous les services, des plus bas aux plus élevés, que par le salaire que recevaient les autres ouvriers. Le plus haut traitement qu’elle payât était de 6 000 francs. Ainsi on mettait le holà à la chasse aux places et à l’arrivisme, sans parler de la décision supplémentaire d’imposer des mandats impératifs aux délégués aux corps représentatifs. Cette destruction de la puissance de l’État tel qu’il était jusqu’ici et son remplacement par un pouvoir nouveau, vraiment démocratique, sont dépeints en détail dans la troisième partie de La Guerre civile. Mais il était nécessaire de revenir ici brièvement sur quelques-uns de ses traits, parce que, en Allemagne précisément, la superstition de l’État est passé de la philosophie dans la conscience commune de la bourgeoisie et même dans celle de beaucoup d’ouvriers. Dans la conception des philosophes, l’État est « la réalisation de l’Idée » ou le règne de Dieu sur terre traduit en langage philosophique, le domaine où la vérité et la justice éternelles se réalisent ou doivent se réaliser. De là cette vénération superstitieuse de l’État et de tout ce qui y touche, vénération qui s’installe d’autant plus facilement qu’on est, depuis le berceau, habitué à s’imaginer que toutes les affaires et tous les intérêts communs de la société entière ne sauraient être réglés que comme ils ont été réglés jusqu’ici, c’est-à-dire par l’État et ses autorités dûment établies. Et l’on croit déjà avoir fait un pas d’une hardiesse prodigieuse, quand on s’est affranchi de la foi en la monarchie héréditaire et qu’on jure par la république démocratique. Mais, en réalité, l’État n’est rien d’autre qu’un appareil pour opprimer une classe par un autre, et cela, tout autant dans la république démocratique que dans la monarchie; le moins qu’on puisse en dire, c’est qu’il est un mal dont hérite le prolétariat vainqueur dans la lutte pour la domination de classe et dont, tout comme la Commune, il ne pourra s’empêcher de rogner aussitôt au maximum les côtés les plus nuisibles, jusqu’à ce qu’une génération grandie dans des conditions sociales nouvelles et libres soit en état de se défaire de tout ce bric-à-brac de l’État. Le philistin social-démocrate a été récemment saisi d’une terreur salutaire en entendant prononcer le mot de dictature du prolétariat. Eh bien, messieurs, voulez-vous savoir de quoi cette dictature a l’air ? Regardez la Commune de Paris. C’était la dictature du prolétariat.

    si vous avez une idée d’illustration sonore plus récente
    n’hésitez pas à m’en faire part

    4_samedi

    {12:43} en résumé

    Prêt pour l’tout dernier drame,
    Je t’attends.
    Rien à partager,
    Je t’attends.
    Sur les murs les photos de tes amants,
    En est-il une de moi,
    Maintenant.

    Le son de nos pas dans la nuit trop solitaire
    Le son de nos pas dans la nuit trop solitaire

    Prêt pour l’tout dernier drame,
    Je t’attends.
    Regarde couler les larmes,
    Des yeux des amants.
    A chacun de nos pas,
    Nos rêves s’écroulent.
    Je ferme les yeux,
    Sur les ruines de la gloire.

    Le son de nos pas dans la nuit trop solitaire
    Le son de nos pas dans la nuit trop solitaire

    Le son de nos pas dans la nuit trop solitaire
    Le son de nos pas dans la nuit trop solitaire

    Prêt pour l’tout dernier drame,
    Tout dernier drame.

