22_dimanche

{22:24} COMMUNIQUé

21_samedi

{18:51} sur mon napperon

les tests prouvent que nos
lecteurs ne sont pas inté-
ressés par les textes ils
ou elles ne sont intéres-
sées que par les vidéos m
ais comme j’ai fait une p
hoto je la mets car je s-
uis principalement photo-
graphe voilà le disque q-
ue j’ai bien aimé par les
liimanarina, je crois que
ça s’écrit comme ça disons que c’est des finlandais
il y a une finlandaise aussi
ah, attendez il y a des bouffons sur i-tele qui sont dans un micro-trottoir a propos du record store day
ah, voilà c’est fini
le site des liimanarina il est là et il
est bien, j’ai mis la video comme ça vous pouvez etre surs à 100% que
c’est bien

le dungen aussi est très bien,
il y a de la flute
il y a des solos de guitare
il y a de la grosse batterie
du piano, on ne comprend pas
les paroles et
c’est pas plus mal

20_vendredi

{19:40} Ils ne voulaient plus travailler dans la ferme de Maggie

Au milieu du babil ininterrompu de l’audiovisuel en continu, la semaine dernière ou la précédente, j’ai ouï que c’était le trentième anniversaire de la guerre des Malouines, je ne sais pas où j’étais ce soi-disant début de 2 avril là (le début c’est pas quand l’Empire a colonisé ce coin-là? – vous m’en direz tant)

mais, j’étais à Londres aux alentours de la sortie de et je l’ai acheté
et le poster vraiment m’a beaucoup plus maggie

(je venais de voir là-bas mes premiers kebabs, je n’en ai pas mangé parce que vraiment j’étais désargenté et je gardais tous mes sous pour acheter des disques et 2 ans plus tard je suis devenu végétarien et donc je n’en ai jamais mangé).

(Incidemment, ce même été j’ai acheté ça qui a un grand rapport avec ma décision de la parenthèse précédente)

La même année Crass a sorti l’album The title of the record is ironic, taken from a news cutting reporting a conversation said to have taken place between Charles, Prince of Wales and a badly burned soldier (Simon Weston) who had returned from the Falklands yes sir (un sacré imbécile de l’Empire, vieille engeance prolétaire, il a sa page aussi, tiens)

J’aime mieux les disques de Crass aujourd’hui qu’à l’époque mais on dira ce qu’on voudra, Gee Vaucher savait vraiment ce qu’est une bonne pochette de disque de p*nque
et pendant un moment ils ont été les ennemis publics numero uno et la cible d’une certaine presse (KOMONDIT) mais comme le disque se vendait bien et qu’on ne voulait surtout pas davantage de pub, le gouvernement a finalement décidé de ne pas poursuivre

Si tu veux t’éduquer un peu, tu peux regarder ça et tu seras moins con après, si c’est possible
+ un gars que je connais un peu avait sorti ce livre http://rytrut.free.fr/index.php?action=crass-chansons-d-amour mais je te préviens c’est assez mal traduit et je trouve, comme toujours, que les paroles de chansons, c’est mieux avec la musique derrière, c’est pas de la poésie, ceux qui le croient ne lisent pas de poésie {{et j’emmerde les poetjuifchantants, tiens}}

Tout ça me rappelle que mon badge vert Support the South Wales Striking Minors de l’année d’après a disparu, quelque part sans doute avec le grand noir et rouge Crush the Contras.

30_vendredi

{18:32} Crawling Over your window you think I’m confused I’m waiting for the divergent wasp To complete my current ruse You use a plate-glass screen To protect my chosen target But there’s an air-pellet hole I can crawl through to you I am the fly in the ointment I can spread more disease than the fleas Which nibble away at your window display Yes I am the fly in the ointment I shake you down to say please as you Accept the next dose of disease

sensation

19_lundi

{21:09} classique

14_mardi

{22:07} allez savoir

Come see the puppets, come see the show
pretty girls all in a row
come see the puppets, come see the show
strong men with the tales of woe

me and you
you and me
one plus one can be such fun
me and you
you and me
two and two
what could we do
me and you
you and me

bring all your friends, they all want to know
how to dance and to say « no »

don’t miss this chance to peak at our show
we fly high and we fly low

me and you
you and me
three and three
what would we beme and you
you and me
four and four
you can’t take much more
me and you
you and me

OK, let go
let’s go through the various situations
the various combinations
of romance, love and marriage:
male plus female
female plus male
but, my, how sex intrudes
girls in pink, boys in blue
sex intrudes, too many rules
too many fools following too many rules
so let us go further
let us now try:
female plus female
male loving male
female plus female plus female plus female
male plus male plus male plus male
female plus male
male plus female
female plus female plus female plus female

me and you
oh, you and me
sex that’s free
me and you
oh, you and me
don’t you know that there’ll always be
me and you
oh, you and me

then there’s always more.
Catégorie :

