en fait
si
j’ai pas mal
beaucoup de choses
à dire
tiens par exemple
je n’ai jamais entendu le groupe JAPAN
en fait
si
j’ai pas mal
beaucoup de choses
à dire
tiens par exemple
je n’ai jamais entendu le groupe JAPAN
je me suis dit que j’allais recommencer doucement et que ce serait plus facile et puis tout se délite très rapidement, je suis en train de lire un comic book qui s’appelle think tank, c’est un jeune scientifique qui ne veut plus faire d’armes qui tuent des gens {non je vous assure que c’est bien} et je pense au prisonnier alors à ce moment là il y a des images de patrick mcgoohan qui viennent et puis je me rends compte que la seule façon d’éteindre ces images, de les satisfaire, ça serait d’être DANS le village et de monter dans une petite voiture et j’aurais une super belle veste à galon blanc et, vous voyez que ça n’est pas possible aussi j’ai pensé qu’il y avait surement un disque de david bowie qui serait aussi bien qu’un disque de la dusseldorf, ah oui voilà je sais pourquoi j’ai pensé à david bowie, j’ai mis low et immédiatement j’ai trouvé la guitare de carlos alomar insupportable et je n’ai pas pu mettre la face 2, j’aurais bien mis heroes aussi
mais je n’ai plus ce disque alors j’ai mis vous savez quoi
qui est très bien, non le meilleur truc qui me soit arrivé c’est
je pense à un truc, je suis allé à un concert, il y avait trois groupes et je n’ai vu aucun des trois groupes je crois que c’est la seule et unique fois que ça m’est arrivé, je trouve ça très triste je ne vois pas de raison réelle à ce que ce se soit produit non je me rappelle qu’on m’a demandé si je l’avais écouté le swans au moins {j’ai résisté à dire à tous ces gens qu’on ne disait pas les swans mais swans, je le dis maintenant} et oui je l’ai écouté le swans {vous voyez bien on ne peut pas dire le les swans} je l’ai acheté, je n’aime pas l’image devant et
attendez je cherche un disque à mettre pour finir cette écriture
le maxi dog food de sutra {il n’y a pas la video dans youtube}, je pense peut etre à ça parce que j’ai dîné avec le biographe de jenny bel’air à Naples, je trouve que la vois de patrick vidal est irrésistible, non le swans j’aurais bien voulu l’aimer et je le trouve très bien fait, c’est à dire qu’il y a trois morceaux très bons et que ces trois morceaux sont stratégiquement placés dans le truc ce qui fait qu’on se dit ah quel disque, c’est juste une illusion parfaitement exécutée, en plus la pochette à trois panneaux est impraticable désolé
ce n’est quand même pas ça qui m’a tenu toute la soirée dehors, oui j’ai oublié de vous dire que j’ai écrit un truc dans chronicart de ce mois-ci et qu’on m’a dit que c’était bien merci on m’a dit aussi que mes photos de vacances étaient bien merci moi je n’ai pas été particulièrement gentil je trouve et je m’en excuse auprès de vous
non vraiment le disque qui m’a fait le plus plaisir ces dernier temps est un 45 tours de Mark Perry et je n’ai rien de plus à en dire {il n’y a pas de video dans youtube non plus} que ce qui est dit là je crois que vous ne savez pas que je vends des tshirts et tous eux qui l’ont porté m’en ont fait compliment, surtout des hommes
c’est étrange
je pensais que ce serait facile et que je m’en tirerai en mettant
image de ma première voiture
Depuis que j’ai l’âge de regarder Derrick, je rêve de bunker cosy et de saucisses pâles sur des nappes à carreaux. Quand mon copain m’a dit qu’il m’emmenait là-bas j’étais à fond.
Je me voyais yodeler sur les bancs, envoyer des cartes postales limites et ramener des tshirt Eva Braun à mes potes fétichistes du Reich.
Bien sûr je n’ai pas trouvé un seul souvenir nazi à emporter. Rien autour du Berghof converti en musée de l’holocauste, rien à Kehlsteinhaus qui est devenue une auberge pour motards, rien dans les arrières boutiques de Berchtesgaden et les brocantes de basse altitude, nichxt, circulieren. Les bavarois ne plaisantent pas avec la culpabilité.
