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Charles Bösersach

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Charles Bösersach

 

 
Une manière de journal ? CB se promène avec son petit carnet, observe et note ; une pensée ? Et hop! il note encore : c'est un maniaque.

   


Nota :

après plus de deux ans de notules, ce journal doit s'arrêter pour un autre projet,
MAUDIT CARNET, pas si différent tout de même...
 



pointr.gif (57 octets) Novembre 2001
 

Vdqs.



pointr.gif (57 octets) Octobre 2001
    

Un jour sans pain
« On regarde par la fenêtre. Les passants. Nombreux sont ceux qui, pour une raison ou pour une autre, ne trouvent pas grâce à nos yeux. On comprend le sniper. »
  



pointr.gif (57 octets) Septembre 2001

Bored to be alive
« C’est au moment de la rentrée que certains enfants pensent « mort aux trousses ». »
   



pointr.gif (57 octets) Août 2001 (II)

Le roi de la pomme de terre sévit.
« Ces jours où on n’a rien cassé, où l’on n’a tué personne : cela tient du miracle. »
   



pointr.gif (57 octets) Août 2001 (I)

« Sortir de « chez soi » retrouver le chaos, ce fatras qui constitue le monde. En quelques secondes cela vous annihile : redevenir un simple élément du désordre. »
 



pointr.gif (57 octets) Juillet 2001

&T : «  Je ne connais pas ce bösersach qui étale sa vie dans son « journal ». »
   



pointr.gif (57 octets) Juin 2001

Tædium vitæ : «  À la gare, contemplant la chorégraphie des voyageurs et des employés, écoutant les sons et les bruits (gare, bribes de mots, bruit des travaux), je devins brusquement spectateur : je n’étais plus au monde. »
   



pointr.gif (57 octets) Mars-Avril 2001

L'heure d'été : « J’en veux assez à mes contemporains de ne pas, chaque fois que l’occasion s’en présente, me féliciter. D’être encore là, d’être à peu près présentable. Car enfin, les choses étant ce qu’elles sont, continuer de vivre relève d'une sorte d’abnégation mêlée de politesse qui mérite d’être saluée. »
 



pointr.gif (57 octets) Février 2001

Bill Gates m'a tuer : « Est-ce que ça me fait plaisir ? est-ce que cela me fait « de la peine » ? Tout au plus cela s’inscrit dans un faisceau de contingences, grumeaux plus ou moins identifiables dans ce flux de plus en plus indifférencié. »
 



pointr.gif (57 octets) Janvier 2001

Glandouillages et Pommes de Pin : « À un gars qui cherche quoi lire et parle de "littérature" je dis : "mais tout ça c'est du cul! regardez les bons auteurs : Sade, Guyotat, Bataille, et quelques autres ; du cul, rien d'autre..." »
   



pointr.gif (57 octets) Décembre 2000
 

Petites lexicophrénies : « Rêve : dans sa voiture, une R16, buée, atmosphère confinée, moite, Bourvil introduisait son majeur dans l’anus d’une jeune femme assez complaisante) »
 



pointr.gif (57 octets) Novembre 2000 (II)

Pourquoi je ne suis pas d’accord avec miguelito lovelace. (À propos de « Pourquoi je hais la musique classique. »)
 



pointr.gif (57 octets) Novembre 2000 :

Profondément carminatif : « Les filles ont cette année de petits culs musclés émouvants à pleurer. » ...et quelques méchancetés sur le Saint-Père.
  



pointr.gif (57 octets) Août 2000 :

Olibrius, énergumènes; forcenés : « Les phrases — et la pensée — se raccourcissent. Écrire ne sert à rien, c'est sans doute pour cela que je m’obstine. »
   



pointr.gif (57 octets) 2000 — juin :

Névropathe et pâte à sel : « Démosthène, lui, écrivait « nous avons des épouses pour faire des enfants, des hétaïres pour nous distraire, des esclaves pour en jouir ». Démosthène force le regret. »
 



pointr.gif (57 octets) 2000 — mai :

Bien ronchon : À propos de ladite "Nouvelle Économie" (pour le portail des copains).
 



pointr.gif (57 octets) 2000 — avril :

Un état gris pâle : « On prend des notes pour ne pas s’ennuyer davantage. L’esprit divague et, s’il n’y a pas de jolie(s) femmes(s) dans l’assemblée pour offrir un point d’ancrage décent (!), c’est vis-à-vis du discours, ce doux bourdonnement, ce bruit de fond que les divagations œuvrent dare-dare.»
 



pointr.gif (57 octets) 2000 — janvier  :

Miasmes, bonne année.
   
 



pointr.gif (57 octets)1999 — décembre :

Bruno Richard, Ph. K. Dick et moi. Une relecture de quelques pages de l'écrivain.

 



pointr.gif (57 octets) 1999 — octobre :

« Pourquoi/sur quelle base " morale " la nécrophilie serait interdite — et notamment si les partenaires sont consentants (ah ah). Et pourquoi ce tabou sur certaines chairs (chien, chat)...? »
  



pointr.gif (57 octets) 1999 — septembre III:

« (rêve) — J’enquête avec un ami dans un couvent. On visite le potager, sans bien savoir ce que l’on cherche. Quand on revient dans le couvent, je frôle délibérément et longuement les reins de la soeur qui m’ouvre la porte [...] »
   



pointr.gif (57 octets) 1999 — septembre :

« Pour un usage raisonné de la langue française. »
   



pointr.gif (57 octets) 1999 — août/septembre :  

« Je me suis muni d’un carnet (et d’un stylo) afin de pouvoir noter les choses (vues, pensées (!)) à mesure qu’elles se présentent. Ne reste plus qu’à distinguer possibilité et obligation. »
 



pointr.gif (57 octets) 1999 — août (suite) :

« Pourquoi cet entêtement, le matin, à vouloir me coiffer soigneusement avant d’enfiler mes vêtements? »
 



pointr.gif (57 octets) 1999 — août :

« Il se réveille au milieu de la nuit, gêné par une odeur fétide (il s’était endormi le nez sur l’aisselle de l’aimée). »
 



 

 


 

Charles Bösersach  

  
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