    3_vendredi

    {16:22}

    le type,
    le type super
    dont je parlais il y a peu
    est mort

    et ça c’est vraiment terrible
    photo de stuart kawowski
    ici une interview
    de brendon annesley
    un type super

    {10:09}

    je suis entrain de me dire que je devrais acheter des nouveaux disques
    des disques qui viennent de sortir, quoi
    on est tout de même en février

    je vous tiens au courant
    bah

    31_mardi

    {19:38} si vous voulez continuer à lire des bétises sans intérêt sur tous les groupes les plus cons qui existent et que tout le monde connait par ailleurs

    c’est

    30_lundi

    {22:10} Nos règles de confidentialité évoluent. En plus concis et plus clair. En savoir plus Ignorer

    28_samedi

    {17:21} electronic girls

    j’adore ton maquillage

    j’adore ta jupe

    j’adore ton mec

    27_vendredi

    {23:47} Lire le journal en faisant le thé De bon matin, je lis dans le journal les plans que font pour notre siècle Et le pape et les rois et les banquiers et les grands seigneurs du pétrole. De l’autre œil je surveille L’eau pour le thé dans la casserole, L’eau qui se trouble et se met à chanter, redevient claire Puis débordant, étouffe le feu.

    26_jeudi

    {14:10} In Memoriam

    Oui, vous savez j’écrivais dans un mensuel papier gratuit tiré à 40.000 exemplaires
    ce mensuel s’appelait Balise, et le fantastique redac-chef était Julien Bécourt
    il est très bien,

    Vous ne le saviez pas et je vous en informe
    Mais, hein, ce mensuel n’existe plus, je reçois plusieurs mails par jour qui me le rappellent
    C’était vraiment bien et ça n’existe plus
    {je ne vous raconte pas les trucs dans les mails, c’est assez terrible et je soutiens totalement Julien}

    Donc ça n’existe plus et, dommage hein, le numéro 4 était pret
    Voici mon texte, gratuit et tiré à l’infini

    « Les aviateurs français »(1), il y a comme ça des groupes de mot qui font rire et vous pouvez rire avec moi ou cesser de lire tous ces groupes de mots. La vie est ailleurs, ça ne vous a pas échappé, le meilleur de ce qui se passe est décentré pour le moment en Océanie. Bien sûr le plus beau disque de l’année dernière vient de Brisbane, c’est le « Homo » de UV race (2), la nudité d’une ampoule électrique qui explose lorsqu’un chewing gum rose vient la toucher. Il n’y a plus de lumière, il y a de la lumière. Et puis aussi, j’avais laissé ce disque de côté et je viens de le retrouver – on prend parfois les choses comme allant de soi – sur l’inégalable label pionnier Siltbreeze(3), le deuxième album de Kitchen’s Floor « look forward to nothing » qui dépasse leur premier (sur r.i.p. society) tout en restant bordélique et désenchanté, quelques minutes de vies écroulées propulsées avec force par un nouveau lineup. Les deux ont en commun de jolies mélodies pourries par le temps présent, brinquebalantes à la Swell Maps. Notre lumière à nous sur la nature de l’oppression. Lorsqu’il y a internationale du pouvoir il y a aussi internationale du dégout. On se serre les coudes et on s’envoie des coups pendant que la guerre est déclarée en notre nom, moi je lis le fanzine « Negative guest list » (4) de Brisbane mené par l’esthète de la pisse Brendon Annesley, non seulement il a le goût de couvrir tout ce qui bronche dans cette musique mal pensante et nonchalamment subversive mais il lui reste encore le temps de sortir un nombre incalculable de disques sur son label (du même nom) , comme le 45t des Wonderfuls qui énervât fort a propos avec sa pochette au bras piqué, ou l’album de degreaser, une plongée dans une bassine rouillée d’huile motul, ah quelle beauté désagréable tout cela ! Plus flegmatique mais néanmoins solitaire le label « albert’s basement » (5) produit de petits échos de réunions phalanstériques plus proche de la scene de Christchurch qui merite aussi ses 2000 signes. Oui je sais c’est à 2500km de là, encore plus que Paris-Tripoli comme c’est drôle.

    (1) BHL (2) theuvrace.blogspot.com (3)siltbreeze.com (4) negativeguestlist.blogspot.com (5) albertsbasement.net

    c’est un cadeau que je vous fait
    il y en a pour dans les 25 euros tout de même

    illustration