Il faut aller sur des sites américains pour trouver des chopes fun, pareil pour la collection de vinyles du Führer. Il parait qu’elle est à la bibliothèque du Congrès.
J’ai quand même rapporté quelques fioles de liqueurs aux herbes, des chaussettes edelweiss, et des portraits de Louis II à la place des national-socialistes.
Les bavarois adorent leur prince gay. Ils se baladent dans ses châteaux comme à la maison.
Neuschwanstein contient tout ce que j’aime, les bancs en chêne massif plus la vue sur les Nibelungen. La grotte de Venus est pas mal aussi avec sa cascade en béton et son chauffage au gaz.
Fassbinder arrive en 3e dans la liste des tarés qui ont vécu en Bavière. Il y avait une expo sur ses pièces à Munich. J’ai passé une heure devant le jukebox qui jouait des morceaux de Peer Raben. J’ai aussi topé ses poèmes de jeunesse en pentasyllabes, on peut en écouter ici.
C’est désolant de voir à quel point il est intégré à la culture bavaroise. Tout le monde connait ses films, on peut parler du Roti de Satan ou de la 3e Génération au frühstück sans déranger.
A la fin Munich est pas si atroce quand on aime le marbre rose, les colonnes doriques et les pinacothèques. Tout est très restauré, hypercossu et démocratisé, comme si les gens défilaient dans le même uniforme sportswear de bonne qualité. De loin on arrive même pas à distinguer les pères de leurs fils.
La personne la plus excentrique que j’ai vue était un ado noir en lederhose. J’ai croisé que dix-sept noirs, je les ai comptés.
Le père de R. a l’habitude de faire des nazitours aux français de mon espèce. Quand il veut leur rappeler leur passé puant, il leur montre la colonne qui sert de mémorial aux trente mille soldats bavarois qui se sont fait buter pour Napoléon en Russie. Un tube de 30 mètres de haut en canons fondus. En face il y a la Maison Brune et la villa offerte à Hitler par une famille d’éditeurs locaux toujours en activité. En général il finit sa ballade devant la fac où les mecs de la Rose Blanche se sont fait arrêter. On peut encore voir des ersatz de leurs flyers encastrés dans le sol.
C’est pour la musique que ça a été dur. R. a quitté Munich il y a dix ans, ses potes ne sont plus dans la nacht, et j’ai aucun contact dans cette ville. En même temps j’ai pas eu l’impression de rater grand chose en regardant le Lilo local, quelques djs house aux noms pénibles, un concert de métal mélodique, un festival reggae en banlieue, des orchestres traditionnels, même pas une soirée schlagers de derrière les fagots. Quelque chose me dit que ce fanzine ne reflétait pas l’underground du coin, j’ai pas insisté, on avait déjà à faire avec toutes les grottes et les bunkers que je voulais voir.
J’ai trouvé ce schop à mon retour, heureusement parce que j’y aurai dépensé toutes mes tunes. La ville a connu une résistance assez costaude sous Moroder.
Je connaissais les types de A+P, on m’a dit que c’était des fils de riches. Les filles de Dagowops et Deutsches Froileinwunder arrachent bien. Freiwillige SelbstKrontolle et Gorilla Aktiv viennent de là-bas aussi, il y en a d’autres. Par contre j’ai essayé de réécouter Amon Düül, j’ai tenu 3 minutes pour Ingrid Caven défoncée.