Musique
Tags :

ludus
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harno3
harno

Licence :

13_lundi

{19:29} actuellement je me sens étranger et je dirais même

en guerre avec ma collection de disques
tout m’exaspère, je regarde tous ces trucs
et je suis pris d’un énervement incontrolable
une détestation de cette histoire que je connais
beaucoup trop bien et qui, malheureusement, se répète

enfin, finalement, en désespoir de cause je mets
la compil messthetics greatest hits
{en fait je voulais mettre greatest hiss que je n’ai pas trouvée}
et là, je me relève toutes les 10 minutes ou moins pour aller voir
le nom du groupe
regardez comme c’est trop bien

HEY!

et WOW!

6_lundi

{15:50} En quoi consistait, jusqu’ici, le caractère essentiel de l’État ? La société avait créé, par simple division du travail à l’origine, ses organes propres pour veiller à ses intérêts communs. Mais, avec le temps, ces organismes, dont le sommet était le pouvoir de l’État, s’étaient transformés, en servant leurs propres intérêts particuliers, de serviteurs de la société, en maîtres de celle-ci. On peut en voir des exemples, non seulement dans la monarchie héréditaire, mais également dans la république démocratique. Nulle part les « politiciens » ne forment dans la nation un clan plus isolé et plus puissant qu’en Amérique du Nord, précisément. Là, chacun des deux grands partis [6] qui se relaient au pouvoir, est lui-même dirigé par des gens qui font de la politique une affaire, spéculent sur les sièges aux assemblées législatives de l’Union comme à celles des États, ou qui vivent de l’agitation pour leur parti et sont récompensés de sa victoire par des places. On sait assez combien les Américains cherchent depuis trente ans à secouer ce joug devenu insupportable, et comment, malgré tout, ils s’embourbent toujours plus profondément dans ce marécage de la corruption. C’est précisément en Amérique que nous pouvons le mieux voir comment le pouvoir d’État devient indépendant vis-à-vis de la société, dont, à l’origine, il ne devait être que le simple instrument. Là, n’existent ni dynastie, ni noblesse, ni armée permanente (à part la poignée de soldats commis à la surveillance des Indiens), ni bureaucratie avec postes fixes et droit à la retraite. Et pourtant nous avons là deux grandes bandes de politiciens spéculateurs, qui se relaient pour prendre possession du pouvoir de l’État et l’exploitent avec les moyens les plus corrompus et pour les fins les plus éhontées; et la nation est impuissante en face de ces deux grands cartels de politiciens qui sont soi-disant à son service, mais, en réalité, la dominent et la pillent. Pour éviter cette transformation, inévitable dans tous les régimes antérieurs, de l’État et des organes de l’État, à l’origine serviteurs de la société, en maîtres de celle-ci, la Commune employa deux moyens infaillibles. Premièrement, elle soumit toutes les places de l’administration, de la justice et de l’enseignement au choix des intéressés par élection au suffrage universel, et, bien entendu, à la révocation à tout moment par ces mêmes intéressés. Et, deuxièmement, elle ne rétribua tous les services, des plus bas aux plus élevés, que par le salaire que recevaient les autres ouvriers. Le plus haut traitement qu’elle payât était de 6 000 francs. Ainsi on mettait le holà à la chasse aux places et à l’arrivisme, sans parler de la décision supplémentaire d’imposer des mandats impératifs aux délégués aux corps représentatifs. Cette destruction de la puissance de l’État tel qu’il était jusqu’ici et son remplacement par un pouvoir nouveau, vraiment démocratique, sont dépeints en détail dans la troisième partie de La Guerre civile. Mais il était nécessaire de revenir ici brièvement sur quelques-uns de ses traits, parce que, en Allemagne précisément, la superstition de l’État est passé de la philosophie dans la conscience commune de la bourgeoisie et même dans celle de beaucoup d’ouvriers. Dans la conception des philosophes, l’État est « la réalisation de l’Idée » ou le règne de Dieu sur terre traduit en langage philosophique, le domaine où la vérité et la justice éternelles se réalisent ou doivent se réaliser. De là cette vénération superstitieuse de l’État et de tout ce qui y touche, vénération qui s’installe d’autant plus facilement qu’on est, depuis le berceau, habitué à s’imaginer que toutes les affaires et tous les intérêts communs de la société entière ne sauraient être réglés que comme ils ont été réglés jusqu’ici, c’est-à-dire par l’État et ses autorités dûment établies. Et l’on croit déjà avoir fait un pas d’une hardiesse prodigieuse, quand on s’est affranchi de la foi en la monarchie héréditaire et qu’on jure par la république démocratique. Mais, en réalité, l’État n’est rien d’autre qu’un appareil pour opprimer une classe par un autre, et cela, tout autant dans la république démocratique que dans la monarchie; le moins qu’on puisse en dire, c’est qu’il est un mal dont hérite le prolétariat vainqueur dans la lutte pour la domination de classe et dont, tout comme la Commune, il ne pourra s’empêcher de rogner aussitôt au maximum les côtés les plus nuisibles, jusqu’à ce qu’une génération grandie dans des conditions sociales nouvelles et libres soit en état de se défaire de tout ce bric-à-brac de l’État. Le philistin social-démocrate a été récemment saisi d’une terreur salutaire en entendant prononcer le mot de dictature du prolétariat. Eh bien, messieurs, voulez-vous savoir de quoi cette dictature a l’air ? Regardez la Commune de Paris. C’était la dictature du prolétariat.