Quand j’ai le mal du pays, j’écoute cette playliste. Les groupes bavarois sont en gras, ça me saoule d’intégrer les tubes un par un dans le post, sieg
Richard Wagner – Siegfried Idyll
German Oak – Shadows of War
Peer Raben Love Is Colder Than Death
Nina Hagen – Ich weiss, es wird einmal ein Wunder geschehen
Alu – Der Schlächter
Gorilla Aktiv – Kopf Und Bauch
Aux Raus – Rasthof Deutschland
K2 – Der Berg Ruft
Alex C & Y-Ass – Du hast den schönsten Arsch der Welt
Bärchen und die Milchbubis Pogo liebt Dich
Honkas – Kunst
Cretins – Dachau Disco
A+P – Kontrolle
Der Störtrupp – Tote Stadt
Dagowops – Weltregierung
Tollwut – Keine Chance
Deutsches Froileinwunder – Zu oft im Lipstick
Straßen Antifas Singen Schlager – Schlage Nazis mit mir
hot gossip & Giorgio Moroder & Munich Machine – La Nuit Blanche
Billy Mo – Ich kauf mir lieber einen Tirolerhut
Veronika Voss – Memories Are Made of This
F.S.K. – Was Kostet Die Welt
Gunter Schickert – Apricot Brandy
juste avant le p*nk c’était l’horreur
il y avait ça
toutefois
et c’était bien
quoique difficilement
compréhensible aujourd’hui
j’aime bien les gens qui racontent des histoires
avec un accent {pas seulement les femmes, alors ?}
pas écouté de musique
et je ne m’en plains pas
j’aime aussi beaucoup la trompette, vous comprenez
et la mort
pas écouté de musique, sauf le deuxième roxy music
laissé sur place
je suis à bruxelles
voilà quoi
p*nques ? (pas original, je sais, mais je les aime tant)
et je mets même une image They’re fucking your kids didn’t they ?
{oui, ça manque d’images quand il y a juste une image)
(bonne idée) (seconds couteaux)
(à l’abri nulle part)
» Ce désir d’être allemand «
Seconds couteaux toujours
Et lui, il se fout de notre gueule ;) Filles
(je ne m’en lasse pas;))
Vague miniature (on n’en finira donc jamais de découvrir de nouveaux vieux ?)
(j’ai acheté la réédition)
{Pacotille}
Oui, je sais, je l’ai déjà postée,
mais…
Reformés, comme tout le monde
Cake c’est un peu comme les fraises tagada, un truc honteux qu’on adore (souvent, d’autres fois je comprends pas pourquoi ils font ce qu’ils font)
Une zolie sanson et une autre du producteur et une commémoration de juillet + un moment magique qui existe avec des images qui bougent mais une moins belle version chantée {il faut lire l’histoire}
Et un bon gars , un ! (p)ovaires indy onion
Ce type a partagé un disque avec Joy Division , pas lui ; lui, il est mort , non lui, qui souffle dans un tuyau.
Lui, il a un truc de travers, je ne sais plus trop quoi et j’ai acheté un de ses vinyles d’occasion ce mois
Sautille : + le merveilleux en action + le mexique c’est sympa
Los Rockin Devil's – Gloria (Orfeon A Go Go TV… par Tushratta
Sautille encore , sans images, dommage
celle-là mérite un petit coin pour elle toute seule, LE MEILLEUR DU R*CK
Leon nous explique
+ un juif qui tape , pas Gilad Atzmon c’est sûr
Et un vieux qui cause
The Voice
Et ce type sait jouer de la guitare :
Je ne devrais pas aimer Kevin Coyne, c’est un hippie :
Samedi dernier je suis allée à mon anniv dans un bar. Je dis pas que c’était un mauvais moment, le patron m’a payé des coups, les gens était sympas et ils m’ont fait des cadeaux. J’ai eu un bon d’achat pour des baskets hors de prix, des livres en veux tu en voilà, et un disque : « E.T. je t’aime », chanté par Martial et les petits chanteurs d’Asnières. C’est l’histoire d’une amitié hors du commun. Je vais pas me plaindre. Mais si mes amis m’aimaient vraiment, comme sur facebook, j’aurai eu un disque de Fossil Fuel. Ce type raconte que des trucs vrais sur les montres et le vieillissement.
Comme je peux compter sur personne, je téléchargerai aussi le SMWRG ci-dessous, j’aurai au moins besoin de ça pour déterrer mes 35 ans.
Maintenant je dois faire mes bagages, j’ai rdv en Bavière avec mon keum.
I just want a lover like any other
What do I get
I only want a friend who will stay to the end
What do I getWhat do I get
Oh oh what do I get
What do I get
Oh oh what do I getI’m in distress I need a caress
What do I get
I’m not on the make I just need a break
What do I getWhat do I get
Oh oh what do I get
What do I get
Oh oh what do I getI only get sleepless nights
Alone here in my half-empty bed
For you things seem to turn out right
I wish they’d only happen to me insteadWhat do I get
Oh oh what do I get
What do I get
Oh oh what do I get[Solo]
What do I get
Oh oh what do I get
What do I get
Oh oh what do I getI only get sleepless nights
Alone here in my half-empty bed
For you things seem to turn out right
I wish they’d only happen to me insteadWhat do I get
Oh oh what do I get
What do I get
Oh oh what do I getI just want a lover like any other
What do I get
I only want a friend who will love to the end
What do I getWhat do I get
Oh oh what do I get
What do I get
Oh oh what do I getWell let me tell you now
I get no love
I get no sleep at nights
I get nothing that’s nice
I get nothing at all
At all,at all,at all
At all,at all,at all
Cos I don’t get you
je vous mets la video
vous pouvez chanter avec
les buzzcocks un groupe que j’associe
à l’été
je viens de lire un texte
vraiment très bête!
ça me fait plaisir
de le partager avec
vous, oui vraiment
PS: ah oui, les gars, si vous pouviez arrêter de vous gargariser avec ces conneries de ramadan, merci, cette oppression ne m’intéresse pas elle nous ramène cinq cents ans en arrière
(je reprends la parole du texte)
Barcelone est une ville d’immondices, souvent, surtout en ce moment, et plus encore après avoir lu des textes après avoir cliqué sur des liens – piscine n° 4 – mais parfois il y a de la beauté dans l’immondice, cette expo Martin Parr au CCCB (pas de lien, démerdez-vous, vous avez bien muté, non ?),
à la surface ou au fond, révolution ou pas, un rien paisible, un peu ; ça m’a donné envie de voir Les Carabiniers, c’est déjà ça
je tape ‘Guy Mercier’ dans Google et j’ai ‘Michèle Mercier’, à coup sûr
je comprends qu’il y a un trouble, je comprends qu’il y a une guerre. moi-même je suis en guerre, je comprends qu’il y a débat entièrement idéologique, je suis moi-même pour l’idéologie quand c’est moi qui fixe cette idéologie, je comprends qu’en ce cas ça n’est pas moi qui l’ait fixée et que j’y suis totalement étranger, je dirais que je suis dans l’inconnu du texte. je pensais aussi que l’adn ce n’est pas le corps, la religion de l’adn et de sa vérité c’est la science et la police, même chose, la science c’est le texte ce n’est pas le corps, le texte de la loi et le figé de l’identité. l’identité ça n’existe pas, le texte c’est l’identité et le texte vient toujours après la matière. TOUJOURS. il n’y a pas de toujours non plus, vous le savez bien. Donc j’entre dans la forêt sans les oripeaux de ce débat qui a déjà eu lieu, c’est vrai que j’ai toujours évité de voir quel film que ce fusse de leos carax mais comme j’aime bien E2-E4 et je déteste les hippies, surtout allemands, il y a parfois prescription et il y a parfois exception. Je suis moi aussi obligé de rentrer dans le texte écrit par d’autres, je suis désolé, je tente d’en sortir et c’est vrai qu’en y entrant par le cinéma saint germain des près et en y sortant en prenant un déca {quatre euros vingt} aux deux magots, oui il y a des soubrettes en uniforme qui présentent des plateaux de patisseries aux japonais, russes, chinois, oui il y a encore des japonais à paris. une fois dans l’assiette la patisserie n’a plus l’air de grand chose, ressemble à une autre. toujours est il que ce n’est pas mon assiette et pas encore mon assiette puisque les étoiles s’éteignent dans ce cinéma devenu encore plus grandiloquent qu’il n’a jamais été. c’est très beau cette forêt et le film commence par une allégorie lourdingue et naive, néammoins enlevée. la