si vous avez une idée d’illustration sonore plus récente
n’hésitez pas à m’en faire part

27_vendredi

{23:47} Lire le journal en faisant le thé De bon matin, je lis dans le journal les plans que font pour notre siècle Et le pape et les rois et les banquiers et les grands seigneurs du pétrole. De l’autre œil je surveille L’eau pour le thé dans la casserole, L’eau qui se trouble et se met à chanter, redevient claire Puis débordant, étouffe le feu.

20_vendredi

{10:00} plus intéressant

interview récente et, pour vous, moi
essentielle culturcide

4_dimanche

{23:05} transition II

j’essaye de m’en approcher
le plus possible et je n’y
suis pas encore, je crois
que je peux faire encore m
ieux je ne sais pas commen
t

je m’en tire peut-être un
peu trop bien

5_samedi

{11:59} Pas ce Ray Davies là

Dear Dave,

Please accept my sincere apologies for not being able to introduce the punk rock concert commemorating the Sex Pistols. I kept the 28th of October open in my diary as originally agreed and booked the 21st to fly out to Palestine on humanitarian mission; but it seems there has been a mix up of dates and I therefore will be unable to attend your concert. I am bitterly disappointed.

In 1977, a group of mothers attending an environmental protection meeting insisted that I take action to stop the Sex Pistols from coming to Caerphilly. They complained that the band was using bad language, using obscene gestures from the stage, and should be banned from performing. Instead of speaking myself to the band, I called a public meeting at Elim Church, Caerphilly, and every religious bigot demanded action be taken. I spoke to the owners of the cinema, without success; tried to get a legal injunction which failed, threatened every bus company that was transporting fans to the concert of withdrawing their school contracts.

On the night I led a protest carol concert in the car park opposite the cinema/concert hall, and felt very proud of myself until I watched the stragglers go into the concert. As all the opponents of the punk concert left the car park, I stood alone looking at the entrance and the last young person that was entering the hall turned and stared me straight in the face. It suddenly dawned on me- what right did I have to stop young people from enjoying their new found inspiration, when I myself back in the early 50’s was an enthusiastic rock and roller, fan of Bill Haley and the Comets, and had won competitions for the Twist?

Today at 81 years old I look back on my many campaigns: to rid the world of nuclear weapons, I went on anti war demonstrations, was imprisoned for trashing a nuclear submarine, breaking into the bomb factory at Aldermaston, refusing to pay the poll tax, imprisoned in Palestine for protecting children against Israeli soldiers. Yet the one shadow that continues to hang over me was the day I tried to stop the Sex Pistols from coming to Caerphilly.

Although I can’t be at the concert tonight, I want to apologise from the bottom of my heart, and hope my belated apology is a lesson to everyone who tries to stifle the joy of young people embracing new music.

Yours sincerely,

Councillor Ray Davies

#mignon

29_jeudi

{13:36} trop drôle pour ne pas être relevé

cet articulet risible, ici

ça fait un certain temps que je n’ai pas acheté un mekons et celui-là à l’air
rudement bien

23_vendredi

{15:58} playing now II

what do I get ?

4_dimanche

{22:24} LIEBE FREUNDE

dingue

30_mardi

{22:11} playing now II

14_dimanche

{21:12} on ne pisse jamais deux fois dans la même rivière

9_mardi

{23:00} tout ce qu’on a à savoir

dans la

mo
cra

tie ?

7_mardi

{23:17} Pense-bête

4_samedi

{22:21} la sélection du service culture

sans blague!