critique ce n’est pas raconter le film, la critique ce n’est pas donner envie de voir le film, la critique ce n’est pas grand chose. moi je suis allé voir le film à cause du vert de l’affiche et du bleu du masque, celui là me faisait penser au fantomas un peu bête avec jean marais et louis de funés. {vous voyez je suis dans le descriptif, bon, moi aussi} et puis, à l’intérieur, ce film me fait penser au cinéma. mais bien sur il nous fait tous penser au cinéma à sa façon, un film à sketch qui est un genre en soi, une genre que j’ai toujours détesté mais pas seulement. une série télé en somme, ce qui fait qu’aujourd’hui je peux accepter cette forme sans doute ou qu’exceptionnellement je serais en dehors de mon propre texte. Raconter une histoire qu’on a vu ça n’a rien à voir avec le cinéma. RIEN. ici l’histoire(s) n’est pas racontable, n’a pas d’intérêt ne révèle rien, le film si. Mais le film ne révèle rien qui soit transmissible en texte, seulement c’est bien. A un moment je pleure, à un moment je trouve ça très drôle. ça m’est tout à fait étranger et ça m’est tout à fait subtilement familier. comme je vois la lumière d’automne de belle de jour et même les habits, sans doute un velours côtelé et une gueule cassée. comme je vois, oui c’est vrai vous me l’avez dit, la bourgeoisie, la relation avec bunuel est encore très évidente. je ne sais pas si vous voulez parler de la révolution, je ne crois pas mais si on ne parle pas de la révolution alors bourgeois ne veut rien dire, c’est du texte et pas de la matière. Je peux aussi bien penser petits seins. Lumière verte, fabrication. L’identité, je ne devrais pas avoir à vous le dire, c’est de la fiction, il y a beaucoup de choses que je n’ai pas envie de dire a propos de ce film ce à quoi servent les autres, à ne pas être nous. C’est vrai qu’à un moment au tour des champs-élysées j’ai pensé le texte robbe-grillet eh bien rien que ça je trouve ça extraordinaire, non je n’ai jamais aimé particulièrement ce type par contre j’aime passionnément l’ennui et je hais le blanc, mais le blanc m’attire le blanc de l’argent et de la vulgarité; alors que là c’était la nuit et il y avait ces lumières toujours de fête des champs-élysées. je trouve que c’est une bonne chose de tuer quelqu’un à la terrasse du fouquet’s peut être aussi parce que ma tante était dame pipi dans cet établissement, peut être aussi parce qu’elle travaillait chez pathé cinéma c’était tout en bas de l’avenue. C’était l’époque, c’est très nostalgique. Les ouvreuses, c’est étrange une personne dit qu’elle aurait bien aimé prendre une glace pendant le film et une autre dit qu’elle retournera au cinéma quand on pourra y fumer, deux personnes qui ne se connaissent pas a propos du même film… moi je voudrais pourvoir entrer et sortir quand je veux; je ne le faisais jamais. Toutes ces possibilités qui n’existent plus, des machines qui sont remplacées par des machines. Oui j’aime beaucoup quand ils jouent de l’accordéon, vraiment beaucoup parce que ça me fait penser à la musique de la révolution , {peut etre qu’on ne rasera pas les églises, je ne suis plus sur de ça} cette révolution là vous comprenez bien ce que je veux dire, ou bien vous êtes mes ennemis. Après la révolution il y a peut etre l’identité, on n’en sait rien, ça n’a pas d’importance pour l’instant il n’y a que l’innovation et la beauté, ce qu’il faut détruire.
PS: j’ai oublié de dire que ce film rend supportable une chanson de gérard manset, supportable et comique.
PPS: et les Sparks y ont le même son qu’ils avaient dans ma voiture.
parce que j’ai du boulot et pas envie de _
(une forme de protestation)
parce que je n’ai rien ou pas grand chose à dire
(une forme de renoncement)
Eno, parfois c’est bien de l’entendre chanter/jouer, des fois non; toujours mieux que de l’entendre parler ou de le lire, conneries prétentieuses et boursouflées la plupart du temps. praxis.
Ultra, quand même.
Chaque fois, CHAQUE fois que j’ai mal à la tête, je chante cette chanson, enfin un bout. Ça n’énerve pas ma femme, elle aime bien, c’est beau l’amour. Là, ça va, je n’ai mal nulle part.
En 1980 ou 1981, j’ai vu Fischer Z en 1ère partie de Dire Straits; enfin, je suis parti à la fin de cette 1ère partie, pour faire mon intéressant au lycée le lendemain. J’avais volé des trucs pour les revendre et me payer la place alors je m’en foutais.
Un autre , tiens.
Le dernier roman de Lucien Suel est dédié à ses filles, « aux filles qui chantent »
Si on s’écoutait un chef d’œuvre ? (aux gars qui fabriquent leurs propres clips pour les chansons des autres : je vous aime beaucoup
– j’aime moins quand on filme un disque qui tourne, je ne reconnais pas les marques de platines, je ne suis pas _KMS)
Évariste , de visu, il fait un peu connard d’étudiant prétentieux, non ? Enfin, fort en thème qui s’encanaille. Ça n’ôte pas grand chose à ses immenses mérites.
Quelques ponques : (je les connaissais que de nom, eux) (Poly, ce n’est pas pour sa plastique qu’on l’aimait) Cette langue est vraiment curieuse. On nous ment :
FF chante , c’est beau, c’est triste. Aux dernières nouvelles, elle se dessèche en HP. C’est encore plus triste.
( + je lis que Miss Ming est célèbre à la tévé)
Ce truc est tout simplement incroyable
Bon de chez bon.
Culture : (je crois bien que je n’avais jamais entendu que la version des Residents, le manque de curiosité nous tuera. Ou alors ce sera le trop plein de qui nous étouffera. Aphorisme : la vie c’est con et pis on meurt)
GPO aussi raconte n’importe quoi avec beaucoup de sérieux en général.Allez savoir pourquoi, là, ce folklore m’est sympathique. Après, les élucubrations ésotérico-artistico-machin-chose font des livres chez Camion Blanc.
Encore : ressemble vraiment à l’affiche de Gary Panter, non ? (on ne devrait jamais arrêter les amphétamines) Je découvre, un disque sort chez Cold Spring.Je ne connaissais pas ou j’avais oublié; Guy m’a bien fait comprendre que LUI, il avait le disque, ou alors j’ai mal compris :)
Quand Love’s Secret Domain est sorti, j’ai arrêté d’écouter – depuis 10 ans, j’essaie de me rattraper.
Menace : la prochaine fois je vous raconterai les chansons postées sur twitter.
Menace 2 : je réfléchis fortement à cette idée d’émission de radio.
non je n’ai rien à écrire
la première ligne
suffit à me reconnaitre
après je n’écoute plus vraiment les paroles
bizarrement depuis quelques jours j’écoute le même morceau plusieurs dizaines de fois de suite
oui sur mon téléphone
oui dans la rue, le métro
en prenant le train à saint lazare
en passant à colombes
et asnières
en regardant les filles qui sont habillées comme des folles
en montant les escalators
vous voyez le genre
oui ces morceaux là
pourquoi ?
après tout
c’est un peu un décalage inapproprié
puisque vous avez là 3 ou 4 jours de mon activité musicale
en une seule fois
peut etre même plusieurs années
oui, tout le week end j’ai écouté new order
en me disant que voilà déjà il faut reprendre le combat
cette fois contre les socialistes il n’y a pas eu grand
répit, non, et vraiment comme j’aime certains trucs
de new order, et ça m’a fait plaisir que mon fils me
dise j’aime ce morceau en écoutant blue monday et aussi
un autre que j’aimais vraiment beaucoup aussi, il n’a que
sept ans et demi, aujourd’hui même WOO HOO, sept ans et demi
c’est la moitié de quinze et puis après j’écoutais chrome en
lisant le industrial culture handbook de re:search parfois c’est pas mal
d’être une caricature de soi-même, j’ai pris un chivas, j’ai raté un coup de fil,
j’ai pris un bain et j’ai entendu ça
woo hoo